Déportation

trentaine de minutes les camps d’extermination essentiellement à Auschwitz où les morceaux de cheveux, les vêtements d’enfants…, dans les chambres à gaz dominent. En effet, à l’époque, c’était la première fois qu’un documentaire présentait la Déportation dans son contexte historique en faisant appel à des images en couleurs, comme celles tournées en 1955 à Auschwitz et celles tirées des archives nazies en noir et blanc dont beaucoup de photos étaient fixes ; mais aussi en faisant appel à certaines

• Analyse du texte : Dans le premier quatrain les « wagons plombés » font référence à la déportation des juifs par les Nazis (shoah). Dans le deuxième quatrain, « Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres » explique qu’entre les mains des allemands ils avaient perdu toute identité et n’étaient plus qu’une « masse » . La « main » et les « dès » évoquent aussi que leur destin était déjà scellé et accentue la tragédie de leur futur. Dans le quatrième quatrain, Jean- Pierre est

sens et plus poignante comme lorsque guido force son fils a aller prendre une douche et que l’indiscipline de ce dernier va lui sauver la vie. Ce film traite les formes de violence anti juifs. La violence est a la fois physique et moral avec la déportation des juifs ( dont guido , son oncle et son fils) dans des camps allemand. Les conditions de vie la bas sont terribles: un travail très dur ( guido doit par exemple porté des enclumes toutes la journées) des repas rares , des dortoirs surchargés

l'occupant. Et pour avoir voulu défendre trois jeunes filles que les notables du villages voulaient livrer à l'occupant, Emélia, la femme de Brodeck est violentée toute la nuit et perd la raison. Le récit que Brodeck, par petites touches, de sa déportation, suit le canevas des récits des déportés, même violence, même mépris de la vie et des déportés, même retour au pays plus mort que vif devant les habitants médusés et gênés. Analyse L'auteur fait de nombreux emprunts aux témoins de la Shoah. Ainsi

1994 pour crime contre l'humanité. Au paravent en 1987, l'ancien chef de la Gestapo à Lyon Klaus Barby est jugé lors d'un procès qui sera filmé pour la TV. En 1997, Maurice Papon, ancien fonctionnaire du régime de Vichy, est jugé à Paris pour la déportation des juifs de Bordeaux. 2)Mémoires et responsabilités. En 1981, le président François Mittérand ne souhaite pas que la France assume les crimes commit par le régime de Vichy. En 1995, Chirac accepte cette reconnaissance officielle à condition

| |Janusz Korczak, 1942 | |Janusz Korczak était un très célèbre médecin et pédagogue juif polonais. Directeur | |d'un orphelinat dans le ghetto, il suivit ses enfants dans la déportation et la | |mort le 5 août 1942. | Le rôle du Judenrat Un "Conseil juif" (Judenrat) est créé par les nazis en octobre 1939. Il s'agit de dirigeants juifs auxquels les nazis s'adressent

de chimie òu il sera désormais traité d’une meilleure manière par les nazis. Le camp est libéré en janvier 1945, mais Lévi ne rejoindra l’Italie qu’à partir d’octobre. Il écrit alors Si c’est un homme qui est en quelque sorte un journal de sa déportation et l’un des premiers témoignages de la vie au camp d’Auschwitz l’œuvre sera publiée en 1947 mais ne connaitra pas un succès immédiat car la population refuse de croire cette expérience des camps que décrit Lévi. Le poème liminaire « Si c’est un

Pour insister sur le nombre, Jean utilise l’amplification : « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers » (l.1). Il nous montre aussi que les Hommes ont perdu leur identité : « Ils n’étaient plus que des nombres » (l.5). Et indique que la déportation a touché tout le monde en citant des prénoms de déportés de religions différentes : « Jean­Pierre, Natacha ou Samuel » (l.13). L’idée de mort et de terreur surplombe toute la chanson, du début jusqu’à la fin : « dans ces wagons plombés »(l.2 et 34)

Titre : Nuit et Brouillard Interprète, Compositeur, Auteur : Jean Ferrat Époque : Décembre 1963 Style : Lyrique et littéraire Description et analyse de l’œuvre « Nuit et Brouillard » est une chanson engagée de Jean Ferrat qui évoque la déportation des juifs par train : juif lui-même ayant perdu son père (mort à Auschwitz), il dénonce le barbarie de cette période de l'histoire pour que cela n'arrive plus jamais. Contexte de création A cette époque, la France n'est pas encore prête

ménage juive: il la frappe. Puis, vient le moment de la sélection, les hommes nus courent en file passant devant les médecins, comme des animaux. Les femmes se coupent volontairement afin d’utiliser leur sang comme du fard à joue. Lors de la déportation, Schindler est touché par l’image effrayante de ces juifs apparentés à des animaux en cage. Il les aide en leur donnant de l’eau. D’un côté, Schindler, et son humanité, et de l’autre, Goeth qui regarde cela comme un spectacle très divertissant.