Dialectique du maître et de l'esclave

fonde ? Par là même ne me fixe-t-il pas, ne me fige-t-il pas ? Où demeure ma liberté si ma connaissance passe essentiellement pour la différentielle d’un rapport qui viserait à aboutir au moi comme résultat d’un processus ordonné découlant d’un jeu dialectique, jeu entre le spontané et le réfléchi, entre le moi et l’Autre ? Suis-je donc bien le mieux placé pour me connaître moi-même ? pour savoir ce que je suis ?    Le devoir d’auto-connaissance La question se présente apparemment sous une forme anodine

grand point appuie théorique: Hegel: dialecthique maître/esclave= phénoménologie de l'esprit le désir de l'objet (la reconnaissance en soi) est au début du processus dialectique... le sujet qui vit en société rencontre des désirs concurrents, exclusif a des fins d'écraser les autres ctd nié le reconnaissance de l'esclave.(des autres sujets) relation forme social de reconnaissance qui dépasse les individus qui sont pris dans cette dialectique. Identité produit par un système de reconnaissance

ontologique (ontologie : le discours rationnel qui se rapporte à une sorte d’être). L’Homme ne peut faire autrement que de produire des objets techniques, de dominer et contrôler la nature. Descartes : La technique permet à l’Homme de se rendre comme maître et possesseur de la nature. * Par ce que l’Homme n’est pas créateur, Dieu, il ne peut que faire comme si … Descartes : Il faut être géniale (malin, rusé) pour arriver à faire des choses que la nature ne nous permet pas de faire initialement

la préservation personnelle le fondement et la motivation de son rejet de la théologie. Kant, « le Chinois de Königsberg » avec ses impératifs catégoriques, retomberait, quant à lui, dans les préjugés d'un vieux moraliste, dont les connaissances dialectiques ne seraient que simple nuage de fumée. Sa faculté à expliquer l'occurrence des jugements par a priori synthétique est comparable au développement quant à la qualité narcotique de l'opium dans la faculté du sommeil que l'on trouve dans la pièce

devient un barbare, un sauvage, l’ennemi à abattre. Stigmatisation de l’autre, de l’espace, de la culture. Dans la rencontre des cultures il faut prendre en compte une variable importante : culture dominante/culture dominée ; la dialectique du maître et de l’esclave. Prendre aussi en considération le poids de l’histoire. L’interculturel par rapport à la clinique de la postmodernité. L’homme postmoderne d’aujourd’hui souffre de la solitude. Autre pathologie de la postmodernité « les cybers dépendances »

au sentiment d’être une chose vivante anonyme. Dans la genèse que raconte La Phénoménologie de l’Esprit, le moment suivant est celui où deux consciences de soi s’affrontent pour gagner la reconnaissance de l’autre. C’est la fameuse dialectique du maître et de l’esclave (pages les plus célèbres de La Phénoménologie) qui représente pour Hegel le fondement du lien social. Le besoin de reconnaissance est donc vital pour l’être humain. On comprend mieux le lien que font aisément les psychologues entre

est celui qui est comme moi, semblable à moi. Le différent ne peut pas être comme moi, puisqu’il est l’autre différent. L’ami, qui ne peut pas être un rival, un jaloux ou un tyran, doit développer une forme d’égalité. Toute idée de dialectique du maître & de l’esclave doit être écartée. Le rapport que j’entretiens avec mon ami est platonique et pacifié. d) La dernière difficulté est le problème du regard tel qu’il est posé par Sartre. [ à ce propos lorsque vous mettez en place une citation, il

nécessaire. Comme le montre Hegel, le stoïcien est, au fond, l'esclave qui se libère du maître en le niant et, avec lui, le monde extérieur. Épictète n'est-il pas lui-même un ancien esclave, disgracieux et boiteux, qui a trouvé dans la philosophie la libération véritable et le moyen de rivaliser avec les dieux? En même temps ne dévoile-t-il pas au maître le secret de la liberté qui consiste à se dominer soi-même, au lieu de dominer l'esclave ? Mais cette synthèse, souligne Hegel, reste abstraite : elle

destabilisante et effrayante, alors que l’on voit le médecin géné, et pas très rassuré. Au fil de la pièce on découvre l’autre face du médecin qui lui remémore des moments blessants et indicibles, et la femme perplexe et soucieuse. La dialectique du maître et de l’esclave d’Hegel se concrétise parfaitement avec cette mise en scène. Comment donc retranscrire, dans une mise en scène et dans le jeu des comédiens, les tortures psychologiques subit par les bourreaux et les victimes, avant et après 1945

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin