Destin De Meursault

le terme « étranger » évoque un jeune homme (Meursault) qui se sent étranger au monde. Parce qu’il ne se conforme pas aux normes sociales et aux attentes humaines, il est appréhendé par son entourage comme bizarre et indiscernable. Faire partie d’une société signifie partager avec les autres des mêmes valeurs, c’est-à-dire, trouver une convergence sur quelques principes fondamentaux. Mais dans l’Étranger , Meursault dans ce que l’on pourrait définir comme une

le terme « étranger » évoque un jeune homme (Meursault) qui se sent étranger au monde. Parce qu’il ne se conforme pas aux normes sociales et aux attentes humaines, il est appréhendé par son entourage comme bizarre et indiscernable. Faire partie d’une société signifie partager avec les autres des mêmes valeurs, c’est-à-dire, trouver une convergence sur quelques principes fondamentaux. Mais dans l’Étranger , Meursault dans ce que l’on pourrait définir comme une

EXCIPIT 1er mouvement : l 1 à 12 Meursault et le monde extérieur Le retour au calme - -L 1 « lui parti » : allusion à la scène précédente où il a rejeté l’aumônier représentant de la société et des valeurs religieuses, le secours divin par la résurrection de l’âme Ici, pr personnel qq peu dépréciatif qui reproduit le rejet antérieur, -« j’ai retrouvé le calme » : analyse, introspection or c’est à la fin du livre que le personnage est enfin capable de s’analyser et d’analyser le monde qui l’entoure

siècle et certains théoriciens du nouveau roman l'ont abandonnée (romans de Le Clézio). •il ne faut pas ignorer le goût légitime du public pour des œuvres où la création artistique lui évite de rencontrer des voisins de palier (Meursault lui-même accède peu à peu à un destin exceptionnel). « Eh ! bon Dieu, nous ne voyons que trop autour de nous la triste et désenchanteresse réalité : la tiédeur insupportable des demi-caractères, des ébauches de vertus et de vices, des amours irrésolus, des haines

échouent, parfois même du début à la fin du roman (songeons aux nombreux personnages de La comédie humaine de Balzac), et nous continuons pourtant de les appeler héros – même quand ils appartiennent à la famille des « antihéros » ; personne ne dit : « Meursault est l’antihéros du roman L’Étranger ». • En fait, le « héros de roman » n’est pas le héros tout court, et c’est pourquoi la question se pose de savoir s’il doit « réussir » ou non. La réflexion va donc nous conduire à interroger la notion de « héros

courage. Pour L, c’est un jeu, car s’il n’y a pas de risque, il n’y a pas d’intérêt ! Mais il ne veut pas être coupable, ne veut pas assumer le responsable, alors il se dit de compter jusqu’à 10 et s’il a vu une lumière dehors, je vais tuer F.(Sera son destin) Bien sûr, il voit une lumière et le pousse du train bien que l’autre essaye de se retenir à qc (Seulement le chapeau de L.).Quand il a fermé la porte, il réfléchi et reste calme. Quelqu’un meurt sans que personne ne le sache. Aucun sentiment. 13

médiocre ou ridicule peut être un héros de roman. A son début, le genre romanesque a défini le rôle et les caractéristiques du héros. Le héros est un surhomme, demi-dieu puissant capable de réaliser les plus grands exploits et voué à un destin hors du commun. On retrouve notamment Ulysse dans L’Odyssée de Homère qui affrontera mille dangers pour rejoindre sa femme, personnage qui reprend toutes les qualités du héros antique. Au fil des siècles, le héros évolue en même temps que le roman

de ce qui s'était passé, si vite, entre eux, un peu confus même, n'osant plus parler, n'osant plus pêcher, ne sachant que faire.   Texte C : Albert Camus, L'Étranger.  [L'histoire se déroule dans la première moitié du XXème siècle. Le narrateur, Meursault, vit et travaille à Alger. Le lendemain de l'enterrement de sa mère, il rencontre Marie Cardona, une ancienne collègue de bureau, et passe la nuit avec elle. Au chapitre V, il ne la connaît que depuis une dizaine de jours.]   Le soir, Marie est venue

roi qu’un peuple venait acclamer ». b. Un sens plus large ? Un destin exceptionnel… Mais de façon plus large, la réussite implique aussi l’idée d’un destin qui va jusqu’au bout, exemplaire, par opposition à nos propres existences, souvent fragmentaires, condamnées à la demi-mesure, aux compromis. À côté de la réussite sociale mesurée à l’aune des critères habituels – celle de Georges Du Roy –, la réussite peut prendre la forme d’un destin exceptionnel, comme celui de Julien Sorel dans Le Rouge et le

sommes nous vraiment nous même, et y-a-t-il des moments ou l’on réussit à faire « tomber le masque ».Je trouve donc pertinent d’étudier la phrase sous cet angle la, et nous répondrons durant cette entretien à la problématique suivante : Sommes nous destinés à jouer notre propre vie ? Il conviendra dans un premier temps de dire que, malgré nous, la société nous oblige à jouer un rôle, et donc être un personnage du théâtre de la vie. Puis il conviendra dans un second temps de se demander si il est possible