Des visages des figures

et ses actions. 1 - Le portrait physique : La description physique donne des détails permettant de reconnaître la personne Mais pour cela, il faut suivre un ordre logique. On peut partir d’un détail du visage et élargir la description jusqu’à l’allure générale et vice-versa: - Les détails du visage, - la voix, - le corps, - les vêtements, - l’allure (démarche, attitude, mouvements) 2 - Le portrait moral : La description morale donne des détails sur le personnage permettant de connaître : - son caractère

283 : MARIA : « la folie chez le fou n'est pas aussi saillante que chez le sage qui s'affole. » La figure de style en question est une allitération, en effet on remarque les lettres « F » et « S » sont répétées : Folie ; Fou ; aFFole ; Saillante ; Sage ; S'affole. Page 283: LA PRINCESSE : « Voici venir Boyet, la gaité sur la face! » BOYET : « Ah! Je suis poignardé de rires. » La figure de style présente dans cette tirade est une antiphrase car elle exprime une idée: « rires » par son

désaxés, le corps de son fils, allongé, qu'elle retient de sa main droite. Sa musculature, sa force sont perceptibles malgré les vêtements. Elle est telle un roc pour son fils malgré son apparente jeunesse illustrée dans les traits fins de son visage. Visage qui ne traduit pas de signes de tristesse. Jésus paraît plus âgé que sa mère. Contrairement à elle, il est vêtu d’un simple pagne. Son corps a une forme serpentine, sa tête est penchée en arrière et retombe mollement. Il a les yeux clos. Son bras

294-293. PROPOS GENERAUX ✔ A Volos : * Le fond est en général constitué par la pierre elle-même, pas d’enduit. * L’arrière plan de la composition est matérialisé par la couleur et par une structure architecturale. * Réalisation des figures : trois phases principales. Aristote, précepteur d’Alexandre, a mentionné cette pratique de la superposition * Dessin n Trait noir au pinceau, tracé épais. Permet la mise en place des contours et la distribution des ombres et des couleurs

plastiques. Cette tension semble plus atténuée dans le tableau 2. La violence du groupe s'oppose à la souffrance du Christ. La violence est présente dans les regards, les gestes amples. Il y a un sentiment d'encerclement, d'étouffement, dans la figure du Christ. La force est accentuée par la nudité des corps représentés. Dans le tableau 2, il y a encore des mouvements de torsion des corps. Mais il n'y a pas le même dynamisme que dans le tableau 1. Le sentiment d'étouffement est moins appuyé

œuvres de Andy Warhol. Biographie de l'Auteur: Andy Warhol (de son vrai nom Andrew Warhola), né le 6 août 1928 à Pittsburgh en Pennsylvanie et mort à New York le 22 février 1987 est un artiste américain, figure centrale du Pop Art, dont il est l'un des pionniers. Warhol est connu dans le monde entier par son travail de peintre, de producteur musical, d'auteur, par ses films d'avant-garde, et par ses liens avec les intellectuels, les célébrités de Hollywood

colonel Chabert : « son front » « sous ses cheveux » « le visage » « le cou » « cette vieille tête » « les bords du chapeau qui couvrait le front » « les haut du visage » « les rides blanches » « dans le corps » et « dans le regards ». Le narrateur semble s’intéresser surtout au visage du colonel. Il donne l’impression qu’il est « sec et maigre ». Puis on le compare : « aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure en cire » « le visage pale, livide, et en lame de couteau » « prendre cette

doute pour traduire la terreur et le deuil. b) Analyse des figures principales Les regards de la plupart des personnages sont tournés vers la gauche ; ceci induit une lecture de droite à gauche, inverse du sens de la lecture d’un texte. Les expressions Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval Presque au centre de la composition, il symbolise

bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quant il employait sa force à gouverner un cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu'une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut. Ses yeux de feu ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse

transposition en une succession d'images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment, parfois plus ambigües. C'est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica. Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. LE CHEVAL Presque au centre de la composition, il symbolise, des