Destins

« Je ne pourrai t’épouser » «  tu sauras demain » : verbe au futur Ces verbes et périphrases verbales sont source de tragique dans la mesure où le personnage ne pourra pas vivre son « futur ». *Cette scène renforce le destin de l’héroïne car elle est en train de parler d'un destin qui n'est plus le sien. Elle n'aura ni mari ni enfant ni jeunesse.

français Le tragique, registre littéraire, se caractérise par un ressenti d'émotions tel que la crainte, la pitié. La tragédie, sous genre théâtrale apparu dans la Grèce antique au 5eme siècle avant jc, est un récit où le héros, ne peut échapper a son destin. Ce même personnage est aussi souvent confronté a des forces supérieurs.  En quoi le tragique  n'est pas réservée a la tragédie? Pour commencer, seront abordé les points qui relient la tragédie au registre tragique. Ensuite, il conviendra d'aborder

l'auteur parvienne à faire éprouver une communion tragique. Ce qui est réellement tragique, ce n'est pas non plus l'événement en soi qui pourrait ressembler à un fait divers, mais quant il se rapporte à une transcendance : conspiration divine, destin... Elle introduit dans l'action un nouveau terme situé en dehors du champ sensible. la folie est tragique parce qu'elle passe pour sacré : les Eyrinnies qui poursuivent Oreste affrontent Apollon : sa folie est un drame entre les Dieux. Dans le

En effet alors que la tragédie exclu toute intervention humaine et impose une décision divine irréfutable, enfermant le personnage dans son désespoir et sa solitude, le drame se présente, quant à lui, comme le résultat d'une fusion de l'homme, du destin et du hasard. Selon Anouilh, la tragédie veut que le sort des personnages soient préalablement scellé et connus du public. Ce sort, irrévocable, finit par tomber sur le personnage quelques soient les circonstances. Ainsi tout se révèle être prêt

axes suivants : - les manifestations du tragique : la lamentation de la passion souffrante, le sentiment de culpabilité, la lutte des héros contrela fatalité ; - les représentations du destin : la présence des dieux, les caractères du dénouement ; - les différentes facettes d’Oreste et d’Electre : victimes du destin, vengeurs partagés entre mauvaise conscience etlibre arbitre. · Le mythe d’Electre a inspiré de nombreux tragédiens de l’Antiquité. En effet, l’histoire tragique d’Electre, fille d’Agamemnon

avant sa naissance. En effet, l’un de ses aïeuls aurait fait fortune mais l’aurait dilapidée aussi rapidement que celle-ci s’est formée. « Son père décéda très jeune », ceci est aussi un élément tragique qui s’implante presque logiquement dans son destin. Malgré la pauvreté quasiment extrême de sa mère, celui-ci entra au lycée quand sa mère déboursa les derniers sous qui leur restaient. Ce fut malgré tout encore un geste vain car quand bien même Jean réussit à obtenir des diplômes, « des succès aux

Egisthe présenté comme "pur", "loyal", "innocent" ----> injustice de son meurtre ---> pitié chez le spectacteur (antithèse avec "criminel") c. Champ lexicale et vocabulaire de la lutte => héroisme : lutte, gène, embarras. Mais lutte inutile contre le destin ---> pitié. d. Plus de temps consacré au récit de la mort d'Egisthe, phrases plus longues ---> pitié e. Ne peut pas se débarasser de Chlytemnestre, liée à elle et donc au crime dans toute l'éternité ---> pitié. II. Discours et personnage du

de Œdipe, on abandonne l’enfant sur une montagne, pieds liés. Il est cependant retrouvé et confié au roi de Corinthe qui l’élève comme son propre fils. En grandissant, Œdipe apprend qu’il est victime d’une malédiction et veut alors échapper à son destin en s’enfuyant. Sur la route, Œdipe tue Laïos, le prenant pour un voleur alors qu’il s’agit en réalité de son père biologique. Une fois à Thèbes, Œdipe se trouve confronté au Sphinx qui assiège la ville. Il lui pose une énigme : « Qu’est-ce qui marche

contrôlent toujours leur passions parce-que ils sont dominés par la raison (comme DesCartes pensait: les aimes forts). Les personnages de Racine sont faibles, ils s’abandonnent aux passions dont ils sont victimes, ils ne peuvent pas choisir leur destin, ces personnages sont surtout des femmes. Le système dramatique de Corneille peut être résumé en six points importants: il prend de grandes histoires de l’antiquité (Latines); les personnages principaux sont des héros forts et nobles; Il ne respecte

Albert Camus estime que c'est en fabriquant des héros, des destins qui seront lus par les lecteurs que cela nous permet d'accéder à une meilleure maitrise de notre plus grande peur : la mort. «Le roman fabrique du destin sur mesure. C'est ainsi qu'il concurrence la création et qu'il triomphe, provisoirement, de la mort. » Rousseau dans son ébauche aux "Confessions" explique que par l'autobiographie on peut aussi mieux comprendre le coeur et l'âme humaines. "J'ai résolu de faire à mes lecteurs