Deux Modèle Idéologiques Opposés

I La rupture de 1947 : causes et manifestations 1 Deux systèmes inconciliables 2 Le rideau de fer 3 Les doctrines Truman et Jdanov II La bipolarisation du monde: 1947-1962 1 en Europe : la fermeture du rideau de fer et l’enclave de Berlin-Ouest 2 L’expansion du modèle soviétique en Asie orientale 3 La mort de Staline, le dégel et ses limites III La détente : 1962- 1975 1 Le dialogue Est-Ouest 2 Des modèles remis en question par les opinions publiques 3 vers

Composition d'Histoire : Origines, manifestations et limites de la Guerre Froide (1945-1962) La Guerre Froide est un évènement historique, c'est une période de tensions et de confrontations idéologiques et politiques entre les deux superpuissances, les États-Unis d'Amérique et l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS). Ce conflit se déroule entre 1947 qui est le début du conflit Etats-Unis, URSS, par le non respect du pacte de Yale, et 1991 qui est la chute du mur Berlin. Nous

froide : un monde bipolaire (1947-1991) La guerre froide se définit comme un affrontement entre deux adversaires sans conflit direct majeur. Dans le cas, URSS/USA, elle aboutit à une bipolarisation géopolitique du monde. Les modèles, causes de la guerre froide : Deux superpuissances alliées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale dont les modèles politiques, économiques et sociaux sont opposés. L’existence de l’une est considérée par l’autre comme une menace pour sa sécurité (au sens large

La guerre froide naît en 1945, sur les ruines d'une Allemagne que se disputent les vainqueurs de la seconde guerre mondiale. Coupée en deux parties la ville est le théâtre de tensions et de crises. Du côté ouest c'est le symbole du monde libre et à l'est la vitrine du communisme. Un mur s'est édifié en 1961 et divise la ville. Il s'agit de l'affrontement de deux grand blocs, les États unis et l'URSS. Berlin est la première grande crise de la guerre froide. Il s'agit d'un enjeu politique et symbolique

destinées au gouvernement (vers la fin du siècle dernier). La logique qui a présidé à la distinction gauche/droite en 1789 (maintien du veto royal ?) demeure toujours pertinente, l’idée d’une division des principales forces du champ politique en deux grands camps opposés a en effet bien survécu. C’est sur cette base que ce clivage peut encore de nos jours servir comme outil de classification des idéologies politiques. Le clivage gauche/droite s’exprime donc au niveau le plus haut du gouvernement de l’Etat

lacréation de l’OTAN en 1949.La guerre froide quant à elle, oppose les Deux Grands, deux superpuissances qui sont lesacteurs principaux sur la scène internationale de la deuxième moitié du XXe siècle. Unesuperpuissance est un pays qui domine le monde grâce ses ressources économiques,politiques, militaires et culturelles (désigne donc URSS et États Unis pendant la GuerreFroide). La bipolarisation du monde sépare deux modèle idéologiques, économique etsociétal caractérisé par une bataille économique

sortir de la guerre, la Grande Alliance se brisa pour cause d’idéologies trop différentes entre l’URSS & les Etats unis, mais surtout car les deux superpuissances ne peuvent cohabiter ensemble, les USA considérant le communisme comme une menace ; et l’URSS ne voyant dans l’état américain qu’un pouvoir impérialiste. L’Europe, se situant géographiquement entre les deux pays, se retrouve directement impliqué dans le conflit. Cependant, quelle place va-t-elle jouer dans ces vives tensions qui opposent URSS&

=> expression inventée par Bernard Baruch, conseiller diplomatique du président américain Roosevelt. Il s’agit d’un conflit idéologique entre deux puissances que tout oppose : les Etats-Unis et l’URSS, vainqueurs du nazisme en 1945. La compétition acharnée entraîne le raidissement des relations internationales, mais elle ne dégénère jamais en guerre directe entre les deux puissances. Le politologue Raymond Aron qualifie justement la Guerre froide comme : « paix impossible, guerre improbable ». Elle

donner un nouveau paradigme à la notion d’idéologie. L’idéologie est-t-elle communicative, discursive ? Ou peut –il exister une parole a-idéologique ? L’idéologie est seulement linguistique ou peut –il être aussi un comportement ? Le comportement est-t-il seulement irrationnel ou peut-il être identifié, classifié, rationnalisé : devenir compréhensible ? Deux auteurs, le philosophe Olivier Reboul et le sociologue français Raymond Boudon montrent comment la notion d’idéologie remet en question l’analyse

neuvièmes journées d’histoire de la comptabilité et du management Jeudi 20 et Vendredi 21 mars 2003 CREFIGE - UNIVERSITE PARIS-DAUPHINE AVEC LE SOUTIEN DE L’ASSOCIATION FRANCOPHONE DE COMPTABILITE LA GOUVERNANCE D'ENTREPRISE HÉRITIÈRE DE CONFLITS IDÉOLOGIQUES ET PHILOSOPHIQUES Stéphane TRÉBUCQ Maître de conférences à l'Université Montesquieu Bordeaux IV (CRECCI) 29 rue de la Cape, rés.Biarritz Apt F/28 33200 Bordeaux tél:05 56 02 64 61, fax: 05 56 37 00 25 email : trebucq@montesquieu.u-bordeaux.fr