Des Nords Des Suds

Nord/Sud. Les inégalités de développement continuent à structurer la grille de lecture du monde, mais la césure Nord/Sud, matérialisée par une ligne épaisse au milieu du planisphère, n’en rend plus compte, même en évoquant les Nords, les Suds, les Suds du Nord ou encore les Nords du Sud (cette errance croissante dans la dénomination montre qu’elle est de moins en moins opérante). Les mutations ont permis le développement de nouveaux acteurs, dont les pays émergents, à croissance rapide. Ils ont été définis

majeurs et les bourses sont reliées entre elles par des télécommunications (câbles sous-marins, satellites,...). La diversité de l'ensemble de la région se manifeste aussi bien du fait de la grande diversité des niveaux de vie (les Nords et les Suds) que par la variété et la grande différence des systèmes politiques. Avec la mondialisation et la globalisation des économies, la région est devenue, de par ses attraits, l'un des principaux

Myanmar, Afghanistan, etc.). Ces pays du Sud ont des difficultés à satisfaire les besoins des populations. La partition du monde entre pays du Nord riches et pays du Sud pauvres (1980) n’est plus vraiment d’actualité. En réalité, il existe des Nords et des Suds. En effet, les inégalités se retrouvent à toutes les échelles y compris dans les pays riches. La limite Nord-Sud   Chronologie 1980 : publication du rapport Brandt, limite Nord/Sud 1990 : l’économiste indien Amartya Sen élabore la notion d’IDH

On parle de plus en plus du réchauffement climatique, tout le monde est concerné : pays des Nords et pays des Suds. Déjà dès 1988 le GIEC tirait la sonnette d’alarme. Fin 1997 le protocole de Kyoto était un traité visant à réduire l’émission des gaz à effet de serre afin d’agir au plus vite sur les changements climatiques… La conférence de Copenhague a été la 15ème des parties de la convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique, elle s’est déroulée du 7 au 18 décembre 2009 afin

sensibles à cette question. Mais tous n'ont pas les moyens financiers et techniques adéquats. Pour que les pays pauvres puissent eux aussi pratiquer davantage ce type de politiques énergétiques, il faudrait des transferts de technologiedes Nords vers les Suds. 2. La transition énergétique : abandonner progressivement les énergies primaires pour les énergies renouvelables • Il semble impossible aujourd'hui de remplacer brutalement toutes les énergies primaires par desénergies renouvelables (disponibles

Sud/Nord=> faible (produit primaire)=> hydrocarbure, minerais (Drogue car plus d'argent au nord). Flux financier (IDE= Investissement Direct à l'Etranger)=> N/S => firme multinational (FTN/FMN) car main-d'oeuvre coûte moins cher. Pays du Nords investissent dans pays du Suds Atelier= textile/electronique/telephonie(Maroc)/Hotellerie. Beaucoup d'échange entre diff. pays méditérranée mais peu d'échange dans pays Sud méditérranée (Maroc, Algérie, Israel). Méditérranée reste un espace de transit : 2000bateau/jour

alphabétisée. - En revanche, son taux de mortalité infantile demeure encore élevé. - Son PIB (Produit intérieur brut) est très moyen. Le Brésil se trouve donc dans une situation intermédiaire entre les résultats des pays des Nords (les pays riches) et ceux des pays des Suds (les pays pauvres). Il est donc réellement une puissance émergente, c'est-à-dire qui sort de sa situation de pays du Sud grâce à sa croissance économique, aux importants progrès accomplis en terme de mortalité infantile et d'alphabétisation

supposent éventuellement des aménagements destinés à favoriser la fonction concernée. Les migrations dans l’espace méditerranéen ont plusieurs explications. La première est le différentiel de développement. Cette coupure, significative du clivage Nords-Suds, est mise en évidence par de nombreux indicateurs (PIB/habitant, IDH,…) et explique que les espaces de la rive Nord soient attractifs pour les populations du Sud délaissées jusqu’à maintenant par le développement. Le facteur démographique importe

l’influence des mouvements de la planète financière (docks de Londres, bien sûr, mais aussi complexes immobiliers nés du blanchiment de l’argent à Miami, sur le littoral mexicain ou sur celui de la Mer noire). Page 1 sur 3 Du global au local, des Nords aux Suds, du monde à l’antimonde, on s’attachera donc à la géographie de la planète financière en ce qu’elle est devenue un indicateur de différenciation des Etats, des régions, des villes, des quartiers, de leur mise en réseau et de leur mise en concurrence

supposent éventuellement des aménagements destinés à favoriser la fonction concernée. Les migrations dans l’espace méditerranéen ont plusieurs explications. La première est le différentiel de développement. Cette coupure, significative du clivage Nords-Suds, est mise en évidence par de nombreux indicateurs (PIB/habitant, IDH,…) et explique que les espaces de la rive Nord soient attractifs pour les populations du Sud délaissées jusqu’à maintenant par le développement. Le facteur démographique importe