Deontologie Kantienne

est apparue dans le courant des années 1960 en tant qu’interrogations au sujet du développement de la biomédecine et des technosciences. Si les interrogations éthiques concernant la médecine ne sont pas neuves, la bioéthique se distingue de la déontologie médicale classique, en ce que celle-ci constitue davantage un code éthique fondé par les médecins pour les médecins. On peut distinguer deux orientations principales de la bioéthique: l'une, davantage descriptive, vise à éclaircir les choix éthiques

type kantienne) qui distingue entre ce qui est et ce qui doit être, alors que l'éthique est liée à une tradition matérialiste (de type spinoziste) qui cherche seulement à améliorer le réel par une attitude raisonnable de recherche du bonheur de tous. Le droit est distinct de la morale et de l'éthique dans le sens où il ne se prononce pas sur la valeur des actes, bien et mal, bon ou mauvais, et ne définit que ce qui est permis et défendu par l'État dans une société donnée. La déontologie est

légalisme qui dit que "tout ce qui n'est pas défendu est permis", nie la morale et l'éthique. b) la déontologie. Le code de déontologie est un ensemble de régles de pratique professionnelle, qui sont proposées par des représentants de la profession et peuvent être imposées lorsque l'état a délégué une partie de ses pouvoirs à "un ordre professionnel", comme l'Ordre des Médecins. Mais la déontologie est au service d'une corporation, alors que l'éthique est au service du bien général et peut amener

vivre, être libre, rechercher le bonheur) ; * ils sont universels ; * ils sont les mêmes pour tous ; * ils sont inaliénables. Il faut souligner que tout droit appelle un devoir. * l'impératif catégorique : c'est la théorie kantienne de la morale. Kant distingue plusieurs types d'impératifs : * l'impératif hypothétique nous dit que si nous voulons ceci, nous devons faire telle ou telle chose ; * l'impératif catégorique nous dit seulement que nous devons faire telle

les institutions ne donnent pas lieu aux citoyens de se sentir humiliés, l'absence d'humiliation collective étant une exigence primordiale selon Margalit avant toute recherche d'une société juste. Les perspectives théoriques fondées sur la déontologie La notion d’impératif catégorique (Kant) L'impératif catégorique s'inscrit dans la critique de la conception antique de l'Homme : la fin de celui-ci n'est plus d'être heureux, mais d'être moral; le bonheur n'étant selon Kant qu'une conception

quelqu’un n’est pas un devoir positif. Selon la philosophie kantienne, il ne serait pas moral de sacrifier la vie du meurtrier, puisque les impératifs catégoriques ne sont pas respectés, ainsi qu’il est interdit peu importe la situation, de tuer un être humain, car la raison de chaque être humain devrait guider les actes qui sont moralement bons. Tuer n’est pas considéré comme moral dans cette philosophie, c’est pourquoi la philosophie kantienne s’oppose à la peine de mort. Analysons maintenant la situation

 Anne-Marie Caron CARA17559109 DÉLIBÉRATION ÉTHIQUE ET ÉTUDE DE CAS Travail final Dans le cadre du cours SVS3008 «Éthique et déontologie» Professeur : Annie Pullen-Sansfaçon École de service social Université de Montréal 7 janvier 2013 Dans chaque sphère de la vie, des problèmes ou des dilemmes surviennent. Ce n’est pas toujours évident de savoir comment les résoudre. C’est pourquoi, dans le cadre de ce travail, nous allons tenter de résoudre un dilemme éthique en se basant sur deux perspectives

De Platon à Aristote, de Saint-thomas d’Aquin à Kant, d’une vision chrétienne à une conception juridique, de l’utilitarisme anglo-saxon à la déontologie, d’une notion philosophique à un véritable principe fondamental de droit, du Traité des ordres et simples dignités de Charles Loyseau à une reconnaissance constitutionnelle de la dignité en 1994, peut-on universaliser et adopter une commune appréciation du principe de dignité humaine espérant obtenir une véritable efficacité face à l’indignité

morales de quelqu'un ; décrit un comportement. La morale est généralement rattachée à une tradition idéaliste (de type kantienne) qui distingue entre ce qui est et ce qui doit être, alors que l'éthique est liée à une tradition matérialiste (de type spinoziste) qui cherche seulement à améliorer le réel par une attitude raisonnable de recherche du bonheur de tous. Quant à la déontologie, (gr. deon, -ontos, ce qu'il faut faire, et logos science), c'est la discipline qui traite des devoirs à remplir, sur

se faire du bien. Notre civilisation est hédoniste, avec des tendances doloristes (crucifixion du christ) III. Les synonymes Morale : les bonnes mœurs, pas nécessairement philosophique, c’est comme ça parce que c’est comme ça. Déontologie : Ethique ou morale professionnelle (des médecins, des avocats, dans l’entreprise Axiologie : La science des valeurs en générale, théorie du bien, du juste (juridique) et du beau (esthétisme). IV. Retour actuel de l’éthique 68 : L’Ethique