Descartes Substance Pensante

métaphysiques de Descartes. Les Méditations métaphysiques sont une œuvre philosophique de René Descartes, parue pour la première fois en latin en 1641. Du point de vue de l'histoire de la philosophie, elles constituent l'une des expressions les plus influentes du rationalisme classique. Dans ces méditations, Descartes soutient qu'en dépit des arguments sceptiques contre la vérité et la certitude, il y a des connaissances légitimes. Aussi, il présente l'homme comme ayant une substance essentiellement

cette conscience est-elle fiable ? La conscience d'exister comme sujet pensant prouve-t-elle vraiment l'existence d'un tel sujet, ou n'est-elle qu'une illusion ? Faut-il dire cogito (« je pense ») avec Descartes, ou cogitatur (« ça pense ») avec Nietzsche ? Mais si le sujet n'existe pas comme principe, disparaît-il alors moralement, c'est-à-dire comme valeur ? L'idée de sujet conscient perd-elle toute valeur ? La réponse de Descartes Le doute retourné contre le scepticisme C'est pour vaincre le scepticisme

un contexte historique déterminé par des pensées et des études concrètes, et pour se faire, nous nous concentrerons sur deux sources d'époque: la Conférence sur l’expression générale et particulière de 1698 et le traité des Passions de l'âme de Descartes de 1649. Au XVIIe siècle, le corps est appréhendé comme extrêmement scientifique. En effet, l'héritage du XVIe siècle a créé de nouveaux imaginaires mécaniques où le corps est perçu comme une machine où le muscle a une efficacité et une fonction

Texte en relation avec le fond philosophique: Extrait du Discours des methodes de Descartes. Qui est auteur de Méditation Métaphysique. la démarche dans ces deux textes est de considérer comme faux tout ce dont il est possible de douter. Il y a trois formes de doutes: · Le doute provisoire: Douter jusqu'a la certitude absolu. · Le doute systématique: Douter en prenant les choses a leurs bases c'est-à-dire en mettant en causes les facultés dont on tires ses connaissances. Le doute hyperbolique:

train de vivre » ? La conscience spontanée nous accompagne tout le temps, et parfois nous pouvons la formuler sous forme de réflexion, auquel cas cela devient de la conscience réfléchie. 2) Blaise Pascal, Pensées → Pascal est un contemporain de Descartes et il est un génie universel, puisqu’il est à la fois un grand écrivain, philosophe, théologien mais aussi un grand scientifique en mathématiques et en physique. Pensées est un livre divisé, dont les fragments ont été mélangés afin d’en faire un

, « la source », désigne tantôt une donnée indéterminée qui a besoin d’une forme ou d’une « idée » pour parvenir à l’existence, tantôt la seule réalité indéniable, c’est-à-dire concrète et tangible. L’ « esprit », à l’opposé, désigne une réalité pensante et active généralement associée à l’âme humaine. La conception de la matière est très variable selon les options philosophiques mais le sens commun est spontanément « matérialiste ».  Matérialisme et idéalisme Pour la philosophie matérialiste

d’ensemble de la réalité - Panorama des visions du monde où prennent place les idées de matière et d’esprit - Problématique I. Pouvons-nous être définis comme étant des composés de matière et d’esprit ? 1. Position du problème 2. La réponse de Descartes II. Peut-on voir dans l’esprit un simple produit de la matière ? 1. Le point de vue matérialiste 2. Que penser du réductionnisme matérialiste ? III. Pourquoi ne pas résorber au contraire la matière dans l’esprit ? 1. Les théories immatérialistes

l’expérience du cogito de Descartes, nous montrerons le point de vue contraire en expliquant que la conscience de soi est extérieure à l’individu selon la phénoménologie d’Husserl et le principe d’intersubjectivité I) L’expérience du cogito de Descartes A) Thèse - Descartes : premier philosophe à avoir produit une définition claire de la conscience de soi, XVII° siècle. son projet : refonder le savoir et faire de la philosophie une science  crée arbre de Descartes dans la lettre préface

vraies. Le problème est que l’opinion est trompeuse car elle est incertaine, elle est par nature douteuse car elle est infondée, ça n’est pas une connaissance, il faut DETRUIRE toutes les opinions pour les remplacer par des connaissances. Texte de DESCARTES : Pour faire la part du vrai et du faux c’est toutes les opinions qu’il faut se débarrasser puisqu’elles sont infondées donc incertaines. Un des problèmes qui rend cette entreprise difficile c’est que l’on a besoin de ses opinions pour faire nos

dire que je suis toujours le même? Le fait que je conserve la même apparence physique? Les mêmes idées? Plan: Dans un premier temps, nous verrons que l’identité du sujet peut être attribuée à une substance résistant à tout changement, puis nous étudierons si cette identification du sujet à la substance est légitime: doit-on considérer la permanence du sujet comme une expression vide de sens (voir remarque n° 5)? Nous démontrerons enfin que le sujet possède une permanence, mais qui ne peut s‘accomplir