Destruction Créatrice Chomage

avoir des effets récessifs (A) et occasionner des destructions d’emplois (B). A- Le progrès technique est une destruction créatrice - Schumpeter montre que les innovations arrivent par grappes et que le PT crée une croissance cyclique. - Le progrès technique détruit des secteurs, produits. ex : Minitel remplacé par l’Internet B- Le progrès technique crée du chômage et modifie les qualifications - Gains de productivité signifient destructions d’emplois si production constante. -Il faut un

croissance endogène d’inspiration schumpétérienne, dans lequel l’innovation a un effet d’amélioration de la productivité et un effet d’obsolescence des anciennes techniques. L’analyse du modèle montre que la conséquence de ce processus de destruction créatrice n’est pas toujours positive et précise de façon explicite «  à qui profite le progrès technologique, qui perd, comment les gains et les pertes dépendent d’arrangements sociaux, et comment de tels arrangements se répercutent sur la volonté et

sans succès disparaissent. Si cette concurrence destructrice entraîne du gaspillage (obsolescence de machines, destruction d’emplois, déclassement d’activités et autres jugées improductives), il s’agit en fait d’une « destruction créatrice » qui génère la croissance en renouvelant les structures économiques. 2) L’entrepreneur et l’investissement au cœur de la « destruction créatrice » L’entrepreneur est l’agent économique grâce auquel les innovations alimentent la croissance. C’est un innovateur

l’évolution des connaissances Il se penche aussi sur le chef d’entreprise qui prend le risque de lancer un nouveau produit ou une nouvelle façon de produire. Avant d’en arriver « là », on va devoir détruire des secteurs de l’économie. « Destruction créatrice » En 1956, Robert SOLOW dira que les pays qui pourrons investir suffisamment sont susceptibles de connaître une croissance économique d’autant plus forte qu’ils sont en retard. Augmentation de la production Augmentation du capital technique

de vie niveau d'éducation : durée moyen de scolarisation niveau d'éducation : durée attendue de scolarisation l'IDH est proche de 1 plus le pays est développé => Mais il présente tjr des limites (sécurité publique, l'accès a l'eau potable, tx de chômage...) II. Comment la théorie économique analyse-t-elle le processus de croissance éco ? Facteur de p° / Fonction de p° A. Smith pense que : ++K ++W = ++ croissance. Mais il résonne qu'avec des quantités et non avec la qualité. La p° est proportionnel

système économique » - L’image négative de la crise avec son cortège de faillite, de chômage et de difficultés pour la population est celle qui prévaut généralement. - Peut-on concevoir une vision plus positive ? La crise ne serait-elle pas un mode de dynamisation de l’activité économique ? - La crise : vient du grec krisis, le temps des choix décisifs - C’est la dimension créatrice la ou destruction créatrice se dégageant de cette acception. Elle est un catalyseur, un mode d’émergence, un accélérateur

Synthèse Après avoir rappelé comment la demande détermine la croissance économique, vous montrerez qu’elle n’est pas une condition suffisante. Idées d’accroche : · Forte affluence au mondial de l’automobile en octobre 2008 mais annonce de chômage technique chez certains constructeurs automobiles. · Croissance fordiste : de la production de masse à la consommation de masse. · Jean Baudrillard et La société de consommation (1970) 1. La demande détermine la croissance économique (= effets

évidence changent au gré des auteurs ... (2) La dynamique du capitalisme selon Schumpeter : la « destruction créatrice ». La destruction créatrice est, selon Schumpeter, le processus par lequel des entreprises nouvelles, fondées sur des innovations, se substituent à des entreprises vieillies et routinières, ce qui provoque une disparition des firmes et branches anciennes, donc une « destruction », mais aussi l’apparition de nouveaux secteurs porteurs, la « création ». Elle a des effets ambivalents

qui vont suivre le mouvement créé par les entrepreneurs primaires. C’est ce que Schumpeter a appelé le processus de « destruction créatrice », terme qu’il définit comme « le processus qui révolutionne incessamment de l'intérieur la structure économique, en détruisant continuellement ses éléments vieillis et en créant continuellement des éléments neufs », c'est-à-dire la « destruction de valeur » pour certaines entreprises, les moins efficaces et les moins innovantes, conjointement à la création de

s'interroger sur les conditions qui font que les progrès technique est source de croissance. Mais l'impact du progrès technique sur la croissance, s'il est largement positif, comporte également des aspects négatifs : c'est le principe de la destruction créatrice de Schumpeter. Le plus simple était ici de reprendre une structuration classique : effets sur l'offre / effets sur la demande. Le raisonnement est peu éloigné de l'impact de l'investissement sur la croissance économique, dans la mesure où le