Des Bornes Du Pouvoir Souverain

limitation de la souveraineté (que ce soit celle du peuple ou celle de l’instance qui le représente) à la sphère du politique, qu’il sépare de la sphère sociale. Nous verrons donc comment cette théorie s’appuie sur la distinction entre deux sortes de pouvoir, l’un légitime, l’autre illégitime, et sur la séparation entre la sphère privée ou sociale et la sphère publique ou politique. Enfin nous analyserons en détail la limitation de la souveraineté comme garantie des libertés individuelles fondamentales

libres différence: chef pas d'amour pr son peuple ms plaisir de commander Grotius: pouvoir humain pas établi en faveur des gouvernés; espèce humaine divisée en troupeaux, gardés par des chefs pr les dévorer. Aristote: h pas naturellement égaux, les uns naissent pr esclavage, les autres pr la domination. JJR: «tout homme né ds l'esclavage nait pr l'esclavage », esclaves aiment leur servitude. Adam souverain de son md comme Robinson de son île tant qu'ils furent les seuls habitants. Chapitre

charnière où le roi devient souverain de la France. Ce document mène a s’interroger dans quelles mesures le roi est il souverain de la France et sur quelles sont les limites de cette souveraineté ? Il s'agira dans une première partie de voir les prérogatives du roi puis de voir les bornes a ce pouvoir dans une deuxième partie. I) L'exercice de la souveraineté Comme précisé précédemment, le XIIeme siècle est une période de changement qui voit coexister le pouvoir de la souveraineté royale ainsi

produit un corps moral et collectif […], (un) moi commun » Chapitre 7 : du souverain Chacun est engagé à la fois comme partie du souverain envers les particuliers et membre de l'État envers le souverain. Le souverain ne peut aliéner aucune partie de lui même, ni s'aliéner à qqn d'autre, car « violer l'acte par lequel il existe serait s'anéantir » (souverain = corps politique issu du contrat social). « Le souverain, par cela seul qu'il est, est toujours ce qu'il doit être » → étant constitué

mais non de telle manière qu’il nous serait impossible de les étudier selon deux axes, l’exposé philosophique répondra à la suivante problématique : quels sont les intérêts de l’état ? Convient-il d’y parvenir par de moyens qui transgressent les bornes de la morale ? L’étude sera présentée en trois temps : d’abord sera considérée l’opinion selon laquelle les intérêts de l’état ne justifient point un tel recours ; puis, celle qui s’y oppose ; enfin sera élaborée une conciliation de ces thèses.

sureté. Le terme « déclaration » des droits de l’homme doit être pris dans son sens premier. Les constituants n’ont pas créé les droits qu’ils énumèrent. Ils se sont bornes a constater leur existence. Le préambule de la déclaration exprime parfaitement cette idée : « Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oublie ou le mépris des droites de l’homme sont

aux autres. La liberté est un présent du ciel, et chaque individu de la même espèce a le droit d’en jouir aussitôt qu’il jouit de la raison. Si la nature a établi quelque autorité, c’est la puissance paternelle: mais la puissance paternelle a ses bornes, et dans l’état de nature elle finirait aussitôt que les enfants seraient en état de se conduire. Toute autre autorité vient d’une autre origine que de la nature. Qu’on examine bien, et on la fera toujours remonter à l’une de ces deux sources: ou

L'exercice de la souveraineté La souveraineté est définit comme l'exercice de la puissance, elle vient du mot souverain & vient du latin su.. qui veut dire supérieur. Définit pour la première fois par J. Bodin. Document 1 : La souveraineté est rattachée à la puissance & au pouvoir par le peuple. « le fondement principal de toute République » → J. Bodin utilise le mot République au sens d'État (Res Publica). J. Bodin a fait de la souveraineté le point central de sa théorie politique

l'opinion commune -que sans doute d'ailleurs, sur ce point, chacun de nous partage intimement et initialement- oscille entre deux extrêmes2 . D'abord elle conçoit la liberté comme absence absolue de limites, rigoureuse négation de toutes contraintes, pouvoir absolu sur soi, les autres et le monde3 . Le prototype d'une telle liberté serait Calliclès lorsqu'il déclare4 : "Car comment serait-on heureux, quand on est esclave de qui que ce soit? Mais ce qui selon la nature est beau et juste, c'est ce que

gouverner, sur quoi fonder la légitimité du souverain. Il s'agissait de faire apparaître le souverain comme détenant par nature un droit à exercer son pouvoir. La question est de savoir à qui il est naturellement juste que ce pouvoir revienne. La justice par nature a changé de teneur chz les Modernes. Elle renvoie à des exigences de la nature humaine. La nature de l'ëtre inspirait des conditions sans la prise en compte desquelles les sujets d'un pouvoir ne seraient plus des hommes ms des animaux