Descartes Sujet Pensant

plus lorsque l’on commence à s’éveiller. Quelques citations: "Connaît-toi toi-même" (Socrate V° siècle AVJ). "Je pense donc je suis" (en latin : cogito, ergo sum). Cogito est un terme que vous rencontrerez souvent avec Descartes notamment. (Descartes 1637). Descartes établie donc une première vérité : il est. "La conscience est un produit social" (Karl Marx 1846). "La seule façon d’exister pour la conscience est d’avoir la conscience d’exister" (Jean Paul Sartre 1943). Quelques textes

position de René Descartes et Julien Offray de La Metterie dans leurs deux œuvres respectives "Discours de la méthode" et "L’homme-Machine" où, même si l’un élabore un certain prolongement de l’idée de l’autre, les deux théories n’en demeurent pas moins divergentes. Dans le présent texte, j’exposerai la pensée des deux philosophes en faisant ressortir les principaux aspects de désaccord sur la question et je clorai le tout en énonçant ma propre pensée sur le sujet. Pour Descartes, il est clair que

règne animal? Descartes et Rousseau ont deux théories très plausibles à ce sujet. Descartes, grand philosophe français du XVIe siècle, met de l’avant sa théorie que ce qui différencie l’homme de l’animal est sa faculté de penser. Ce n’est non pas le corps, qui est selon lui une machine tout comme celui de l’animal, mais son «bon sens» qui les distingue. Il expose que le corps n’est qu’une machine et que celle de l’homme est habité par de la matière pensante. Cette matière pensante donne l’opportunité

question l'opposition traditionnelle entre la conscience humaine et la vie instinctive de l'animal. * L'observation du comportement animal met en lumière une forme de subjectivité. * Certains animaux sont considérés comme d'authentiques sujets. * L'intelligence animale est différente de celle de l'homme et irréductible à celle d'une machine. * L'éthologie ne prétend pas établir des critères objectifs et certains d'une conscience de soi chez l'animal. * L'éthologue accède à

âme, qui servirait à unifier tout ce qui nous modifie au cours de notre existence (unité subjective et non objective) Il démontre sa thèse en partant dans un premier temps d’une définition très générale de la personne : est une personne un être pensant et donc conscient, et qui se rapporte à lui-même comme étant un seul et même être (lignes 1 à 3). Dans un second temps, il en déduit que par conséquent pour se considérer (pas « être » ! c’est important !) comme la même personne en différents temps

entre 1600 et 1648 qui est considéré comme une intervalle très important dans la construction de la pensée d'aujourd'hui. Les principaux acteurs de cette changement que nous avons étudié durant notre analyse était Cervantès, Shakespeare, Monteverdi, Descartes et Kant. Pour commencer on peut dire que l'année 1648 date la naissance de l'Europe moderne par l'intermédiaire de la signature des traités de paix comme celle de Westphalie. Nous avons appris que le monde a connut pour la première fois les traces

distinguent dans son environnement, varient entre les valeurs chrétiennes et celles de Descartes. Selon le christianisme, l’âme est ce qui distingue l’être humain des autres créatures vivantes et ce qui représente le fondement même de son existence. Effectivement, cet attribut spirituel permet une ascension au-delà de la conception purement matérielle, qui représente par ailleurs la seule réalité des animaux. Pour Descartes, c’est plutôt la raison qui permet de faire cette distinction. Elle est présente

Savoir que j'existe et avoir conscience qu'autour de soi il existe des choses qui se distinguent de moi. L'homme est doué de conscience au travers de la relation qu'il entretient avec autrui. Comme dirait Husserl : « Si les hommes sont pour moi des sujets, c'est parce que je les saisies comme doué de conscience, par analogie à moi. ». Cependant certains faits peuvent nous faire douter de ce constat. Tout n'est pas transparent dans la conscience que j'ai de moi-même. Si je suis angoissée et que je

chaque substance pensante ? N’est-elle pas la base d’une conscience où la notion même du moi semble occuper une place fondamentale ? Peut-on dès lors considérer le moi comme réel ? Ou n’est-il qu’une invention de notre part ? Nous étudierons donc dans un premier temps que la notion même de moi semble ambiguë face au caractère changeant et imprévisible de la nature humaine, pour finalement en venir à l’idée que la conscience du « moi » est le socle de l’identité personnelle du sujet. Enfin, nous verrons

  À la question «     qui suis­je     », puis­je donner une réponse exacte  ? S'il m'est possible de savoir qui je suis, au sens de m'avoir à l'esprit comme objet de pensée,  peut­être m'est­il plus dure de me  connaître, c'est du moins ce que le sujet laisse sous­entendre  lorsqu'il nous propose le défi de  l'exactitude. En effet, je peux savoir qui je suis, soit me prendre  moi­même comme objet de pensée. Mais il m'est plus difficile, voire impossible, de me saisir dans  ma nature­même, mon essence­même