Description Mer

cède aux appâts. Ainsi, à travers cette description poétique, non seulement une nouvelle philosophie du commerce est visible, mais la trame narrative y est annoncée. De quel façon Zola montre une évocation réaliste et naturaliste d'un grand magasin du XIXème siècle ? En premier lieu nous verrons l'évocation réaliste et naturaliste d'un grand magasin du XIXeme siècle. Zola décrit les lieux de la scène "comptoir","caisse" et on distingue une description de l'architecture "pont volant"- La « cohue

(subjectivité). _ Le registre de la langue peut être courant, familier ou vulgaire, soutenu ou littéraire, etc. – Les champs lexicaux. Les champs lexicaux s'organisent souvent autour des cinq sens, des quatre éléments et de leurs dérivés (la mer, le ciel, etc.), de l'appréciation et du jugement, etc. Ils peuvent être mélioratifs, péjoratifs… – La construction et le rythme des phrases, la ponctuation. (Avec des effets de répétition, d'accumulation, de gradation, d’anaphore. Voir

2ème paragraphe, description d’un mode de vie. « Raisonnable » désigne surement le vieil asthmatique. Le désir de vieux comme des jeunes est de gagner beaucoup d’argent. Oran est ici comparée à toutes les autres villes. Au début d’une tragédie, on connaît déjà les enjeux de la pièce, tandis qu’ici on à un petit espoir. L’auteur explique que cette histoire n’est pas possible à Oran, mais qu’elle devrait avoir lieu dans toutes les autres villes. Dans quelle mesure la description inaugurale d’Oran

est un portrait tiré du, Chef d’œuvre inconnu, où l’auteur nous décrit la rencontre entre Nicolas Poussin et un vieillard, description qui prend appui sur le réel tout en le transposant. Comment Balzac fait-il de ce portrait une description vivante ? Balzac nous fait une description d’un vieillard qui se révèle être une peinture de celui-ci, pour cela il en fait une description vivante. Dans un premier temps Balzac décrit son personnage comme un personnage que l’on peut qualifier

Le premier fait neuf lignes, le second six lignes et le derniers deux lignes. Le premier paragraphe commence par une description générale de l’huître : «la grosseur» ; «d’une apparence» ; «d’une couleur». Il reste dans l’aspect extérieur du mollusque dans la suite du paragraphe, mais aborde un aspect pratique : comment ouvrir l’huître. Ponge se lance ici dans une description explicative, assez longue - neuf lignes, cinq phrases. Le deuxième paragraphe décrit l’intérieur de l’huître : «à l’intérieur»

Pierre et Jean, Chapitre 5 1 Pierre marchait au milieu de ces gens, plus perdu, plus séparé d'eux, plus isolé, plus noyé dans sa pensée torturante, que si on l'avait jeté à la mer du pont d'un navire, à cent lieues au large. Il les frôlait, entendait, sans écouter, quelques phrases ; et il voyait, sans regarder, les hommes parler aux femmes et les femmes sourire aux hommes. Mais tout à coup, comme s'il s'éveillait, il les aperçut distinctement ; et une haine surgit en lui contre eux, car ils semblaient

raconte l’histoire de deux frères, Pierre et Jean, tout au long du roman Pierre, l’ainé découvre que Jean est le fils de Léon Maréchal. Dans le passage étudié, qui est l’incipit du roman, les personnages sont présentés pendant une partie de pêche en mer près du Havre. Nous verrons comment l’incipit remplit ses fonctions traditionnelles en présentant les personnages et leurs rapports tout en posant un contrat de lecture. Dans un premier temps nous montrerons que cet incipit remplit ses fonctions et

sa virilité notable et par « sa grosse gaieté qui ne déplaisait point ». Cette nuance exprimée par plusieurs antithèses : « Il était obligeant et rieur » et « ses obligés seraient morts plutôt que de ne pas le lui rendre », vient apporter à la description une légèreté dans le caractère et infirme la dureté physique du personnage, « Sa figure, rayée par des rides prématurées [...] que démentaient ses manières souples et liantes ». b)Une affection débordante Ressort de ce portrait un trait de

concerne les éléments qui rendent cette description réaliste, tu pourrais parler de la description minutieuse. En effet, l'abondance de détails (beaucoup d'adjectifs, description du mobilier, énumération du bibelot..) dans cette description accentue l'effet réaliste, comme une photographie. On a aussi l'impression que Balzac nous guide (L'utilisation du présent donne une actualité à la visite) En ce qui concerne les rôles que peut jouer cette description en début de roman : On remaquer que la

divers », Jean-Marie le Clezio commence par décrire les lieux, que l'on peut qualifier de peu accueillants. En effet, dès la première phrase, l'auteur utilise une métaphore « fleuve sec » qui connote un endroit aride, privé d'eau. Puis, il poursuit sa description du paysage qui semble envahit par les immeubles en utilisant un adjectif quantitatif « des dizaines » ligne 2. De plus, l'utilisation du champ lexical « béton » ligne 2, « goudron », « pierres », « routes » ligne 3 , « ponts », « galets » ligne