Détective

BEINHART, Larry Biographie Larry Beinhart est né en 1947, il se fait connaître comme écrivain de romans policiers dès 1986, aux États-Unis, avec "No one rides for free", premier titre d'une série mettant en scène Tony Casella, détective privé qui allie l'humour et la sagacité. Il reçoit un "Edgar Award" du meilleur premier roman policier en 1987, et livre encore en 1988 "You get what you pay for" puis "Foreign Exchange" en 1991 : cette série reste inédite en France à ce jour. C'est avec

Doriane Dégarie 05 mars 2015 Jeu sans matériel Le détective et l’assassin : Le meneur de jeu demande aux participants de se coucher face contre le sol et de fermer les yeux. Il circule parmi les participants et va taper sur la tête d’un joueur qui devient le détective puis tirer une couette de cheveux de celui qui sera l’assassin. Ces rôles sont donc secrets. Le meneur demande aux participants d’ouvrir les yeux et le jeu débute. Les enfants se rassoient en cercle. Pour faire des victimes, l’assassin

premier d’entre eux est Dubois-Dupont. Dubois-Dupont, il est vêtu d’un « plaid » à pèlerine1 et à grands carreaux et coiffé d’une casquette assortie « genre anglais ». Il tient à la main une branche d’arbre en fleur. Je me présente : je suis le détective privé Dubois. Surnommé Dupont, à cause de ma ressemblance avec le célèbre policier anglais Smith. Voici ma carte : Dubois-Dupont, homme de confiance et de méfiance. Trouve la clé des énigmes et des coffres-forts. Brouille les ménages ou les raccommode

Baltasar ordonné sa voix grave et pâteuse, "apagad lumière". Veíamos películas, veíamos concursos, veíamos noticiarios, veíamos anuncios, veíamos transmisiones de la santa misa, veíamos partidos de fútbol y corridas de toris, veíamos series de detectives que hablaban siempre con un extraño acento que era vagamente sudamericano, pero que para nosotros era, sin más, la manera de hablar de los personajes de las películas y de las series. Pero viéramos lo que viéramos los adultos no se callaban nunca

Rome, 65 avant Jésus-Christ. La République est menacée par les ambitions antagonistes de César et de Pompée. Une société en décomposition, avide de jouir, s'adonne frénétiquement à combats politiques, intrigues amoureuses et rixes sanglantes. Le détective Gordien, après avoir travaillé pour Cicéron, se retire des affaires. dans sa propriété de Toscane. AAais Rome se rappelle bien vite à son bon souvenir. Cicéron, devenu consul, au faîte du cursus honorum, demande à Gordien de reprendre du service

terme de « film noir » a été utilisé pour la première fois par l’écrivain Nino Frank à la moitié du XX ème siècle, période où ce genre de films florissait. Il choisit alors ce terme par assimilation à la Série noire, une collection de romans de détective. En effet, de nombreux films noirs ont été distribués des années 1940 à 1950. Ce type de film s’est alors aussitôt retrouvé face à deux problématiques. À l’époque, il s’agissait généralement de films de série B puisque ceux-ci ne possédaient que

disparu. Bug Muldoon, le scarabée détective privé, est informé par la mouche, Jake la Tremblote, que les fourmis préparent un mauvais coup. Chez Dixie’s où les insectes viennent se détendre, deux soldats fourmis obligent Bug à les suivre dans la fourmilière. La Reine des fourmis charge le scarabée de localiser les Individualistes, des fourmis qui refusent la règle du Nid et veulent retrouver leur personnalité propre. Le commandant Krag qui déteste le détective ne lui laisse pas le choix : ou il

Montano et éditée par Arnoldo Mondadori à partir de 1929, que le terme « jaune », par la couleur de la couverture, a substitué l’appellation classique de roman policer qui est restée en France, alors que pour les pays anglo-saxons il est dénommé detective novels, des histoires basées sur l’enquête policier et en général sur mystery, une histoire centrée sur une solution rationnelle et un énigme initial. Il est important de remarquer qu’il existe, comme l’a souligné Massimo Siviero ( écrivant

plausible ; en fait il a fallu un épilogue pour l’expliquer. » Dans ce « polar » sans enquêteur, ce huis clos où dix personnages sont tous victimes et tous suspects, Agatha Christie démontre magistralement que les rôles d’auteur, de lecteur et de détective, ou ceux de victime et de meurtrier sont étroitement liés et toujours susceptibles de permuter. Résumé d’une intrigue bien « ficelée » (Années 1940, Île du Nègre en Angleterre.) Ils sont dix, ne se connaissent pas et sont invités pendant une semaine

Avant de rédiger, nous nous sommes demandé avant tout comment présenter les informations. Nous avons décidé ensemble de présenter une Une de journal. Cette idée, nous est venu parce qu’on peut facilement voir un point commun entre le célèbre détective et un journal. Les premières histoires de Sherlock Holmes ont été publiées dans un journal. Les enquêtes criminelles étaient publiées dans les journaux pendant l’ère Victorienne soit à l’époque de la création de ce personnage. Nous avons été livrés