Description De Homais

choisi d’examiner trois aspects d’Emma dans Madame Bovary : la beauté, la maîtresse et la lectrice. Ces trois Ma conjecture, fondée sur les déclarations condescendantes des femmes dans les lettres de Flaubert citées par Björk (2000) et sur les descriptions ironiques des rêves d’Emma dans Madame Bovary (1998). 3 La chosification est le fait de traiter et de considérer quelqu’un comme une chose. Dans ce mémoire j’utilise ce mot et le synonyme la réification, pour montrer comment un sujet humain (la

propres à leur faire aimer la religion. Il a dénoncé vigoureusement l’impiété criminelle des fictions mondaines et fait l’apologie de ses propres récits : au lieu de raisonner, de moraliser dans l’abstrait, il utilise le matériel même du roman, descriptions, dialogues, intrigues, événements inattendus, et l’infléchit vers une signification dévote. a. Agathonphile (1621) : « Eloge des histoires dévotes » «  Me voici donc caché derrière le tableau, comme cet ancien peintre, pour écouter ton meilleur

représentation fidèle de la vie. Son effort d’objectivité est perceptible dans ses romans. Parfois, les personnages disparaissent même derrière les objets qui les entourent et dont ils ne semblent être qu’un prolongement : comme dans la longue description de la casquette de Charles Bovary, au début du livre, mais aussi dans la célèbre scène de la calèche où Emma s’offre à Léon, son amant. Les faits ne sont pas décrits, mais on lit le scandale dans le regard des passants, qui voient « […] une voiture

Activités : - Bilan du devoir : remarques générales - Correction du devoir - Remise des copies - Distribution d’un tableau de typologie des erreurs S5 : La fabrique du texte : dans l’atelier d’Émile Zola (fin) (1 heure) Objectif : aborder la description  et plus précisément la technique du portrait. Supports : manuel de littérature Activités : - lecture p.26 : la construction des personnages (Sandoz et Dubuche) - questions 1 et 2 Pour mardi 14 octobre • Travail d’écriture à rendre :

à revivre la scène. L'attention portée aux détails est également importante, et participe pleinement de l'hypotypose. Le spectateur ne peut bien se figurer une scène que si on lui en donne les précisions nécessaires. Dans cette perspective, la description du monstre marin (v. 1517-1521) ne laisse, ou presque, aucun sens à l'abandon. Le vers 1520, qui appelle essentiellement la vue (« recourbe », « replis tortueux »), appelle également, par une allitération en [r], l'ouïe, préparant déjà « [les] longs

pouvons très bien abandonner un roman à la page dix si sa forme nous rebute. En revanche, nous pouvons très bien, dans un roman, nous intéresser à des gens dont les équivalents dans la vie ne nous intéresseraient pas du tout. Je connais des Monsieur Homais (1) : dans la vie, je m’en écarte avec soin. Je connais des Madame Verdurin (2) : la seule idée d’aller passer une heure à leurs raouts (3) me fait me réveiller la nuit en poussant des cris d’épouvante. Je connais des Cousine Bette (4) : je cours

pouvons très bien abandonner un roman à la page dix si sa forme nous rebute. En revanche, nous pouvons très bien, dans un roman, nous intéresser à des gens dont les équivalents dans la vie ne nous intéresseraient pas du tout. Je connais des Monsieur Homais (1) : dans la vie, je m’en écarte avec soin. Je connais des Madame Verdurin (2) : la seule idée d’aller passer une heure à leurs raouts (3) me fait me réveiller la nuit en poussant des cris d’épouvante. Je connais des Cousine Bette (4) : je cours

pouvons très bien abandonner un roman à la page dix si sa forme nous rebute. En revanche, nous pouvons très bien, dans un roman, nous intéresser à des gens dont les équivalents dans la vie ne nous intéresseraient pas du tout. Je connais des Monsieur Homais (1) : dans la vie, je m’en écarte avec soin. Je connais des Madame Verdurin (2) : la seule idée d’aller passer une heure à leurs raouts (3) me fait me réveiller la nuit en poussant des cris d’épouvante. Je connais des Cousine Bette (4) : je cours

qu’ils en ont effectué une lecture attentive et que l’association entre lumière matérielle et lumière spirituelle de l’architecture des cathédrales gothiques ne leur a pas échappé. Parmi les exemples littéraires, on pourra citer les détails de la description que donne Joinville « des armoiries d’or sur lesquelles frappait le soleil, qui les faisait resplendir » (p. 20), et proposer dans un deuxième temps une lecture cursive de quelques textes du manuel où se manifeste la lumineuse présence du divin

coup, le rend 4 représentable dans sa totalité. On retrouve dans le monde imaginaire de La Comédie humaine un inventaire presque systématique des diverses situations auxquelles un individu peut être confronté. Mais la classification et la description des espèces humaines s’avèrent d’autant plus ardues que les facteurs de différenciation sont plus nombreux et plus complexes. • D’autre part, le seconde préoccupation de l’auteur est d’agir sur ses lecteurs, d’être un « instituteur des hommes »