Description Avec Personnification

transformation du corps de la femme après l’accouchement et s’attarde sur chaque détails. La description ne semble pas à l’avantage de la jeune mère. Nous pouvons alors nous demander comment Ponge métaphorise le travail du poète à travers l’enfant d’une jeune mère. Afin de répondre à cette question nous séparerons ce poème en deux mouvements. Le premier mouvement, du début au vers 12, Ponge fait la description des changements physiques qui s’effectuent sur le corps de la femme après l’accouchement

Ville vivante Jean-Marie Le Clézio Questionnement systématique : Thème : description et critique du monde moderne, Le Clézio a beaucoup voyagé, et essaye de comprendre le monde au travers des différentes cultures Genre littéraire : roman Type : description Registre du texte : plutôt fantastique (machine personnalisées, ambiance oppressante, inquiétante) Intérêt du texte : sociologique, dénonce un défaut de société Idées principales : Texte fluide et agréable -travail sur les sonorité -pas de

Dans ce roman on aborde la maladie du choléra ainsi que l’histoire d’un homme qui essaie de sauver les habitants qui vont à leur tour le poursuivre par peur.Nous allons donc voir en quoi la description de deux mondes opposés peut elle influencer la rencontre entre Angelo et PaulineAprès avoir étudié la description de deux mondes opposés nous évoquerons la rencontre entre le colonel et Pauline de ThéusPlan : I) Deux mondes opposés a) un monde extérieur b)un monde intérieur

sur la chute des feuilles. Ce qui frappe dans cette description, c’est le désordre et la violence. La métaphore est la façon que le poète a choisi pour mettre en scène le dépouillement et répète cette description en la synthétisant, par une personnification, celle de la nature et une nouvelle métaphore, celle de l’écrivain. Le rythme est ternaire. C’est l’aboutissement de ce qui précède, annoncé par ‘’puis’’. Poursuite de la personnification par un portrait physique : ‘’la stature, décoiffée,

Pour montrer que la personnification de la Lison est flagrante, nous verrons tout d’abord les caractéristiques humaines attribuée à la Lison, puis en second plan, la déchéance jusqu’à la mort de la locomotive démontré. Dans cet extrait, la comparaison entre la locomotive et un cheval se fait par le biais de plusieurs comparaisons, personnifications, voire gradations. Elles souvent liés, en effet dans ce texte, les comparaisons parfois sont aussi des personnifications. Les indices spatio-temporels

présentent un thème commun, celui de la personnification de l’objet qui accorde une importance dans ces quatre poèmes que nous étudierons, tout en s’interrogeant sur la forme des poèmes qui composent ce corpus. Le premier poème datant du XIIIème siècle, est écrit en alexandrins. Le poète met en avant un objet banal, qui se transforme progressivement en un objet extraordinaire, sous le regard du lecteur. Le Buffet est un objet du quotidien, et la description qui est faite de l’objet dans le poème

certaine majesté, notamment par la comparaison hyperbolique de la « bâtisse vieille comme le monde » ou la personnification de la roue du moulin que nous verrons en détail plus tard. Le moulin est donc bien au centre de la description et nous verrons

l'idéaliser. La nature intervient afin de sous-entendre la mort, sa description nous montre un côté triste, dramatique. Il personnifie même la nature en nous montrant que la campagne ressent la mort arriver, notamment grâce au champ lexical de l'obscurité et celui de la mort, ainsi qu’avec une description peu rassurante " brouillard laiteux". A l’inverse dans les deux textes suivants, la nature est moins décrite. En effet, André Malraux et Albert Camus s’attardent d’avantage sur la psychologie et

Victor Hugo donne à ce poème narratif une description réaliste. Dans un premier temps, l'auteur fait une description réaliste de ce souvenir. Le premier vers parle de « deux balles dans la tête » annonçant l'horreur de cette histoire. Victor Hugo utilise un contre-rejet (l.5-6)« sa bouche, pâle », qui lui permet de souligner le mot « pâle » au début du vers 6. En donnant de tels détails physiques, il en donne du réalisme. Puis il emploie une personnification (l.6) « la mort noyait son ail farouche »

|promesses de vengeance n’étaient pas rares à | | |seras vengé » (p.180). |cette époque, ce qui rendait ce lieu morbide | | |2. La description des personnages : « semblait|et froid. | | |dormir; mais il y avait du sang partout », | | |