Dessalement

crise de l’eau » émerge l’idée d’une nouvelle « gestion raisonnée » de la ressource, s’appuyant sur des réponses technologiques innovantes : • les projets de transferts d’eau massifs, à l’échelle d’un pays ou d’un sous-continent, • le dessalement de l’eau de mer, • la réutilisation des eaux usées pour des usages agricoles, industriels, pour l’alimentation humaine, • la mobilisation de nouvelles ressources par le biais de la réalimentation artificielle des nappes phréatiques. La

a saisi l’occasion pour exposer son expérience dans le domaine de l’eau et de l’environnement à travers ses projets phares de développement durable dans ses sites d’activité. * Ses projets phares ? D’abord, la politique des pipelines et de dessalement de l’eau. Il s’agit de transporter le minerai, sur l’axe Khouribga-Jorf Lasfar, par pipeline, jusqu’aux unités de production chimiques. Ce nouveau processus permettra d’optimiser sensiblement l’utilisation des ressources hydriques et énergétiques

particules encore présentes * Stations d’épuration : pour rejeter dans le milieu naturel une eau dépolluée est une priorité * L’aéroport de Toulouse-Blagnac : pour traitement des eaux pluviales. * L’usine de recyclage des eaux usées * L’usine de dessalement de Perth * Capital Social de 5,717 Milliards d'Euros * Emprunts auprès des Etablissements de crédit : 7557 millions € * Habitants : 91 millions d’habitants alimentés en Eau potable. * 61 M d’habitants ayant accès à l’assainissement d’Eau

y a lieu de noter que de manière général les énergies renouvelables font l’objet d’un portefeuille de projets diversifié (centrale thermo solaire, station de pompage turbinage hydraulique, valorisation énergétique des déchets, pompage de l’eau, dessalement de l’eau de mer, climatisation et chauffage solaire de l’eau sanitaire,….) s’impliquant ainsi dans divers programmes économiques et sociaux comme c’est le cas du programme d’électrification rural dont les objectifs sont pris en charge à hauteur

infrastructures vieillissantes dans les pays industrialisés pourrait ainsi coûter jusqu’à 200 milliards de dollars par an. Autre piste qui pourrait permettre de faciliter l’accès à une eau potable et salubre dans les pays aux ressources limitées : le dessalement de l’eau de mer. Cette technique est déjà en vigueur au Moyen-Orient (Arabie Saoudite, Israël…), où elle représente un quart de la consommation d’eau potable. www.geo.fr 2014 – Blaise Mao – GEO © Prisma Média. Questions 1 Les ressources en eau

plus et d’en consommer moins, de faire face à la crise écologique et de bâtir la paix sur le partage de la ressource ? • Des solutions techniques à mettre en œuvre d’urgence : D’où peut provenir l’eau nécessaire aux besoins des hommes ? o Le dessalement de l’eau de mer est possible mais cela demande beaucoup d’énergie et d’argent. o L’ « ensemencement » des nuages est encore pour l’essentiel à l’état de recherche : il s’agit de répandre par avions des particules d’iodures d’argent pour favoriser

Aménagements - station de pompage, de - production et hydrauliques production d’eau potable, distribution domestiques château d’eau, réseau d’eau potable, d’adduction et d’eau usées et collecte et traitestation d’épuration ment des eaux usées - usine de dessalement production doc. 3 page 95 d’eau douce - digue protection doc. 9 page 244 contre les crues C. L’eau sur Terre, une ressource convoitée et menacée Doc. page 100 : « L’eau, pénuries et tensions dans le monde » Doc. 3 page 93 : « L’assainissement de

touristes avec l’attraction extraordinaire des fonds marins. Aujourd’hui 87 îles sont chacune un ressort exclusif ou île-hôtel. Le tourisme constitue une des principales ressources financières des Maldives. C’est l’introduction de la technique de dessalement de l’eau de mer qui a été un élément essentiel de l’implantation des îles-hôtel. Révélatrice d’imaginaires occidentaux, l’insularité des Maldives répond par des aménagements qui correspondent à un paysage idyllique. En d’autres termes, le tourisme

L’utilisation de cette technique de production d’eau potable reste donc encore très marginale. Seuls certains pays ne disposant que de très faibles ressources en eau mais suffisamment riches, comme le Koweït et l’Arabie Saoudite, utilisent le dessalement de l’eau de mer pour produire l’eau douce destinée à la consommation humaine. Quoi qu’il en soit, cette question, dont l’enjeu est de taille, a déjà fait l’objet de nombreuses recherches qui se poursuivent. Des évaporateurs dits "multiples effets"

cours de réalisation et 50 autres barrages à l’étude. Ces derniers devraient être réalisés avant 202030. L'Algérie entend rattraper le retard constaté en raison des pertes d'eau estimées à 50 %. Le dessalement est favorisé par l'État, le gouvernement a à cet effet installé quelques stations de dessalement à Alger et Tipasa. Plusieurs centres importants, comme à Arzew qui fournit 90 000 m3 ou le centre de Beni Saf, ont amélioré la situation du manque d'eau dans certaines villes. Les principaux barrages