Description Frederic Moreau

d’explication Frédéric Moreau erre dans Paris, après un échec à ses examens de Droit. Figure d’anti-héros. Roman de la désillusion, du désenchantement. I. Passivité de Frédéric Moreau : de l’ennui au néant 1. Le thème de l’ennui 2. Le désordre de la conscience 3. Un personnage velléitaire II. Une description de Paris : du réel au symbolique 1. Une vue de Paris (pour enrichir votre propos, évocation possible d’autres descriptions, à condition,

années 1950 et qui ont eu en commun un refus des catégories considérées jusqu'alors comme constitutives du genre romanesque, notamment l'intrigue - qui garantissait la cohérence du récit - et le personnage, en tant qu'il offrait, grâce à son nom, sa description physique et sa caractérisation psychologique et morale, une rassurante illusion d'identité. À la tradition réaliste du roman, qui reposait plutôt sur les conventions du récit, les " nouveaux romanciers " opposèrent une autre forme de réalisme

des personnages stéréotypés. En fonction des désirs du public, pour le plaire. Le roman populaire type est celui qui a une histoire attachante où le mouvement et l´action sont essentiels. La vraisemblance n´est pas tellement importante. Les descriptions ne sont pas abondantes, les portraits sont faits à grands traits et en ce qui concerne les dialogues, sont vifs. Normalement, tout doit bien se terminer et l´histoire est souvent réelle de deux amoureux séparés qui finissent par se retrouver

peu le moyen de régler ses comptes avec le jeune homme qu’il fût. Sa rencontre avec Elisa Schlésinger inspire ce roman qui relate l’amour avorté du jeune Frédéric Moreau pour une femme mariée plus âgée que lui. A la fois fresque historique et peinture de la révolution de 1848, ce roman est surtout le récit de l’échec incarné par Frédéric Moreau. Le jeune homme nourri de rêves et d’ambitions sociales se montre en fait incapable de vivre pleinement son amour pour Madame Arnoux. 1874 : La Tentation

pas a tout le monde. Ces héros sont d'abord présenté normalement puis des événement les rende de moins en moins héroïque et de plus en plus humain, comme dans l'Éducation sentimentale de FLAUBERT où le roman s'achève sur une anecdote du héros, Frédéric Moreau et son ami Deslaurier, elle raconte un échec de leur enfance. L'on retrouve une histoire d'un échec également dans Ourania de LE CLÉZIO , roman racontant l'histoire d'un français qui va travailler au Mexique et là rencontre un peuple qui vie dans

de tout ignorer de son personnage. * Le topos du nouveau : l’évocation d’un personnage découvrant, en même temps que le lecteur, le monde de l’histoire, naturalise la présentation de l’univers fictif. * Le topos du dévoilement : la description de l’aube, du lever du jour, permet de dévoiler progressivement et « naturellement » l’espace de l’intrigue. * Le narrateur : statut et fonction . Les quatre statuts possibles * Le narrateur extradiégétique-hétérodiégétique :

privées que l’on pourrait y apercevoir serait entièrement fortuite, et indépendante de la volonté de l’auteur. » _____________________ PREMIERE PARTIE : « FIN DE SIECLE » I « « Oh ! quelle horreur ! » s’écria/répéta Paulette » (encadrant une description en une phrase du chaos joyeux de l’Exposition) Pierre et Paulette à l’Exposition. Une attraction sous terre. Rencontrent l’amiral, aimable, bavard, intarissable, dînent (parle de l’Exposition, de politique, de technique (Eiffel)). Paulette est fatiguée

Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait employés pendant la première Guerre punique, et qui se révoltèrent, furieux de ne pas avoir reçu la solde convenue. 1869 : L’Éducation sentimentale Le roman décrit la vie d'un jeune garçon nommé Frédéric Moreau que vit la révolution de 1848 et la Fondation du second empire français, et son amour par une femme de plus, Madame Arnoux 1874 : La Tentation de saint Antoine: Antoine, évoquant les souvenirs trop vivaces de son passé, connaît à nouveau les

littérature, Paris, Le Seuil, 1965, pp. 170-196 – Deloffre Frédéric, La Nouvelle à l’âge classique, Paris, Didier, 1968 – Etiemble René, « Problématique de la nouvelle », Essais de littérature (vraiment) générale, Paris, Gallimard, 1975, pp. 220-236 – Étiemble René, article Nouvelle in Encyclopaedia Universalis – Godenne René, Études sur la nouvelle française, Genève, Slatkine, 1985 – Goyet Florence, La Nouvelle, 1870-1925, description d’un genre à son apogée, PUF, 1993 – Grojnowsky Daniel,

homme à l’âge adulte. D’abord plein d’énergie et d’ambition, le héros, confronté aux réalités de l’existence, perd peu à peu ses illusions : Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, Lucien de Rubempré dans Illusions perdues de Balzac, Frédéric Moreau dans l’Education sentimentale de Flaubert. Mais après tout, comment nous, lecteurs, pouvons-nous définir le roman ? Cette question existentielle posée lors de la lecture de toute œuvre romanesque, nous la développerons en un plan dialectique formé