Derniers empereurs

environ le tiers de tout l’hémisphère nord, soit 4000 km d’Est en Ouest et 3500 km du Nord au Sud . À cause de cette immense expansion du territoire, il est devenu très difficile pour les dirigeants, entre autre les empereurs, de gouverner tout l’Empire. Effectivement, les derniers empereurs comme par exemple Romulus Augustule, détenaient le pouvoir sur une si grande région et devaient la gérer également partout. Cela est devenu extrêmement difficile puisqu’ils ne pouvaient se trouver à tous ces endroits

internationales, aux rébellions et à de multiples défaites militaires, ayant pour conséquence le déclin de la dynastie à partir de la seconde moitié du XIXe siècle. La dynastie Qing fut renversée à la suite de la révolution Xinhai, quand abdiqua le dernier empereur, Puyi , alors âgé de 7 ans, le 12 février 1912.

aime Doña Sol. Don Carlos propose alors à Doña Josefa de la payer pour qu’il reste car Doña Sol arrive. Elle accepte et il se cache alors dans une armoire. Acte 1, Scène 2 Doña Sol est présente comme convenu au rendez-vous avec Hernani. Ce dernier évoque le mariage prévu entre celle qu’il aime et son oncle, un vieil homme Don Ruiz Gomez. Hernani insiste aussi sur son statut de bandit, de hors la loi car il a peur que cela mette également en danger son aimée. Don Carlos surgit brusquement de

d’Autriche et roi d’Espagne, fut un prince amoureux de son plaisir, grand coureur d’aventures, sérénades et estocades sous les balcons de Saragosse, ravissant volontiers les belles aux galants, voluptueux et cruel au besoin. Mais du jour où il fut empereur, une révolution se fit en lui. » Il tira ensuite sans doute l’ambiance hispanique de ses souvenirs de ce pays, où il habita quelque temps à la suite de son père durant les campagnes napoléoniennes, et de textes récents sur l’histoire locale, toujours

Saint Empire romain germanique), Don Carlos attend les résultats de l’élection impériale tout en déjouant un complot : parmi les conjurés se trouvent Don Ruy Gomez et Hernani ; ce dernier, désigné pour assassiner le roi, refuse de laisser sa place à Don Ruy Gomez, qui lui propose pourtant de rompre le pacte. Élu empereur, Don Carlos pardonne aux conjurés et annonce le mariage de Doña Sol avec Hernani, qui révèle sa véritable identité (car il est noble mais né en exil) qui est celle de Jean d’Aragon

d'Hugo. Il veut donc dire que ce dernier est passé au cour de ce tournoi pour un mauvais comédien, voulant se faire voir, et faisant rire tout le monde. Dans son portrait, Victor Hugo évoque aussi, la certaine aptitude qu'à Napoléon III pour monter à cheval; " Il monte bien à cheval" ( l.3). Nous ne pouvons que comprendre qu'une fois de plus, l'écrivain rend la personne de l'empereur de français risible aux lecteurs. Pour finir dans son argumentation d'un empereur tourné à la moquerie, Napoléon III

richesses que le Roi assoit son pouvoir. • La puissance de sa Majesté Lionne resurgit également à travers sa cruauté à l’égard de l’Ours et du Singe : le premier est envoyé chez Pluton (roi des Enfers) et le second devient parent de Caligula (empereur romain qui fit exécuter ses proches après la mort de sa sœur). => La quête des origines qui s’annonce comme projet initial au rassemblement de la Cour plénière disparaît en fait bien vite pour faire place à une question nettement plus triviale posée

Don Carlos attend le résultat de l'élection à l'Empire ; il médite sur le destin du monde dominé par «ces deux moitiés de Dieu, le Pape et l'Empereur». Dans l'ombre, un complot se trame contre lui : les chefs en sont Don Ruy Gomez et Hernani ; ce dernier, désigné pour assassiner le roi, refuse de laisser sa place à Don Ruy Gomez, qui lui propose pourtant de rompre le pacte. Don Carlos est élu : le voici Charles Quint. Renonçant à ses errements de jeunesse, il pardonne alors magnanimement aux conjurés

prince féodal parmi ses vassaux, a-t-il pu affirmer son autorité et ainsi faire basculer la suzeraineté vers la souveraineté ? On remarque qu’il y a une véritable émergence du pouvoir royal au XIII a l’intérieur même de la féodalité et que ce derniers tant à croître et à s’affirmer (I). L’État émerge lentement de la féodalité qui est en plein déclin et c’est ainsi que la société connaît un passage de la suzeraineté vers la souveraineté (II) « Un souverain ne saurait rien faire de plus utile

ou République, laquelle est la mieux adaptée à l'Europe ? Pour commencer, je vais vous rappelez les définitions de la Monarchie ainsi que de la République. La Monarchie, est un régime politique dans lequel le Chef de l'État est un roi ou un empereur héréditaire. L' Organisation politique dans laquelle les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont concentrés, sont entre les mains de ce même individu. La République elle, est un système politique dans lequel l'État doit servir le "bien