Description Realiste Pejorative Du Quartier

ses romans qui s'inscrivent dans le mouvement réaliste. Il fréquentait aussi les soirées de Médan animées par Zola et a donc contribué au développement du naturalisme. Le roman Bel-Ami (1885) raconte l'ascension sociale du jeune homme dans le milieu du journalisme. Nous étudions ici l'incipit qui met en scène, dans un registre réaliste, le personnage principal qui vit dans un quartier populaire de Paris. Quels sont les atouts de cet incipit réaliste? Nous montrerons d'abord comment ce début de

vitrier n’est-il pas le mauvais poète incapable d’apporter les couleurs qui font voir la vie en beau ? Annonce du plan : Dans un premier temps nous ferons une description péjorative de Paris, puis nous analyserons la portée symbolique du texte. I / Une vision de Paris péjorative Cette seconde partie du récit débute par une description de Paris. Il s’agit pour le poète d’une ville sale, triste et sans beauté. Elle représente le spleen c’est-à dire la morosité et la mélancolie. Le poète y semble

lecteur l’atmosphère générale du roman. Quelle image Zola donne t-il du passage du Pont Neuf dans l’incipit du roman ? Nous verrons, dans un premier temps, la description réaliste du lieu puis, dans un deuxième temps, l’ambiance générale à laquelle le lecteur doit s’attendre dans le roman de Thérèse Raquin. I. Zola fait une description réaliste très précise du passage du Pont-Neuf en insistant sur les moindres détails. L’auteur situe (spatialement l’histoire en précisant les noms de rues) précisément

montrerons dans un premier temps le regard réaliste et esthétique sur Paris en fonction des allées et venues ou du regard de Frédéric, puis dans un deuxième temps, l’ennui éprouvé par celui-ci. Dans le passage étudié de l’éducation sentimentale, Paris est décrite à travers les yeux du personnage principal, Frédéric. De célèbres lieux tels que le pont de Notre-Dame, le quai aux Ormes ou encore le Luxembourg sont cités, ce qui participe au réalisme de la description. Dans le premier paragraphe, il décrit

puisqu’elle va devenir le cadre de l’histoire, dès le début du roman. Comment Paris acquiert-il un aspect fascinant dans ce roman ? Nous aborderons l’aspect surnaturel de Paris, puis son aspect réaliste et nous terminerons par l’admiration qu’éprouve l’auteur pour sa ville. L’incipit de ce roman et la description inhabituelle de Paris permettent de mettre en place le cadre spatial mais également l’ambiance qui y règne sur ce lieu. En effet, Paris est comparé à un monstre, dès la première ligne et sur

des routes qui laisse l’eau croupie”. Les réalistes cherchent à retranscrire la réalité telle qu’elle est. Comme Stendhal, Guy de Maupassant est un romancier réaliste du XIXeme. Il est célèbre tant pour ses romans réalistes ( Une vie , Pierre et Jean ) ou pour ses nouvelles parfois fantastiques ( Le Horla ). Il a écrit Bel-Ami en 1885. C’est un roman réaliste qui raconte l’ascension sociale d’un jeune

I- Un incipit qui met en place un univers réaliste. A) Une première page qui mélange deux types de discours - discours narratif : on note une abondance de verbes d'actions au passé ainsi qu'une alternance imparfait-passé simple (l.3 : portait ; l.4 : frisa ; l.4 : jeta ...) - discours descriptif : c'est un incipit particulier puisqu'il présente aussi beaucoup d'adjectifs et de verbes au passé simple (l.11 : fut , demeura ; l.18 : se mit ..) L'alternance des deux discours permet de dresser un

lecteurs, le Paris des années 1880. Le héros, Georges Duroy est un jeune provincial ambitieux établi à Paris en quête de fortune et de réussite sociale. Maupassant, disciple du réalisme de Flaubert et influencé par le naturalisme de Zola, est à la foi réaliste et naturaliste et refuse de s'inscrire dans l'un ou l'autre courant. Nous verrons donc en quoi les premières lignes du roman répondent-elles aux exigences de l'incipit. Par le narrateur et le personnage, le romancier va présenter l'ensemble

projet réaliste apparaît d'abord en peinture avec Courbet avant de toucher aussi la littérature. Une grande figure du réalisme est celle de Gustave Flaubert avec ses œuvres  Madame Bovary et  L’Education sentimentale, publié en 1869. Flaubert choisit des personnages de la vie quotidienne plutôt que des héros idéalistes et décrit dans le détail les rapports de l’homme et de son milieu. Pourtant, comparé aux autres réalistes il ne s’agit pas du réalisme propre mais plutôt des traits réalistes comme

dresse un véritable tableau des banlieues industrielles de la fin du XIXème siècle, puis l'atmosphère sombre et déprimante qu'il y fait régner. Nous constaterons que cette description permet à l'auteur de se livrer à une dénonciation de la condition ouvrière de son époque. Le poème « les Usines » constitue un portrait réaliste d'une cité industrielle à la fin du XIXème siècle. Il s'agit en effet d'un texte essentiellement descriptif qui ne contient que peu de verbes d'action, mais une abondance