Dieu

mais bien pour suivre ce qu’elle croit être dit dans le livre sacrée. Certains ont la foi et ne font pas part aux autres de leur appartenance, alors que d’autres pratiquants portent des signes beaucoup plus visible pour suivre les recommandations de Dieu. Si on reprend la question du voile, par exemple, plusieurs diront que c’est un signe d’oppression des femmes , alors que la plupart le font de leur gré. Si la religion lève autant de débat, c’est parce que l’Homme refuse de s’adapter aux changements

- Mathias Krook : Apollon ; - Eisengott : Zeus (seul dieu à être devenu "homme" de son plein gré; il conserve sa mémoire et son pouvoir tout le temps) ;

l’ensemble de pratiques constituant le rapport de l'homme avec la divinité. A la suite de cette brève définition nous pouvons nous poser les questions suivantes : La religion est-elle nécessaire à l'homme ? L'homme pourrait-il s'en passer ? Croire en Dieu est-il un besoin fondamental, c'est-à-dire à une nécessité existentielle ? La notion de religion désigne l'ensemble des rites et croyances associés à une notion de divinité ou de réalité transcendante. Nous verrons dans un premier moment que pour

seconde strophe : « tu te fends la poire » vs « je broie du noir », « ça tient chaud » vs « j’ai froid ». Allusion aux origines du jazz  Dans la première strophe. Jazz = musique des esclaves qui chantaient pour garder espoir, grâce à leur foi en Dieu (« chanter l’espoir », « là-haut », « les anges »). Dans le reste du texte : « ma foi », « alléluia ». Un seul monde pour tous Strophe 3. Idée que la vie est difficile (« pas très marrant »), « qu’on l’écrive blanc sur noir ou bien noir sur blanc

Voltaire, Le songe de Platon, 1756 SONGE DE PLATON Dans ce conte, Voltaire imagine que Démiourgos, le dieu créateur, a chargé ses aides de créer et d'organiser les planètes. L'un d'eux, Démogorgon, a reçu la terre en partage. Démogorgon eut en partage le morceau de boue qu'on appelle la terre et, l'ayant arrangé de la manière qu'on le voit aujourd'hui, il prétendait avoir fait un chef-d'oeuvre. Il pensait avoir subjugué l'envie, et attendait des éloges même de ses confrères ; il fut bien

maturité où l'auteur écrit ses œuvres les plus abouties : L'Éternel Mari (1870), Les Démons (1871) et Les Frères Karamazov (1880). Ses romans sont parfois qualifiés de « métaphysiques » tant la question angoissée du libre arbitre et de l'existence de Dieu est au cœur de la réflexion de Dostoïevski tout comme la figure du Christ. Cependant ses œuvres ne sont pas des « romans à thèse », mais des romans où s'opposent de façon dialectique des points de vue différents avec des personnages qui se construisent

relate les aventures d’un libertin. En effet, le héros de cette pièce de théâtre, Dom Juan, n’accepte aucune règle exceptée les siennes. Arrivée de la fin de la pièce et le moment où par l’intermédiaire de la statue il livre son dernier combat contre Dieu. Conclu : Les scènes finales de cette œuvre montrent à quel point Dom Juan était libertin : le refus de se repentir ainsi que l’essai de vaincre la justice divine en sont les preuves. Dans ces deux scènes, Dom Juan a donc poussé la logique du défi

tant sur le plan dramatique que sur le plan morale? Scene 5 => Intervention divine pour tenter de ramener Dom Juan dans le droit chemin. I/ Les interventions du fantastique (ou plutôt du merveilleux): C'est un déroulement « deus exe machina » (Dieu qui sort la machine). Il y a une référence à l'antiquité entre l'intervention du spectre et celle de la statue. De plus, le dénouement semble invraisemblable. 1/ Le spectre: La forme => C'est une femme voilée (rappel de Done Elvire à l'acte

lexical, par reprise de termes évoquant la guerre (" cette entreprise infernale "). Ce paragraphe fait apparaître une idée nouvelle, qui est l'association guerre/religion et la mise en question d'une justification religieuse. L'invocation du nom de Dieu comme caution des massacres est ici violemment dénoncée sur un ton extrêmement ironique (décalage entre les termes désinvoltes, légers ou admiratifs et l'horreur évoquée). L'allusion aux cérémonies de Te Deum se fait par l'allusion aux chants (très

un homme : « [je] serai pour ce frêle athlète de la vie, l’huile qui raffermit les muscles ». Ce précieux liquide semble détenir des pouvoirs. D'ailleurs, à la dernière strophe, on apprend que son lien de parenté n'est autre que le nom de Dieu vient au dernier vers de ce poème, ce qui renforce la dimension sacrée. En donnant un caractère divin au vin, Baudelaire semble dire que celui-ci est un vecteur commun à tous les buveurs, qui leur donnera peut-être l'inspiration nécessaire pour être