Diff

algorithme de clustering et expliquez les liens avec e e les diff´rentes inerties. e 2. On dispose des donn´es suivantes dans R2 : e Indiv. x1 x2 x3 x4 x5 x6 x7 Coord. (1, 1) (1, 3) (4, 1) (4, 6) (5, 7) (8, 4) (11, 5) (a) Dessinez dans le plan les 7 observations dont les coordon´es sont ci-dessus. e (b) Construisez le dendogramme associ´ ` la m´thode CAH avec la strat´gie d’agr´ea e e e gation du lien maximum. 3. Expliquez les principales diff´rences entre la m´thode des k-means et l’algorithme e e EM

son langage dramatique. Prenant au mot Marmontel qui reproche à Marivaux (qu’il n’aimait pas) de faire prévaloir le mot sur la chose, Deloff re recense méthodiquement tous les phénomènes de reprise des mots du protagoniste en distinguant les diff érentes confi gurations grammaticales : soit que le mot est repris à l’identique, soit qu’il est repris par dérivation d’une autre catégorie, soit qu’il est repris par antithèse, etc. Bref, un tel examen délivre une leçon indiscutablement précieuse

Mod´lisation e Syst`mes BO, BF e 1. Syst`mes, syst`mes de commande en BO, BF e e 2. Structure 3. Performances (stabilit´, pr´cision, rapidit´) e e e 2.2 Repr´sentation math´matique e e 1. Equations diff´rentielles e 2. Fonction de transfert 3. Equations d’´tat e 4. Relation entre les diff´rents mod`les e e 5. Exemple simple 2.3 Classification des syst`mes lin´aires e e 1. Les r´ponses : temporelles, Bode, Nyquist, Black e 2. Syst`mes du 1er ordre (dont int´gration & retard pur) e e 3

visuelle a. Spécialisation aires visuelles Le cortex visuel est organisé en diff zones appelées aires visuelles, chacune traitant un aspect de l'info visuelle (forme, couleur, mouvement). Le cerveau construit alors l'image finale en intégrant le traitement réalisé par les diff aires. On parle de perception visuelle intégrée. Cette perception est perso (le traitement d'une même image peut conduire à une interprétation diff selon les individus). b. Coopération aires visuelles Les aires visuelles

qualité, inaccessible, rêve, prestige, qualité, rareté, Présence insuffisante des marques de luxe sur les médias sociaux Facebook plus utilisé Moins utilisé : flickr, photos La diff luxe et autres marques : inaccessibilité, restreint, augmenter leur notoriété, vend du rêve, médias sociaux -> accessible à tout le monde diff marques de luxe -> restreint. Pres de la moitié partage leur marque préférée maj sous like et avis Perception des marques de luxe sur les médias sociaux: c’est une stratégie

matrice Il est clair que si B = P −1 AP alors pour tout k ∈ IN, on a B k = P −1 Ak P , de sorte que le calcul de Ak est d´duit de celui de B k . e 24 ´ CHAPITRE 6. REDUCTION DES ENDOMORPHISMES 6.6.2 Syst`mes diff´rentiels e e Soit le syst`me de n ´quations diff´rentielles lin´aires du premier ordre, ` coefficients constants, e e e e a suivant 8 > dx1 > = a11 x1 + · · · + a1n xn + ϕ1 (t) > > dt > dx > 2 < = a21 x1 + · · · + a2n xn + ϕ2 (t) dt (S) . . . > . . . . > . . . . > . > > dxn

performance des portefeuilles sur celle de l’indice de e march´ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 41 Chapitre 6 : Analyse de la dynamique sectorielle dans la rentabilit´ e des portefeuilles 43 44 45 50 52 Les diff´rents indices de la BRVM e 53 53 54 54 55 55 55 55 56 56 56 6.1 6.2 La m´thode . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e R´sultats et analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e Conclusion Chapitre

t (2 + x1 + x2 )2 2 t (4 − x1 − x2 )2 2 Π∗ augmente avec x1 et Π∗ diminue avec x2 1 2 Les firmes sont donc tenter de se rapprocher l’une de l’autre au centre du march´ : tendance ` l’agglom´ration e a e C’est ce que l’on appelle le principe de diff´rentiation minimale e Firme 1 Firme 2 2.2 Hotelling : localisations int´rieures et ´quilibre e e ∗ ∗ Les prix p1 et p2 forment-ils un ´quilibre de Nash du sous jeu e en prix induit par les localisations x1 et x2 ? D`s que x2 < 1 la firme 2 poss`de

5 R´esolution d’Equations Diff´erentielles Ordinaires. . . . . . . . . . 58 3.5.1 La fonction ode de SCILAB. . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 3.5.2 M´ethode d’Euler (explicite). . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 3.6 R´esolution d’EDP : Calcul approch´e de d´eriv´ees et diff´erences finies. 60 3.6.1 Calcul approch´ee de d´eriv´ees de fonctions d’une variable. . 60 3.6.2 La m´ethode des diff´erences finies en dimension 1. . . . . . 62 3.6.3 La m´ethode des diff´erences finies en dimension

molécules (translation mais aussi rotation et vibration dans le cas des molécules). 2. La loi de Fourier La loi de Fourier qui rend compte de ce phénomène est de nature phénoménologique et s’énonce ainsi : Le vecteur densité de chaleur est égal à : J diff = "! .gradT λ est appelé la conductivité thermique du milieu et s’exprime en W m-1 K-1 sa valeur peut varier beaucoup (voir 4.). Remarques : • Le signe – indique que les transferts thermiques tendent à uniformiser la température du milieu, et se font