Des Gout Et Des Couleurs On Ne Discute Pas

des couleurs on ne discute pas." Cette expression participait à l’enseignement dès le Moyen-Age, de la philosophie et de la théologie. Cependant Paul Valéry répondra à cette citation par cette phrase : « Il faut disputer des goûts et des couleurs. D'abord parce que toute dispute se réduit à cette espèce, et qu'il faut que l'on dispute. » La notion des goûts et de jugement amène  à différentes théories à des prises de position à analyser Mais qu’est-ce que le goût ? Sens propre  le goût est

Peut-on discuter des gouts et des couleurs Les œuvres d’arts obligent à percer le monde réel et à descendre au fond de nous-même. Les plaisirs sensibles, la joie et la tristesse se transforment avec les œuvres d’art et qui apportent un plaisir intérieur sans jamais nous détourner de notre vie. 1/ L’art sert-il à quelque chose ? Ou bien s’agit-il d’une activité superflue, au regard, à la production de nourriture ? 2/ L’art est-il vital ? L’art n’est pas une besoin vital. MAIS ! Pourtant depuis

On entend par gout l’appréciation purement esthétique d’une chose ; cela arrive lorsque je la juge non en fonction de son utilité ou de sa valeur morale, mais en fonction de son seul critère « me plait elle ou non ? » Les objets sur lesquels s’exerce le gout sont les objets que l’on appréhende seulement par les sens, ces objets sont donc par exemple les couleurs, les sons les odeurs, les sensations de toutes sorte. La discussion désigne l’acte par lequel des personnes échangent paroles et arguments

Sujet : Est-il vrai qu’on ne peut discuter des goûts ? Le goût est lié aux tendances, aux préférences qui se manifestent dans le genre de vie et les habitudes de chacun. Ceci laisse ainsi penser que les goûts d’autrui sont différents des nôtres. Cependant, nous pouvons nous demander si les goûts doivent être purement personnels ; ou si, au contraire, ils peuvent être partagés, s’ils peuvent évoluer ou encore changer avec le temps. Est-il alors vrai qu’on ne peut discuter des goûts ? Est-il vrai que

Kant : le jugement esthétique La critique de la faculté de juger (1791): définitions fondamentales I Le jugement de goût Un jugement esthétique est un « jugement dont le principe ne peut être que subjectif » : c’est un jugement réfléchissant qualifiant l’impression produite sur moi par la façon dont ma faculté de ressentir (sentiment de plaisir ou peine) est affectée par une représentation (objet ou événement extérieur) Est « esthétique » la qualification d’ agréable, de beau, de sublime :

goûts et des couleurs on ne discute pas” entend-on souvent, ce qui voudrait dire que le jugement de goût est tout entier livré à l’arbitraire de chacun, et ce qui, au fond, reléguerait l’appréciation esthétique au même rang que le goût en matière de cuisine. Tout comme chacun est libre de préférer le couscous au cassoulet (et vice versa), il n’y aurait qu’une différence subjective entre Bach et le dernier des Boys Band. N’y a-t-il donc rien de beau en soi, aucun critère universel du goût, aucune hiérarchie

lignes 13 à 16 : «  On voit … l’objet » : « En moi », je découvre le jugement de goût, la faculté de juger du beau telle qu’elle se rencontre en tout sujet, universellement. Le jugement de goût est la faculté qui rend possible l’expérience de beau. C’est qu’il faut retenir, c’est que le beau est l’objet d’une satisfaction désintéressée, et cette satisfaction désintéressé, c’est ce que Kant nomme le « Jugement de goût pur » (lignes 17-18). « Pur » signifie ici désintéressé. L’art, est donc une création

Peut-on convaincre quelqu’un de la beauté d’une œuvre d’art ?« Des goûts et des couleurs, on ne discute pas », tel est l’adage auquel on fait souvent référence, pour justifier le fait qu’il n’y aurait pas de sens à vouloir convaincre quelqu’un de la beauté d’une œuvre d’art. En matière d’art ou de beauté en général, l'accord ne serait qu'accidentel. Si l’œuvre ne convainc pas d’elle-même, a-t-on quelque chance de pouvoir plaider sa cause auprès de celui qui n'y est pas sensible ? La question qui

les couleurs, ça ne se discute pas » L’expression « les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas » est un proverbe qui trouve son origine au Moyen-Age. Il était utilisé dans l’enseignement philosophique et théologique. Cette formule a un sens bien particulier. En effet, elle insinue que les individus ne choisissent pas leurs propres goûts et les couleurs qu’ils apprécient selon des critères fondés sur la raison. Selon cette expression, les goûts que nous possédons et les couleurs que nous

réalité intérieure, percevoir ses émotions etc. Nous sommes face a un paradoxe : apprendre/percevoir Il semble absurde de se demander si la perception nécessite un apprentissage. Par exemple l’œnologue apprend à percevoir le vin, il a développer son gout.   Si l’est possible d’affuter sa façon de percevoir alors il est possible que notre façon de voir le monde est culturellement déterminée.   Nous avons l’impression que notre perception est une photographie fidèle au monde réel.   Le sujet sous