Deshumanisation

de façon réaliste avec le travail (v.6) ; l’épuisement et la fatigue (v.7) ; la famine et la lutte pour la nourriture (v.8) et la mort (v.9). Il y a le champ lexical de la souffrance. 3) La déshumanisation : Pour les femmes, l’auteur insiste sur la perte des repères humains avec : - la déshumanisation (v.11)  les noms disparaissent et deviennent des matricules et perte des cheveux (c’est un zeugma = figure de style qui associe un COD abstrait et concret avec le même verbe) - perte de mémoire

sensation visuelle taille et aspect brillant. Saute aux yeux. Vient briser la féerie, il est L'INTRU. La réalité barbare du camp. Comparaison « semblable à un crochet de boucherie auquel on suspend des bœufs entiers » (l.8) → animalisation et déshumanisation des prisonniers. 2)la scène du pendu : - comparaison : « semblable a un crochet de boucherie » pendu assimilé à un animal de boucherie→ pejoratif -énumération du corps du pendu : « la corde autour du cou », « les yeux grands ouverts et sortis

comme une éphéméride, c’est-à-dire comme quelque chose qui finit par ne laisser aucune trace sur notre conscience, notre perception du monde, nos valeurs et notre façon de mener notre existence. » En définitive, nous pouvons dire qu’il y a une déshumanisation de celui qui regarde, de celui qui filme et de celui qui est filmé. C’est pour cela qu’il est inutile d’exposer la souffrance humaine : cela nous donne une mauvaise image du monde et déshumanise. Mais cette souffrance humaine est également utilisée

xI). Le narrateur se prend à rêver de pouvoir « [courir] à travers champs » (chap. xVII ). Mais il sait que ce rêve n'a aucune chance de se réaliser, sa liberté ne restera qu’un mirage. La deuxième déshumanisation réside dans le fait que le condamné est dépossédé de tout espace privé. Son cachot mesurant «huit pieds carrés seulement (chap.x), n'est pas à lui car il est hanté par le souvenir de tous ceux qui l'ont habité avant et qui ont gravé leur nom sur

insiste sur le fait,qu’elles ne sont pas humaines et donc dépourvues de sentiments ,généralement de valeur affective.Elles ne peuvent ainsi transmettre à l’objet une quelconque valeur artistique .Il reproche en quelque sorte de manière implicite la déshumanisation engendrée par l industrialisation .C’est d’ailleurs ce qui transparaît à l’étude de la deuxième

II. Le résumé L’auteur à 24 ans est arrêté en décembre 1943 car il fait partie de la résistance, puis déporté à Auschwitz. Il raconte d’abord le voyage qui dure 15 jours, la promiscuité, la faim et la soif. Arrivé au camp, le rituel de deshumanisation : déshabillage, rasage, tatouage…, Primo Lévi décrit les conditions de vie inhumaines du camp. Il est affecté au bloc 30 où les contacts avec les autres prisonniers sont difficiles. Il perd la notion du temps et seul le travail épuisant rythme

rendre le portrait de ce héros original et dynamique ? I. Angelo est un héros, car il se démarque des autres. - L’éloge du héros par le blâme des autres personnages . A est le seul à être nommé / adversaires indénombrés + masse informe=> déshumanisation Ne sont nommés que par une partie d’eux-mêmes : nbes synecdoques. Chaque adversaire est qualifié par des termes dépréciatifs. Allitération en C et T + bajoue = impression de lourdeur et d’animalité - Donner un portrait dynamique d’A, en

tel que celui de l'anatomie : "os"(v1), "bras"(v4), "oeil"(v7), "corps"(v8), "face"(v11), "yeux"(v12). Au vers 3 on peut relever unepersonnification de la mort "Que le trait de la mort sans pardon a frappé"(v3). C'est donc en insistant sur une déshumanisation charnelle que le poète indique implicitement qu'il s'amender consciencieusement deson corps pour ainsi préparer son âme a rejoindre le paradis comme l'explique le dernier vers : "Je m'en vais le premier vous préparer la place"(v14).  ! Ce

nature animale, grossière, bestiale, décharnant les convives de leurs comportements humains, à l’effet soutenant de l’enjeu naturaliste visé par Zola. Le symbolisme social des attitudes des protagonistes de la scène débauche sur une parfaite déshumanisation, comme résultat de l’expérience sociale du naturalisme dont les indices touchent également la forme linguistique sur les plans du style et du point de vue narratif. Avant de démontrer la thèse naturaliste de Zola dans l’extrait de la « grande

premières strophes en donnent un résumé. (cf opposition des champs lexicaux du confort et de la misère)2/ La déshumanisation. "Considérez si c'est un homme..." Si c’est un homme est donc, grammaticalement, une interrogative indirecte. La seconde partie du poème, est consacrée aux femmes : il ne s'agit plus d'un témoignage direct, les femmes détenues se trouvant dans d'autres camps.La déshumanisation commence par une totale dépossession : matricule tatoué à l’arrivée dans le camp - indique la date d’arrivée