Déraillement

plus extrême. Il y a aussi la détermination de Zucco pour son treillis. Il y a la violence du schizophrène : douceur au début (‘’j’ai toujours été doux avec toi’’) et à la fin, il tue sa mère. P 17 : il y a la métaphore du déraillement ‘’un train qui déraille (…) sur les raille’’ ( s’écarte du droit chemin ( quitter se qui est valoriser en tant que bien, c’est devenir mauvais, criminel pour entre dans la folie. Il y a le déclique (le meurtre). Roberto est fichu

donc désavantageux puisque l’homme naît bon, mais la société le corrompt. « La logique de Jonas aurait déconseillé l’invention de l’avion au nom du crash, récusé le bateau sous prétexte du naufrage, interdit le train en brandissant la menace du déraillement, formellement dissuadé le créateur de l’automobile en prophétisant les accidents de la route, négligé l’électricité sous prétexte d’électrocution. Le philosophe aurait dissuadé Dieu lui-même de créer la vie sous prétexte qu’elle conduirait à la

policiers de la SQ, pour tirer une première conclusion. Depuis le 11 septembre 2001, toute personne le moindrement informée sur la planète sait qu’un avion rempli de carburant peut dévaster un centre-ville. Un convoi de produits dangereux - qu’un déraillement soit criminel ou accidentel - constitue une menace non moins grave. Rail, train et personnel devraient donc répondre à des exigences sécuritaires accrues. Une telle réforme se heurte à la culture de l’industrie, voire à la priorité de ces gouvernements

a aussi des images de | | | |morts tués par balles, des armes, et des scènes de | | | |déraillements. | | | |Cette affiche de propagande allemande a pour objet de | | |

Vingt deux hommes et d’une femme. Ils sont presque tous d’origine étrangère : Arméniens, Polonais et Hongrois d’origine Juive, Italiens, Espagnols, Roumains et Français pour trois d’entre eux. Leur chef, Missak Manouchian organise les sabotages (déraillement de trains) et les attentats contre l’armée d’occupation allemande (attentats à la grenade, assassinat d’un général SS). Arrêtés par la police française, ils sont fusillés par les Allemands le 21 février 1944. Description de l’œuvre

photo de 9 des membres, tous juifs ou communistes, ainsi que les faits qu’on leur reproche. « Grzywacz – Juif polonais, 3 attentats », « Elek – Juif hongrois, 8 déraillements », « Wajsbrot – Juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements », « Witchitz – Juif polonais, 15 attentats », « Fingerweig – Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements », « Boczov – Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats », « Fontano – Communiste italien, 12 attentats », « Alfonso – Espagnol rouge, 7 attentats », « Rajman

lasuccession des minutes. L’horloge devient le symbole de la bombe à retardement qui va exploser, un temps exceptionnel arrivera avec ses personnages exemplaires. La réalité décrit par Malraux n’est seulement visible, c’est aussi sensible. L’action de déraillement a une profondeur psychologique chez Katow et à la foisavec la solitude de Katow s’expose à travers de sa vision, c’est lui seul qui sent cette fascination, c’est lui seul face au chaos et lui seul va prendre une décision.` Les descriptions de

groupe appartient au mouvement Communiste des FTP-MOI (Francs-Tireurs Main d’Œuvre Immigrée). Il est composé de vingt-deux hommes et d’une femme. Ils sont presque tous d’origine étrangère. Leur chef, Missak Manouchian, organise les destructions (déraillement de trains par exemple) et les attentats contre l’armée d’occupation allemande (attentats à la grenade). Arrêtés par la police françaises ils sont fusilles par les Allemands le 21 février 1944. COMPRENDRE : Cette affiche est violente ; tout

d’accroche à la forme interrogative : « Des libérateurs ? » à laquelle répond la phrase située en bas à la forme exclamative : « La Libération ! Par l’armée du crime ». les photos en médaillons, les noms les plus durs à prononcer et les actions (déraillements, assassinats,…) menées par dix des 23 résistants du groupe Manouchian sont indiqués. six photos d’attentats ou de destructions, représentant les actions qui leur sont reprochées. La mise en page montre une volonté d’assimiler ces dix résistants

disposés en triangle, dont le sommet est occupé par le portrait de Manouchian, le "chef" de ce mouvement Résistant, pour former une flèche orientée vers le bas de l’affiche. - photos rectangulaires documents relatant des actes terroristes (déraillement de trains), montrant des cadavres, un corps attaché transpercé de balles et, au centre, une saisie d’armes. Présence de texte : - légende correspondant à chaque portrait patronyme, mais absence de prénom ( = rejet de l’aspect affectif), nationalité