Devant Deux Portraits De Ma Mère

Edouard IV règne mais est malade. Gloucester, son frère, difforme et laid, veut le pouvoir… Pour cela il n’hésite pas : il fait tuer son autre frère, Clarence. Il complote, manipule les uns et les autres… Il élimine progressivement les obstacles devant lui, allant jusqu’à faire tuer ses neveux, pour finalement devenir Richard III. Mais sa soif de pouvoir, de vengeance, sont sans limites et il se révèle aux yeux de tous comme un monstre sans foi, éliminant même ses alliés… C’est entre 1591 et 1592

il se tourne donc vers les portraits et notamment les autoportraits. Ainsi y exprime-t-il ses émotions. Dans l'autoportrait 1, Vincent présente un visage déterminé, presque coléreux. Mais son regard qui fixe le spectateur semble exprimer une profonde inquiétude, un noir pressentiment. De plus, l'arrière-plan est dominé par les lignes sinueuses, plongeant Vincent dans un ensemble confus de tourbillons et de vagues. On ne peut qu'éprouvait un profond malaise devant cet autoportrait, celui d'un

naissance à son fils deux mois plus tard. Depuis elle concilie son travail d’écrivain et son rôle de mère avec bonheur, appréciant la flexibilité d’organisation que lui permet l’écriture. Elle écrit « Le Récital des anges » entre avril 1999 et avril 2001 Elle s’efforce d’effacer la pression qu’exerce sur elle le succès de « La jeune fille à la perle » car sinon, elle se sent paralysée et ne parvient plus à écrire. Elle garde l’impression d’être une débutante devant sa page blanche et chaque

et sa vraisemblance se trouve garantie par le cadre historique du roman. Cependant, si ce portrait est, comme les autres, placé sous le signe de l’excellence et de l’abstraction, il s’en distingue sur un point : la place essentielle faite à l’éducation qu’a reçue la jeune fille. C’est le passage central du texte, qui donne à cette présentation une importance décisive pour la suite. 1) L’art du portrait C’est avec élégance que Mme de Lafayette introduit la belle héroïne de son roman.

indifférence dédaigneuse » (I, p.21). À la mort de sa mère, d’origine africaine, Thérèse fut adoptée par Mme Raquin. Thérèse, malgré sa santé de fer, partagea toutes sa jeunesse la chambre et les médicaments de son cousin Camille. Elle prit ainsi l’habitude de réprimer son tempérament de feu. Lorsqu’ils en eurent l’âge, Madame Raquin maria les deux cousins. À la suite du mariage, Camille voulut quitter Vernon pour aller vivre à Paris. Sa mère acheta alors la boutique petite et noire du passage

apparition :- L.1 : « Qui attira les yeux de tout le monde »- L.2 : « Elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. »- L.24 : « Il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres »=> Ce portrait est très vague et très stéréotypé. Caractères peu nombreux. L.25-26 : Peu d’attributs et très stéréotypé. Blonde, peau blanche, traits réguliers : correspond au canon du XVII° siècle.o Personnage très idéalisé : toutes ces analyses montrent que le

II)La relation mère-enfant dans l'oeuvre Pour commencer, nous ne pouvons parler de la relation entre Mme Roland et ses fils, sans parler du complexe d'Oedippe. En effet Mme Roland entretient une relation assez ambigüe avec ses fils, l'un de son mari qu'elle n'aime pas:le père Roland , et l'autre du seul homme qu'elle a jamais aimé : Maréchal.Dans un premier temps nous aborderons la notion du complexe d'Oedippe.Dans un second paragraphe,nous étudierons la relation entre Pierre

Cette vieille peau terreuse et plissée, blessée, ressemble à la mère de Rembrandt; le grand portrait d'Amsterdam boueux, graisseux, au visage craquelé, entièrement pris dans le projet sédimentaire de la mort. La vieille pomme de terre repose sur un morceau de toile bise et rêche pour ne pas enjoliver sa robe, ne pas être tentée de fuir hors d'elle pour éviter la mise en valeur trop gourmande qui ne cède qu'à l'évident plaisir des confiseries. Ces refus obligent à deviner des bleus insaisissables

Dialectique grand-petit : « Ce luxe qui dégrade qui les grands talents, en les assujettissant à de petits ouvrages, et les grands sujets en les réduisant à la bambochade ». • Reprise de schèmes philosophiques : l’analogie de la ligne de Platon à travers le portrait de la femme la plus belle qu’on connaît pour représenter la beauté : « vous n’auriez été qu’au 3ème rang puisque entre la vérité et votre ouvrage, il y aurait eu, la vérité ; ou le prototype, son fantôme subsistant qui vous sert de modèle , et la

héro Julien Sorel appartient à la génération romantique qui nourrit la nostalgie de l’époque Napoléonienne. Il appartient à une classe défavorisé et se demande comment réussir à s’élever dans la société. → Explication possible du titre : Julien a deux carrières qui s’offre à lui pour s’élever dans la société : L’armée = Le rouge et L’Eglise = Le noir → Style stendhalien : - Ecriture rapide cad langue rapide, concise. Il n’en dit jamais plus qu’il n’en faut. - Pratique régulière de