Déstalinisation

224-225) La domination soviétique et ses limites dans les démocraties populaires : 1945-1991 Budapest, l’insurrection écrasée (1956) Les contestations du modèle soviétique dans les démocraties populaires: 1953-1989 Quels sont les effets de la déstalinisation dans les démocraties populaires? Comment la Pologne quitte-t-elle le monde des démocraties populaires ? L’effondrement des démocraties populaires La disparition du bloc soviétique et ses conséquences à l’échelle du continent européen depuis

juillet 1953 : Armistice : « paix blanche ». (1 millions de morts et après 3 ans de conflits, frontière toujours présente en Corée : guerre inutile. ← Le « dégel » de 1956 à 1962. Les illusions de la coexistence pacifique : ▪ La déstalinisation et ses limites. L’équilibre de la terreur : Peur d’une 3ème guerre : Américains et Soviétiques poussés à s’entendre : c’est la politique du dégel. Dégel s’amorce à la mort de Staline (1953), fin d’1/4 de siècle de dictature en URSS. Nikita

dissidents soviétiques s’étant échappé. C.Un modèle qui ne peut perdurer dans le temps face à l’Occident. 1) L’insuffisance du rôle de Krouchtchev : a. Le successeur de Staline souhaite créer une politique d’ouverture. b. Mais la déstalinisation, la terreur, les Goulags et le partis unique sont exclus du bilan. c. Apres un soulèvement en Hongrie, à Budapest, il envoie les chars. d. Ses échecs politiques vont le faire remercier en 1964. 2) A partir des années 1970, le modèle commence

construction du communisme . Dans les années qui ont suivi sa mort, Staline et son régime ont été condamnés à de nombreuses reprises, notamment en 1956 lorsque son successeur Nikita Khrouchtchev dénonce son héritage et a lancé un processus de déstalinisation . Il reste un personnage controversé aujourd'hui, avec beaucoup de lui considérer comme un tyran [ 8 ] semblable à son ennemi en temps de guerre Adolf Hitler , cependant, l'opinion populaire au sein de la Fédération de Russie . est mélangé

Humiliation, nuit de cristal : Degré : terreur de masse _ La mort de Staline en 1953 permet une évolution du régime communiste en mettant fin au culte de la personnalité et à la terreur de masse. Khrouchtchev parvenu au pouvoir entame la déstalinisation à travers le rapport communiqué au XX Congrès du Parti communiste d’URSS le 24 février 1956. Les crimes de Staline sont dénoncés comme la déportation de certains peuples, les purges à travers les procès de Moscou ou encore le culte de la personnalité

les goulags se remplissent. Staline agit en dictateur mais le justifie « dans l'intérêt de tous ». A sa mort en 1953, Krouchtnev lui succède. Il condamne les agissements de Staline, qu'il décrit comme une « perversion du communisme ». Une « Destalinisation » est en marche. Krouchtnev assouplit la répression (libération importante dans les goulags, baisse de la censure, il limite la Nomenklatura...). De nouveaux projets sont entrepris , notamment un projet spatial (Spoutnik). Les conditions de vie

contre l'homme blanc, et d'avoir appliqué à l'Europe des procédés colonialistes dont ne relevaient jusqu'ici que les arabes d'Algérie, les coolies de l'Inde et les nègres d'Afrique » S'opposant au Parti communiste français sur la question de la déstalinisation (fait d’abandonner le culte de la personnalité), Aimé Césaire quitte le PC en 1956, s'inscrit au Parti du regroupement africain et des fédéralistes, puis fonde deux ans plus tard le Parti progressiste martiniquais (PPM), au sein duquel il va revendiquer

Politique de dénazification, procès Nuremberg C. Division des alliés entraine celle de l’Allemagne et le ralentissement de la dénazification 2° Un totalitarisme Soviétique résistant aux réformes(56-85) A. Mort de Staline en 53 entraine la déstalinisation B. Pdt les congrès du PCUS Khroutchev dénonce les crimes de Staline C. Période d’immobilisme car Brejnev renverse Khroutchev 64 3° La fin du système totalitaire Soviétique (85-91) A. 1985 Gorbatchev lance la perestroika et

en 1956 qui limite l’affrontement avec les Etats-Unis pour préserver la possibilité d’une victoire finale du communisme. Elle consiste à remplacer l’affrontement avec l’Ouest par une compétition sur les terrains idéologiques et économiques. Déstalinisation : La politique menée après la mort de Staline, définie au XXe congrès du PCUS en 1956, qui consiste à abandonner le culte de la personnalité et les excès de la période stalinienne. Titisme : doctrine et système politique du maréchal Tito

n’était pas balayée d’ici à un an. Ses conclusions ? - Le basculement de 1989 fut rendu possible par le triomphe tardif à l’est, avec Solidarnosc comme avec Gorbatchev, des idées communistes réformatrices et libérales des années 1960 et de la déstalinisation manquée. - La décennie de l’an 2000 parvient enfin à rétablir une géopolitique européenne plus traditionnelle, où l’Allemagne, située au sœur de l’Europe, en redevient, grâce à Berlin, effectivement le centre. Ce centre est pour l’instant seulement