Dialogue Des Juges

les salaires, primes, congés, discrimination, formation, etc) ; - lors de la rupture du contrat (licenciement, indemnisation, clause de non-concurrence, durée légale du préavis de départ, etc). Souces: 1. http://travail-emploi.gouv.fr/espaces,770/dialogue-social,2173/dossiers,2178/relations-professionnelles,308/les-conseils-de-prud-hommes,157/c-est-quoi,158/qui-sont-les-conseillers-prud,1539.html 2. http://www.justice.gouv.fr/organisation-de-la-justice-10031/lordre-judiciaire-10033/conseil-de-prudhommes-12033

est celui du questionnement sur le sens à accorder au récit. _ La fable est un récit bref à caractère moral et visée argumentative. Sa structure est simple, elle comprend souvent deux ou trois personnages qui incarnent chacun un point de vue. Le dialogue, fréquent, permet d’animer le débat et facilite la démonstration. Exemple : Au XVIIème siècle, les fables de La Fontaine avaient pour destinataire officiel un enfant, le Dauphin, qu’il s’agissait d’instruire de manière plaisante. _ Le conte philosophique

s’identifier à la Belle et d’éprouver de la compassion pour le monstre. --> Utilisation du dialogue -> Le lecteur est témoin du dialogue -> Langage châtié surprenant chez la Bête, aristocratique --> Éléments du merveilleux -> Antithèse : Bête/comportement II- Et aussi didactique --> Recours à la forme de dialogue -> Facilite la réflexion -> Présent de vérité général, le dialogue tourne autour de l’antithèse apparence/réalité --> Antithèse Belle/Bête : [la Bête] « elle

chapelet de bondieuseries ont fini par lui valoir, de la part d’un peuple mi-amusé, mi-courroucé, l’épithète de “truand”. Et où il aura fallu l’innocence massacrée par la brute pour que le juge soit mis au pilori médiatique du prince. Un singulier dialogue eut alors lieu aux marches du palais. - Le juge, s’adressant au prince : Nous sommes comme des enfants battus depuis des lustres à qui leur père reprocherait l’état pitoyable de la maison... Pourquoi tant de cynisme ? Qu’avezvous donc à y gagner

Les Caprices de Marianne, Acte I, scène 3 (à compléter par des citations du texte) I- Une scène de comédie: « un dialogue de sourds » a- Une conversation absurde qui revient comme par enchantement à son point de départ : la vertu de Marianne ⇒ les sérénades ⇒ l’art du chant ⇒ les artistes ⇒ le salaire des juges ⇒ la beauté des sentences de mort ⇒ le greffier et sa femme ⇒ le spadassin ⇒ la vertu de Marianne. …...............................................................................

sénéchaux, chargés de rendre et de contrôler la justice, sont créés par Philippe Auguste en 1190. Néanmoins, le roi ne possède ni les moyens ni l’autorité politique pour contrôler l’ensemble des décisions judiciaires rendues en première instance : les juges féodaux, exerçant dans le cadre de la seigneurie, continuent de rendre la plupart des décisions. Les officiers royaux possèdent simplement la faculté d’infirmer ces jugements, par le développement de l’appel. Intro cours : Au Moyen Age, la justice

défend face à ses accusateurs. Une fois reconnu coupable – par une faible majorité cependant – il avance un discours à travers lequel il propose la peine la plus juste qu’il estime devoir recevoir. Enfin, il se prononce une dernière fois devant les juges, une fois sa sentence arrêtée : Socrate est condamné à mort. Socrate débute son plaidoyer en s’adressant directement aux nombreux citoyens d’Athènes présents au procès. En les apostrophant, il s’assure d’obtenir pleinement leur attention : « Comment

en aucun cas un discoureur qui maîtrise parfaitement la rhétorique, au contraire son art, la maïeutique permet à l'interlocuteur de découvrir par lui-même une vérité qu'il portait en lui. Socrate ne souhaite rendre compte que de la vérité, par le dialogue et non en prononçant un discours car ils accusent nettement les Sophistes de «manipuler» les Athéniens en faisant recours aux émotions, en maniant les mots de sorte qu'ils deviennent plaisants ou qu'il fassent écho à une mémoire collective : ils

condamnés, propose pour sa conduite passée... d'être nourri au prytanée (honneur suprême ! ) pour le restant de ses jours. Cette réponse (Platon) apparut comme un outrage aux juges et la condamnation à mort de Socrate fut votée avec 80 voix de plus que ne l'avait été sa culpabilité. Socrate dit alors un dernier adieu à ses juges en leur promettant un châtiment beaucoup plus pénible : celui de voir croître ses disciples (le récit de ce procès se trouve dans l'Apologie de Socrate de Platon). Enfermé

Conseil de prud'hommes a accueilli sa demande et prononcé la nullité du licenciement. L’employeur a interjeté appel. Devant la Cour d’appel, Madame Meraly a demandé sa réintégration. → Les thèses en présence La Cour d’appel examine la décision des juges de première instance et les arguments de l’appelant, en l’occurrence l’employeur. La Cour d’appel ne précise pas formellement de qui proviennent les arguments qu’elle utilise dans son raisonnement. On peut cependant supposer que le Conseil de prud’hommes