Diaspora palestinienne

wrqwerqwerqwdqwed NT Etat de Palestine à l'ONU: Obama refuse un «raccourci illusoire» Par AFP le 22.09.2011 à 06:48 Barack Obama a refusé l'adhésion d'un État palestinien à l'ONU, puisque selon lui «il n'existe pas de raccourci vers la fin d'un conflit». Les Palestiniens se disent prêts étudier des alternatives. Les Palestiniens se sont dits mercredi prêts à attendre que le Conseil de sécurité de l’ONU statue sur la demande d’adhésion d’un Etat de Palestine - récusée par Barack Obama comme

Moyen-Orient. Ce terrorisme révolutionnaire, on le voit apparaitre au Moyen-Orient dans les années 60. Et dès 68, lorsque les organisations palestiniennes luttent contre Israël. On a énormément de détournement d’avions, de prises d’otages. Ce terrorisme Palestinien va se poursuivre avec les attentats commandités par Yasser Arafat. On estime que les groupes palestiniens sont responsables de 150 opérations à l’étranger entre 1968 et 1975. Certains étaient appuyés par la Syrie : attentat de la rue des rosiers

argumentaire politique. Les questions palestinienne et kosovare sont toutes les deux sur l’agenda des Nations unies. Dans les deux cas, il y a eu des négociations entre les parties concernées avec la médiation, soit de l’ONU, soit d’Etats tiers. Les coïncidences, toutefois, s’arrêtent là. L’Assemblée générale avait déjà approuvé en 1947 une résolution envisageant un Etat juif et un Etat arabe en Palestine. Depuis des décennies, l’ONU reconnaît le droit du peuple palestinien à l’autodétermination à l’intérieur

IV. Thèmes du roman 1. Une amitié impossible ? Le thème principal abordé dans le roman est celui d’une jeunesse désorientée par le contexte politique en Israël et en Palestine. Naïm, le Palestinien, et Tal, l’Israélienne, sont tous deux conscients d’appartenir malgré eux à deux camps différents. L’irrégularité des réponses de Naïm au début de leur correspondance laisse penser qu’il hésite à entamer un échange avec une Israélienne. Conscient de la situation à Gaza, Naïm doit prendre des précautions

du Golfe a montré que les Etats-Unis se considèrent comme les gendarmes du Monde. La guerre du Golfe permet d’envisager une solution aux problèmes palestiniens. Le président américain Bill Clinton parvient à un accord de paix en 1993 entre Arafat (Palestine) et Rabin (Israël). Ses accords d’Oslo prévoient des territoires autonomes pour les palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. C) La multiplication des conflits locaux Le monde issue de la Guerre Froide est en faite imprévisible

frontière avec la Transjordanie.) Les frontières dessinées par les puissances mandataires sont reconnues. Les membres sont les Etats indépendants de l’époque : Egypte, Syrie, Liban, Irak, Transjordanie, Arabie Saoudite, Yémen, + des représentants palestiniens en tant qu’observateurs. Un certain nombre de pays acceptent sa création en espérant qu’elle évoluera vers une fédération. Mais ça ne sera pas le cas, car certains Etats revendiquent le maintien des frontières issues des mandats (ex. Liban, politiquement

leur capitale, alors que Tel Aviv est la capitale économique et diplomatique de l’Etat d’Israël. 2. Le problème du contrôle de Jérusalem dans le cadre du conflit israélo-palestinien • La situation de la vieille ville de Jérusalem ne peut se comprendre en dehors du contexte de tensions israélo-arabes et israélo-palestiniennes. La sacralisation de la ville et des lieux saints a entraîné au cours de l’histoire - et surtout à partir de la période où ces groupes ont aspiré à devenir des nations -

Drame Réalisateur : Hany Abu Assad Durée : 87 minutes Acteurs principaux : * Hiam Abbass * Lubna Azabal * Hiam Abass * Kais Nashef, * Ali Suliman Date de sortie : Mercredi 07 Septembre 2005 Ce film sur les attentat-suicides palestiniens a remporté trois récompenses au Festival de Berlin en 2005 : le prix Amnesty International, le Prix du Meilleur Film Européen et le prix du Public. Producteur Bero Beyer Coproducteur Amir Harel / Gerhard Meixner / Roman Paul

Gaza (parfois appelée en anglais Gaza City pour la distinguer de la bande de Gaza qui désigne la région dans son ensemble) est la ville principale de la bande de Gaza. Après avoir été mise sous l'autorité civile de l'Autorité palestinienne dès l'application des accords de Jéricho et Gaza de 1994 avec Israël, elle est depuis juin 2007 la ville la plus importante sous l'autorité du mouvement islamiste Hamas. Le nom "Gaza", découle de la racine Cananéenne/Hébreu du mot "fort", à travers le nom hébreu

guerre avec le plus puissant des Etats arabes lui permettait d’apparaître aux yeux du monde comme un homme de paix (récompensé du prix Nobel en 1978), d’assurer durablement la sécurité du pays et de concentrer tous ses efforts sur les territoires palestiniens (Jérusalem, la Cisjordanie et Gaza), sur lesquels il voulait absolument étendre son contrôle — d’où le lancement d’un vaste plan de colonisation de ceux-ci. La rhétorique de l’Holocauste Malgré les comparaisons dressées entre Yasser Arafat et