Dictée Le Chat Et Le Miroir

l’ambulance. Je devais pourtant m’assurer que l’homme ne se réveille pas en cours de route. Je lui vidai les poches et lui brisai le nez contre le sol, question qu'il ne se réveille pas de ci-tôt. Je pratiquai un instant mon absence de sourire dans le miroir avec cette unique photo neutre comme point de référence afin de bien duper les douaniers. J’appelai anonymement le service d’urgence et me rendit au comptoir d’achat de billets. Tout était en ordre, je m’étais organisé pour que l’homme me ressemble

l’humanité. En initiant enfants, grâce à des livres qui ne trichent le rapport à la littérature, les premiers livres ni avec les formes d’oppression ni avec les ont mieux à faire qu’à édifier des autels pour formes de solidarité. Qui tient le miroir ? Ceux célébrer des édens : ils ont d’immenses chantiers qui prétendent libérer les femmes ? Quelles à ouvrir dont celui de la coexistence égalitaire femmes ? « Les femmes sont fortes quand des individus. Ils ont des utopies à penser, des elles

marécageuse Gent fort sotte et fort paresseuse, S’alla cacher sous les eaux Dans les joncs, dans les roseaux Dans les trous du marécage • La nature riante et odorante : le chat la belette et le petit lapin : Le maître était absent (…) (…) il était allé faire à l’Aurore sa cour Parmi le thym et la rosée. • Thème de la nature présent aussi dans la méditation, l’aspiration

en 192LI Breton avait defini Ie surrealisme comme suit: Surrealisme t n. m. automatisme psychique pur par 1eque1 on se propose d'exprimer g soit verbalement t soit par ecrit t soit de toute autre maniere Ie fonctionnement reel de 1a pensee. Dictee de 1a pensee en l'absence de tout contrale exerce par 1a raison, en dehors de toute preoccupation esthetique ou morale. 4 4 On atteint 1a fa<;on ideale'de penser en liberant l'imagination de toutes contraintes i Ie moyen principal etant

allitérations qui sautent aux yeux dans l’œuvre de Toussaint : le narrateur a une « souplesse de sauterelle »37, fréquente le « Docteur Douvres »38, décrit la « faîte plus foncé du fanal »39 et dit au « petit Pierre » : « T'es tout petit toi »40. « Miroirs muraux », « faisait face », « prendre place »41 se rassemblent dans un même paragraphe. Quelques dizaines de pages plus loin, on trouve des « petits pieds chaussés de grosses godasses »42, des rimes, telles que : « l'issue comme rassurante de ce moment

de l’aveu des puissants n’est pas prise au sérieux. Le fabuliste se livre ici à une condamnation féroce des injustices sociales et nous livre une vision très sombre de la condition humaine. Fiche de synthèse n*2 Le Chat, la Belette et le petit Lapin Le récit est centré sur une querelle à propos du droit de propriété. Il est question de règlement d’un litige entre deux plaignants. Le texte évolue vers l’idée que la justice est parfois inadaptée voir inique (injuste)

avait deux femmes assises derrière le comptoir : la jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe. Un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir, la regardait dormir. Plus bas, assis sur une chaise, un homme d’une trentaine d’années lisait ou causait à demi-voix avec la jeune femme. Il était petit, chétif, d’allure languissante ; les cheveux d’un blond

avait deux femmes assises derrière le comptoir : la jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe. Un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir, la regardait dormir. Plus bas, assis sur une chaise, un homme d’une trentaine d’années lisait ou causait à demi-voix avec la jeune femme. Il était petit, chétif, d’allure languissante ; les cheveux d’un blond

avait deux femmes assises derrière le comptoir : la jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe. Un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir, la regardait dormir. Plus bas, assis sur une chaise, un homme d’une trentaine d’années lisait ou causait à demi-voix avec la jeune femme. Il était petit, chétif, d’allure languissante ; les cheveux d’un

. . . . . . . . . . 71 B. Préambule. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Partie A. Messageries instantanées et "chat". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 72 2. Le "chat". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 3. Logiciels de messagerie instantanée (ou pager). . . . . . . . . . . . . . . . .