Determinisme Biologique

fr/web/revues/home/prescript/article/ds_0378-7931_1987_num_11_2_1504 Résumé Les résultats d'une étude par questionnaire (N : 95) montrent que des étudiants en psychologie construisent leurs explications générales de la délinquance autour de dimensions faisant intervenir des déterminismes socio-économiques, des causes organiques et héréditaristes, ou des caractéristiques psychologiques et relationnelles du délinquant. Mais seulement les croyances sur les origines organiques et héréditaristes semblent déterminer le degré d'acceptation

cause, qui ne le laisserait le choix que d’agir comme il le fait. Il est donc esclave de ces forces internes et externes de ce monde, n’a aucune autonomie et n’a donc aucune responsabilité, ni liberté, sur ses actes. C’est la théorie principale du déterminisme. En simple termes, les gestes de l’humain sont le résultat d’un complexe rapport de causalité. L’ensemble de ses causes ne laisseraient pas à l’humain de choisir, mais le contraindrait au geste qu’il fait. C’est-à-dire, l’agencement de certaines

de la criminologie classique a donné naissance aux idées de culpabilité et responsabilité. Beccaria amène le concept du contrat social. Ce dernier est un consensus basé sur le respect des individus et de leurs biens. 2) Le positivisme biologique Les positivistes mettent l’emphase sur le criminel. Ils cherchent à comprendre le passage à l’acte. Pour les positivistes de nature déterministe, les criminels sont disposés dès leur naissance. Cesare Lombroso classe les criminels en 4 catégories

Thérèse Raquin, contrôle de séquence Corpus de textes : -Préface -Chapitre 1 -Chapitre 5 -Chapitre 11 -Dernier chapitre Notions à développer -Le naturalisme -Le déterminisme -Le réalisme -Biographie Zola -Focalisations/Points de vue PREFACE, Zola défend son roman considéré par les critiques comme l’œuvre d’ « une misérable hystérique qui se plait à étaler des pornographies » BUT SCIENTIFIQUE AVANT TOUT ! Parle de l’opposition romantiques/ naturalistes -Romantiques étudient

devenons esclaves. La liberté suppose la maîtrise de soi. Laisser libre cours à ses pulsions, c’est être déterminé par elles. «  Suivre l’impulsion du seul appétit, c’est devenir esclave de ses penchants ». ROUSSEAU I. LE DETERMINISME 1) Notion de déterminisme. C’est l’idée selon laquelle notre comportement est régi par des causes indépendantes à notre volonté. 2) Le destin. Idée que tout est écrit à l’avance & rien ne peut-être évité ou modifié . Pour les Cathos ( pas de

individu, évoluant dans cet univers, est, lui aussi, déterminé. On peut toutefois supposer que l’homme n’est pas dans le monde comme une chose parmi les choses ni même comme un vivant parmi les vivants. En quelle mesure, l’homme échapperait-il au déterminisme ? Parce que c’est un être doué de conscience et de volonté dira-t-on. Mais cela suffit-il pour le faire déroger aux lois ordinaires de la nature et à l’enchaînement nécessaire des causes et des effets ? Peut-on alors concevoir la liberté humaine

Transition : La conséquence sur le plan de la justice : absence de circonstances atténuantes II – La liberté n'est elle pas qu'une illusion* ? *Est ce que je fais toujours ce que je veux ? La question du déterminisme naturel : SPINOZA Social et culturel → FREUD Le déterminisme naturel ne limite t il pas ma liberté ? → SPINOZA = « L'homme n'est pas un empire dans un empire » → L'homme n'est pas aussi

humaine. De ce point de vue, le destin serait fixé d’avance par une puissance supérieure aux êtres humains, qui peut être Dieu, ou bien la nécessité naturelle, ou encore les lois gouvernant l’histoire. Du point de vue moral, le fatalisme est un déterminisme ou un prédéterminisme, selon lequel les causes du cours des événements sont indépendantes de la volonté humaine, ce qui revient à nier à première vue la liberté de choix de l’homme. Dans un sens affaibli, le fatalisme peut désigner une attitude

(physique, biologique) 3 enjeux de la nature de l’homme : 1/ l’homme est strictement naturel, prévisible donc pas libre, régit aux lois naturelles 2/ pour juger moralement il faut que l’auteur de l’acte soit libre. condition de possibilité de la morale : la liberté 3/ hypothèse : si l’homme n’obéit pas aux lois naturelles = pas de liberté absolue mais si l’homme connait et maitrise les lois qui le gouverne = l’homme est plus libre. I/ liberté et lois naturelles A.Thèse du déterminisme Déterminisme :

Silencieuse: Le progrès des sciences de la nature : Les sociologues allaient se baser sur les théories des sciences de la nature pour élaborer leurs propres théories en vue de comprendre le fonctionnement de la société. Le déterminisme biologique – Le darwinisme biologique – Le déterminisme social ( P. Bourdieu). III- Conclusion IV- Bibliographie Introduction.- Il est évident que toute science a une historicité qui lui est propre expliquant le contexte dans lequel elle a vu le jour. Ce principe fondamental