Destination Originelle Schopenhauer

Commentaire composé semi-rédigé : Consacré à l'œuvre « Le monde comme volonté et comme représentation » de Schopenhauer. L'esprit philosophique (2nde partie, chap. 17) Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation : l'esprit philosophique Le texte du commentaire : « Avoir l'esprit philosophique, c'est être capable de s'étonner des événements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d'étude ce qu'il y a de plus général et de plus ordinaire ; tandis que

distant, plus ou moins fidèle, du philosophe Schopenhauer ; et ce point est très important pour comprendre la relation de Nietzsche à la musique, à l’art musical, ainsi que, parallèlement, la relation, pour le moins ambivalente et complexe, à R.Wagner, à la musique de R.Wagner. Commençons donc par dire quelques mots de la philosophie de Schopenhauer, à laquelle Nietszche emprunte beaucoup. 4.1. Schopenhauer 4.1.1. La philosophie de Schopenhauer Nous parlions pour commencer de la philosophie

l'homme est inférieur par l'intelligence, moins l'existence a pour lui de mystère. Toute chose lui paraît porter en elle-même l'explication de son comment et de son pourquoi. Cela vient de ce que son intellect est encore resté fidèle à sa destination originelle, et qu'il est simplement le réservoir des motifs à la disposition de la volonté ; aussi, étroitement lié au monde et à la nature, comme partie intégrante d'eux-mêmes, est-il loin de s'abstraire de l'ensemble des choses, pour se poser ensuite

sensoriel. c) Le tragique aveuglement de l'époque moderne face à la question du bonheur. L'analyse critique de Max Scheler. d) L'être et la valeur-propre de la personne comme fondements du bonheur et du désespoir. L'analyse de Scheler et celle de Schopenhauer. e) Le bonheur ne peut être la finalité de l'action humaine ; tel est le paradoxe de tout projet de "quête du bonheur". Le bonheur est une Idée, au sens kantien. Conclusion : L'homme n'est pas fait pour le bonheur, qui n'est ni un plaisir, ni une

Arthur Schopenhauer (1851) Éthique, droit et politique « Parerga et Paralipomena » Traduction d’Auguste Dietrich, février 1908. Un document produit en version numérique par Pierre Tremblay, Collaborateur bénévole Courriel: muishkin42@hotmail.com Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de

l’invocation la vocation Chapitre 7 : Schopenhauer et Nietzsche Schopenhauer: Une contestation de la philosophie de Kant Phénomène : tout ce qui nous apparaît et peut être objet de connaissance. Noumène: désigne la “chose en soi” et d’après Kant, ne peut être connue. Selon Schopenhauer, la « chose en soi » peut être connue, elle désigne le réel véritable, ou encore, ce qui est le « fond » de l’univers : C’est la volonté La volonté Pour Schopenhauer, cette volonté est cachée à la

Éthique, droit et politique Arthur Schopenhauer Préface du traducteur Le présent volume des Parerga et Paralipomena ne se prête pas par sa nature, comme les trois précédents, à une étude préliminaire biographique ou historique ; nous en avons d'ailleurs déjà dit assez à ce double point de vue, pour mettre en une lumière suffisante la figure originale et complexe de Schopenhauer, et pour situer dans son milieu exact l'œuvre dont nous avons entrepris la traduction. Les matières renfermées

DES SIGNES. Cours I : Le monde est ma représentation. Ce premier cours est une prise de contact, nous l’articulerons autour de la formule de Schopenhauer « Le monde est ma représentation ». Il s’agit de comprendre ce que signifie « représentation ». Cette idée nous la développerons à partir de l’observation suivante : pour un sujet, le monde n’existe que dans la mesure où il est en situation

Humaine ». Jean-Didier Vincent : « Biologie des passions ». Epicure : « Lettre à Ménécée ». Lucrèce : « De la nature ». Roland Barthes : « Fragments d’un discours amoureux ». Michel Foucault : « Histoire de la sexualité -2- l’usage des plaisirs ». Schopenhauer : « Métaphysique de l’amour ». Lévinas : « Le temps et l’autre ». Alain Finkielkraut : « La sagesse de l’amour ». Michel Onfray : « L’art de jouir ». « La sculpture de soi ». Baudrillard : « La Société de consommation ». Deleuze et Guattari : «

pessimiste: En se referment sur eux, les symbolistes vont se démarquer de plus en plus nettement de l'optimisme ambiant. Leurs œuvres sont marquées par la solitude, la mélancolie, un pessimiste en accord avec celui des philosophes tels Nietzshe et Schopenhauer. Ils sont obsédés par la décadence, habités par le doute, hantés par l'échec. Les techniques: Le symbolisme est avant tout suggestif : il procède par l'allusion et non par description. Nommer un objet ou le montrer revient à dissiper le mystère