Dérivé de crédit

Les dérivés de crédit : instruments de couverture et facteurs d’instabilité. L’exemple des « Credit Default Swap ». Nathalie REY CEPN, -CNRS, UMR 7115, Université Paris 13 Résumé : Cet article montre, à partir d’une analyse sur longue période 2001-2007 des relations inter temporelles entre les marchés français des credit default swap (CDS), des actions et des obligations, comment une innovation financière comme les CDS pourrait être à l’origine d’une instabilité financière. Après avoir présenté

Les dérivés de crédit : Depuis une dizaine d’années, avec l’accroissement du nombre de faillites d’entreprises et la mise en place d’un cadre réglementaire, les établissements de crédit ont commencé à gérer activement leur risque de crédit ce qui s’est traduit par un développement rapide des marchés des instruments de transfert de ce risque parmi lesquels celui des dérivés de crédit. Ces derniers peuvent se définir comme des contrats financiers reflétant la valeur du risque attaché à un contrat

Les Credit Default Swaps (CDS) : une arme financière de destructions massives ?  Propulsés sur le devant de la scène internationale par la crise des dettes souveraines, notamment la crise grecque, le nébuleux marché des CDS n’est pas à son premier coup d’éclat depuis le début de la crise économique et financière. En effet, en septembre 2008 le marché des CDS a été le principal coupable de la quasi-faillite et de la nationalisation de l’American International Group (AIG) qui était la plus grande

QUEL ENCADREMENT NORMATIF POUR LES PRODUITS DERIVES : Introduction : La crise financière a jeté la lumière sur les produits dérivés, soit une catégorie d’instruments financiers qui peut jouer un rôle bénéfique dans l’économie, mais aussi être synonyme de risques importants pour la stabilité financière. Les pertes récentes liées à l’utilisation de produits dérivés révèlent des problèmes de contrôle de ces opérations, la complexité croissante de ces produits rend leur maitrise difficile. en effet

ou complexes. Ils utilisent régulièrement des techniques permettant de spéculer (produits dérivés, vente à découvert…) sur l’évolution des marchés quelque soit la tendance. Les hedge funds sont des acteurs importants des marchés et ils réalisent une part significative des transactions. Caractéristiques des hedge funds : * Compagnie d’investissement ou partenariat privé utilisant des produits dérivés (options, futures, swaps…), du levier financier et la vente de titres à découvert ; * Ils

Recherches INTERNET sur le sujet L’analyse du risque de crédit Résumé Mémoire (Licence sciences de gestion) consacré à l'analyse du risque de crédit lors de l'octroi d'un crédit aux particuliers et aux professionnels. Comment se réalise cette analyse du risque ? Quels sont les changements induits par Bâle II ? Quelles sont les techniques mises en place afin de limiter ce risque ? Extrait: Les banques jouent un rôle important dans le financement de l'économie et leur activité d'intermédiation

* les résidents peuvent aussi couvrir leurs participations en devises 3- les instruments de couverture en Malaisie : Le marché offre une gamme diversifiée des produits dérivés qui couvrent quatre risques spécifiques : le risque de change, de taux, de fluctuation des prix des produits de base et le risque de crédit. * Risque de change : Le seul instrument utilisé sur le marché est le change à terme puisque les options de devises et les swaps de devises ne sont pas autorisés en Malaisie

La formidable dynamique des marchés de swaps réside dans ce qu'il n'y a pas d'échange de capital, seulement l'échange de flux d'intérêt. Dans le cas d'un swap de taux d'intérêt, il s'agit donc d'un prêt débarrassé de l'essentiel de son risque de crédit. Des appels de marges ou des dépôts de collatéral en garantie peuvent même le faire presque totalement disparaître, et le swap devient alors pur taux d'intérêt, réductible à ses coefficients d'actualisation (en anglais : discount factors) et donc

La Gestion du risque de Signature ; les produits dérivés de crédit | |Ulric ADOM | | |Guillaume BOUVARD | |

| Deux motivations semblables pour le Maroc et l’UEMOA. Ne pas reproduire le système américain en se servant de la titrisation pour externaliser le risque des établissements de crédit, mais plutôt pour mobiliser les financements indispensables à la mise en place des infrastructures.PAR ADAMA WADE, CASABLANCALe Maroc et la zone de l’UEMOA sont en train de basculer dans deux étapes chronologiquement différentes du développement de la titrisation. Pour le premier, fort de cinq ans d’expérience du