Devoirs Réciproques Des époux

qu'il y ait justae nuptiae, il fallait d'une part le consentement des parties intéressées, et d'autre part posséder la capacité de contracter un mariage ou « conubium ». Pour obtenir cette "capacité de contracter un mariage", il fallait que les deux époux soient citoyens romains, issus de classes sociales déterminées et qu'ils ait atteint l'âge nubile de douze ans pour les filles et quatorze ans pour les garçons. En l'absence de conubium, on se trouvait en présence d'un matrimonium non legitimum qui

l’environnement) B/ les droits familiaux Lier a la notion de famille, certains droits concernent les relations entre les epoux, il s’agit d’ailleurs de droits et de devoirs réciproques. Ces droits et devoirs sont prévu par le code civil (chaque epoux droit au respect a la fidélité et a l’assistance de son conjoint art 212). Il faut tenir compte des droits et des devoirs lié a la notion d’autorité parentale. L’autorité parentale permet aux parents de prendre un certain nombre de décision concernant

l’œuvre sont relativement similaires et placent les deux femmes au statut de puissante séductrice. Par ailleurs, ce qui semble être commun à Calypso et Circée est leur sens irréprochable de l’hospitalité. Valeur fondamentale et considérée comme un devoir religieux dans la Grèce Antique, les deux femmes apparaissent comme des hôtes impeccables et parfaites. Calypso accueille Ulysse après un terrible naufrage dans lequel il aurait perdu tous ses camarades. Elle le nourrit largement, lui offre de beaux

l'amélioration du droit par le biais de ces réformes. loi du 13 juillet 1965: on touche aux droits de la famille en posant une règle nouvelle en matière de régime matrimoniaux. Le régime matrimonial c'est les règles financières qui existent entre les époux. Loi du 4 juin 1970: revient véritablement sur une tradition française et un terme qui va disparaître du code c'est la puissance paternelle. « Le père était le chef de famille avec tout ce que cela implique notamment par rapport à la possibilité de

autoriser le devoir conjugal lorsque la femme est enceinte, et jusqu’à quel mois ? est une question abordée dans tous les ouvrages traitant de près ou de loin des péchés que l’on peut commettre en mariage. La réponse est positive, à condition que la grossesse ne soit pas trop avancée, car le coït risquerait de provoquer une « blessure », c’est-à-dire un avortement. La correspondance échangée entre un pieux gentilhomme dauphinois et sa femme au XVIe siècle montre que ni les époux ni leur entourage

loi. On le verra dans le divorce qui est un exemple de l'évolution des mœurs. La fidélité entre époux, c'est comme le mot conjoint, ce sont des personnes mariées, les concubins sont des couples sans être mariés, le PACS (pacte civil de solidarité), on appelle des partenaires donc ils ont conclu un contrat civil de solidarité. Exemple de l'évolution des mœurs, pendant longtemps la fidélité est un devoir du mariage & l'infidélité était une infraction pénale inscrite dans le code pénal qui peut donner

lien qui unis un époux à son conjoint mais il existe également un lien d'alliance entre un époux et les parents de son conjoint. Ligne direct et ligne collatérale: en ligne direct il y a un lien d'alliance entre chaque époux et la mère et le père de son conjoint. Il y a également un lien d'alliance entre son époux et les enfants que son conjoint a eu lors d'un précédent mariage (les beaux enfants et le parâtre ou marâtre). En ligne collatérale il y a un lien d'alliance entre un époux et les frères

d’une extrême importance pour la suite du roman. Ce n’est pas une péripétie extérieure qui la cause, elle est l’aboutissement logique du caractère passionné de M. de Clèves. Le texte est le récit pathétique d’une dernière entrevue entre les deux époux, et porte également la marque de la tragédie d’une séparation. I. Un récit pathétique Le texte relate les circonstances de la dernière entrevue entre M. de Clèves et sa femme. L’évocation de souffrances poignantes provoque la compassion : M.

personnel, à celui qui se trouve obligé. Autre distinction : entre situation et relations. Les engagements qui résultent de l’autorité seule de la loi sont nés d’une situation (rapports entre voisins). On ne choisit pas son voisin mais obligations réciproques, comme éviter de faire du bruit, ne pas causer d’incendie). La loi vient leur die à chacun ce qu’ils doivent faire vis à vis de l’autre. Au contraire, une relation nait toujours d’un choix, d’un comportement librement choisit envers autrui. On entre

un lien entre le couple mais au-delà, il crée un lien d’alliance entre chaque époux et la famille de son conjoint. C’est un lien qui est en principe purement juridique et non biologique. L’alliance existe en ligne directe et en ligne collatérale. L’alliance en ligne directe relie chaque époux aux parents de l’autre et aux enfants de l’autre éventuellement. Une alliance qui existe en ligne collatérale unie chaque époux aux frères et sœurs de l’autre. On calcule les degrés de la même manière que