Developper Le Produit Net Bancaire

Banques Octobre 2010 / NMO/EBO 0ABF11 NAF rév.2, 2008 : 64.11Z, 64.19Z, 64.30Z, 64.92Z, 64.99Z Graphique clé Produit net bancaire (PNB) unité : % des variations annuelles en valeur Prévisions Xerfi / Source : Commission Bancaire (données historiques) 30% 25% 20% 15% 10% 20,0% Prévisions 2011 Evolution du PNB Contexte financier Croissance du PIB +8,0%  +0,8% 8,0% 5% 0% -5% -10% -15% -20% 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010p 2011p Tendances 2010 (*) Evolution du PNB PNB banque

dans un contexte international encore contrasté, le groupe Société Générale Maroc a réalisé une très bonne année, confirmant la bonne tenue de ses résultats tout en maintenant la rentabilité de ses activités et la maîtrise de ses risques. Le résultat net dépasse pour la première fois le milliard de dirhams et s'établit exactement à 1068 millions de dirhams, la rentabilité des fonds propres (ROE) après impôt est de 17,5%. Ces performances sont avant tout le reflet d’une mobilisation de l’ensemble des

REPERES ECONOMIQUES LE SECTEUR BANCAIRE EN FRANCE Le système bancaire français actuel est défini par la loi bancaire du 24 janvier 1984 et par la loi du 2 juillet 1996. La loi du 25 juin 1999 a modifié le statut des caisses d’épargne. Toutes ces dispositions sont désormais incluses dans le Code monétaire et financier. Depuis la loi bancaire de 1984, toutes les entreprises du secteur sont regroupées sous l’entité “établissement de crédit”, et tous ces établissements de crédit sont soumis à cette

WesternUnion : .……………..…………………………………………………... 10 2.5. MoneyGram : ……………….……………………………………………...…… 10 CHAPITRE III : Produits & Services : 3.1. Le compte bancaire : ………..……………………………………………..…… 11 3.2. Les produits monétiques : …...……………………………………………..…… 11 3.3. Les packs : ………………..…………………………………………………..…. 13 3.4. Les produits d'épargne : ..….……………………………………………….…..14 3.5. Les produits d'assurance : …...…...………………...……………………….… 15 3.6. Les crédits : ………………….…...……………………………………………… 16 3.7. Autres

fusionnent
 et
 donnent
 naissance
 à
 la
 BNP.
 Il
 s’agit
 en
 outre
 à
 cette
 époque
 de
 la
 plus
 grande
 opération
 de
 restructuration
bancaire
depuis
la
libération.
En
1993,
la
BNP
(Banque
Nationale
de
Paris)
est
privatisée
et
prend
un
nouveau
départ.
En
 effet,
 les
 années
 1990
 sont
 marquées
 par
 le
 lancement
 de
 nouveaux
 produits
 et
 services
 bancaires,
 l’expansion
 nationale
 et
 internationale
et
la
préparation
pour
tirer
le
meilleur
parti
de
l’avènement
de
l’Euro.
 
 L’année
1998
est
marquée
par
la
création
de
Paribas

d’investir dans certains projets pour continuer à développer son activité et continuer à être rentable. Pour financer ses projets, l’entreprise peut : - soit opter pour l’autofinancement, c'est-à-dire financer elle-même ses investissements sans faire appel à des ressources extérieures ( c'est-à-dire affecter son résultat net dans son projet d’investissement) - soit avoir recours à l’endettement. (Titres de créances, ou l’endettement bancaire) Et c’est la notion d’autofinancement, qu’on va évoquer

contribué au développement des pays. Il s’agit aussi d’une entreprise qui réunit des moyens financiers, techniques et technologiques afin de jouer convenablement son rôle d’intermédiation financière. D’après l’article 1 du premier chapitre de la loi bancaire du 6 juillet 1993, la banque est un établissement de crédit qui exerce d’une façon habituelle les opérations suivantes : * La réception des fonds du publique ; * La distribution des crédits ; * La mise à la disposition de la clientèle de

commerciale dont l’activité principale est la collecte des fonds du public qui n’utilisent pas immédiatement des sommes dont ils disposent et octroie une partie de ses fonds comme crédit moyennant une rémunération. L’article premier de la loi bancaire du 14 février 2006 définit les établissements de crédits comme : « Les personnes morales qui exercent leurs activités au Maroc, quels que soient le lieu de leurs siège sociale, la nationalité des apporteurs de leurs capital social ou leur dotation

remercie! 3TABLES DES MATIERES Introduction 5 Partie I – Partie Théorique : Le contrôle de Gestion, levier de performance en la CDG Capital Chapitre I – Contexte du stage 7 1-Vue d’ensemble du contrôle de gestion 8 2-Contrôle de gestion dans le secteur bancaire 12 3-Le contrôle de gestion dans la CDG Capital 18 Chapitre II – Introduction à la thématique 19 1- Mesure de la performance dans une banque 19 2- Contextualisation du projet 20 3- Processus

3 4 5 •1/Gérard OUVRIER-BUFFET Directeur Général •2/Franck BERTRAND Directeur Général Adjoint •3/Jean COLIN Directeur Communication •4/Pierre Henri DERESSE Directeur Ressources Humaines et Moyens •5/Jean-Charles LEYRIS Directeur Crédits Bancaire et Assurances •6/Michel MONTAGNE Directeur Commercial •7/ Marc PEIFFER Directeur Entreprises et Patrimoine •8/Gilles TORRILLON Directeur Général du Groupe COFAM •9/Pierre VALLAYER Directeur Financier et Risques. 6 7 8 9 RAPPORT D’ACTIVITÉ