Dette intérieure

politiques budgétaires au Maroc depuis cinquante ans 1. Introduction : définition Politique menée au moyen du budget de l’État central. 2. Les dépenses budgétaires : Dépenses de fonctionnement. Dépenses d’investissement. Dépenses de la dette publique. Les dépenses budgétaires 1.1. Évolution des finances publiques au Maroc : 1955-1973 : Augmentation progressive des dépenses avec une prédominance des dépenses de fonctionnement. 1973-1982 : 1973-1977 : Plan quinquennal 73-77=>

SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ¤=¤=¤=¤=¤ UNIVERSITE D’ABOMEY CALAVI ¤=¤=¤=¤=¤  FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION ¤=¤=¤=¤=¤ MEMOIRE DE MAÎTRISE ES SCIENCE ECONOMIQUE ¤=¤=¤=¤=¤ OPTION : Economie ¤=¤=¤=¤=¤ THEME : EPARGNE INTERIEURE ET CROISSANCE ECONOMIQUE : CAS DU BENIN Réalisé et soutenu par : Georges A. SOGLOHOUN Sous la direction de : Dr. Honorat SATOGUINA Enseignant chercheur à la FASEG/UAC DEDICACES A Dieu le tout puisant, conquérant et couronné de l’univers ; Ma

crise de la dette dans la zone euro. 5. Sur le plan structurel, l’Allemagne a réalisé de grands progrès, notamment sur le marché du travail, qui ont généreusement porté leurs fruits au cours de la récente récession. Il reste a encore beaucoup à faire cependant pour renforcer le potentiel de croissance, compte tenu surtout du vieillissement rapide de la population. Les mesures structurelles doivent être centrées sur les domaines suivants : • Renforcer la demande intérieure 1

de récession ou de moindre croissance. À compter de la crise consécutive au choc pétrolier de 1973, les théoriciens néoclassiques ont cependant souligné les limites de la politique budgétaire et, notamment, les effets néfastes des déficits et de la dette publique. (Ensemble des dettes de l’Etat résultant des emprunts que ce dernier a émis ou garantis).. A. Les stabilisateurs budgétaires automatiques : approche libérale classique (fin XVIIIème à la crise de 1929) Les recettes et les dépenses publiques

d'inflation relatif élevé 4. Différentiel du taux d'intérêt élevé 5. Différentiel du taux d'intérêt en croissance 6. Taux d'intérêt réel élevé 7. Taux d'épargne intérieure faible 8. Déficit commercial important 9. Déficit courant élevé 10. Ratio élevé du portefeuille étranger à l'investissement direct 11. Dette étrangère à court terme élevée 12. Dette en dollars US élevée (sans couverture) 13. Ratio élevé de l'investissement immobilier sur l'investissement en Source : http://www.cfee.org/fr/econinfo.shtml

banking sector, financial liberalization, financial repression, market capitalization, Morocco Texte intégral 1 2 3 4 5 6 Le Maroc en tant que pays à revenu intermédiaire est contraint aujourd’hui d’assurer les échéances de la dette et de ses charges, conséquence de choix de financements basés par le passé, d’une part, sur le recours à l’emprunt extérieur au détriment de l’encouragement de la formation de l’épargne domestique et, d’autre part, sur le contrôle de la sphère monétaire

Phase 1 : taux d'intérêt élevés maintiennent le poids de la dette et entretiennent une récession qui ampute l'assiette des recettes. Il y a creusement du déficit public ce qui augmente les coupes dans les dépenses sociales et maintien la dépression sur le marché financier ce qui provoque le maintien des taux d'intérêt élevés. Phase 2 : taux d'intérêts élevés ont attiré des capitaux étrangers aux USA ce qui a contribué à une croissance intérieure et a financé le déficit extérieur qui en résultait. Mais

reste dans une fourchette de 2 % à 3 % par an, conséquence de l’augmentation constante des obligations au titre du service de la dette que le gonflement de l’excédent primaire ne parvient pas à compenser. L’endettement du secteur public s’élève maintenant à environ 55 % à 60 % du PIB et, à l’approche des élections générales, la question de la restructuration de la dette ne manquera pas d’être évoquée. Il faut s’attendre à un regain de nervosité sur les marchés financiers locaux, d’instabilité, etc

2013(e) 2014(p) Croissance PIB (%) 2,7 -0,8 -0,6 0,6 Inflation (moyenne annuelle) 3,3 3,2 2,2 1,9 Solde budgétaire / PIB (%) -0,7 -1,8 -2,2 -2,3 Solde courant / PIB (%) -1,5 -1,8 -1,2 -1,3 Dette publique / PIB (%) 49,2 53,6 58,4 61,0 (e) Estimations (p) Prévisions POINTS FORTS POINTS FAIBLES Bons antécédents en matière de politique économique Niveau élevé des dépenses de recherche et développement Industries de

sommes plus dans la crise souveraine qui est une dette émise ou garantie par un émetteur souverain ( un Etat généralement ou parfois une banque centrale ) . C’est le fait que des acteurs privés cherchent à se désendetter en réduisant leurs dépenses ce qui affecte la consommation et l’investissement . Les Etats ont alors déployé des moyens sans précédent pour soutenir leurs économies. Mais ces dépenses souveraines nous ont amené à la crise de la dette . De nombreux pays se retrouvent surendettés à un