Diff

d’œuvre 160 000 128 000 224 000 CF : charge de structure 90 000 90 000 90 000 Période 1 Période 2 Période 3 Activité réelle 500 400 700 Activité normale 500 Coefficient de l’IR* 1,00 0,80 1,40 Coût réel Coût de l’IR Diff Coût réel Coût de l’IR Diff Coût réel Coût de l’IR Diff Charge variable 260 000 260 000 208 000 208 000 364 000 364 000 Charge Fixe 90 000 90 000 0 90 000 72 000 -18 000 mali 90 000 126 000 +36 000 boni Ct production total 350 000 350 000 298 000 28 000 454 000 490 000

room » ou tout sera enregistré et noté sans contact avec l’ext. 1 observateur. 6 particip. Pendant + de 2 ans. Libres et bien traitées les rendements vont ne faire qu’augmenter. 15sem:salaire collectif->salaire d’équipe, rdmt aug(2500relais/sem) 24sem : Diff syst de pauses ! meilleur premier servi -> rdmt aug 32sem : Pas de travail le samedi matin-> rdmt aug(2800r/s) Les indivs réagissent et ressentent les conditions de leur envrnmt. Et celà dpd des Normes et du climat du groupe (+ degré d’appartenance

5 2.6 2.7 2.8 2.9 2.10 2.11 3.1 3.2 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 4.7 4.8 Communication par envoi de messages . Communication avec file de messages . Le mod` le par abonnement . . . . . . . e Le mod` le ev´ nementiel . . . . . . . . e ´ e Interaction des diff´ rents mod` les . . . e e Architecture centralis´ e . . . . . . . . . e Architecture partiellement maill´ e . . . e Architecture de type Bus . . . . . . . . Architecture de JEDI. . . . . . . . . . . Mod` le de donn´ e de SIENA. . . . . . e e Exemple

0,6 % en valeur par rapport à 2009 (soit - 0,1 % à prix constants). RÉSULTATS DU MOIS DE DÉCEMBRE 2010 EN VALEUR VARIATION DE CHIFFRE D'AFFAIRES SUR DÉCEMBRE 09 (En %, à surf. comparable) INDÉPENDANTS MULTIMARQUES CHAÎNES SPÉCIALISÉES CHAÎNES GDE DIFF. GRANDS MAGASINS MAGASINS POPULAIRES V.A.D. (*) HYPERSSUPERS TOTAL PRET-A-PORTER HOMME PETITES PIÈCES HOMME SOUS-VÊTEMENTS & CHAUSSANTS HOMME PRET-A-PORTER FEMME PETITES PIÈCES FEMME LINGERIE ET CHAUSSANTS FEMME HABILLEMENT ENFANT TOTAL ARTICLES HABILLEMENT

fondements th´oriques de la viabilit´ et le e e e formalisme qu’il est possible d’utiliser pour caract´riser la fa¸on dont les syst`mes adape c e tatifs ´tudi´s r´gulent et contrˆlent leur ´volution afin de rester viables. Nous proposons e e e o e ainsi diff´rentes conceptions de contrˆle permettant d’assurer la survie de tels r´seaux et e o e explicitons le cadre s´mantique dans lequel ils se situent (notamment, ´volution lente ou e e lourde). En particulier, la viabilit´ peut recouvrir la notion de r´solution

sommets u et v, il est ais´ d’obtenir une chaˆ ´l´mentaire ıne e ıne e e Jf Culus Th´orie des graphes. IUT Blagnac. 2004/2005. e Page: 3 reliant ses deux sommets: on d´finit l’op´ration suivante, dite de concat´nation: soit x un sommet (diff´rent de u et e e e e v) intervenant plus d’une fois dans la chaˆ µ. On note ei la premi`re arˆte de µ ayant le sommet x pour extr´mit´, ıne e e e e et ej la derni`re arˆte de la chaˆ µ ayant x pour extr´mit´. Alors, la chaˆ µ′ = (e1 , e2 , ..., ei−1

Int駻ieur Brut est la valeur au prix du march des biens ou services produits par des unit駸 r駸identes et disponibles pour des emplois finals. C'est le principal agr馮at de la ComptabilitNationale. On l'obtient en faisant la somme des valeurs ajout馥s des diff駻ents secteurs institutionnels. Le terme de richesse quant lui, fut d馭init tout d'abord comme ｫ biens 馗onomiques ｻ, c'est-dire, tout ce qui est issus de l'activitde production. Aujourd'hui sa d馭inition est plus large, dans le cadre 馗onomique, nous pouvons

Marketing) Dur•e : 3 heures Partie I : Questions (8 points) D€finissez les concepts suivants et illustrez ou donnez un exemple pour chacun d’entre eux. CONCEPT DEFINITION EXEMPLE Diff€renciation La compagnie a€rienne ƒ Jet you „ de Mise en €vidence de diff€rences destin€es • 4 Royal se diff€rencieen la ƒ Air Maroc „ distinguer l’offre d’une entreprise de celle de proposant des prix bien ses concurrents. plus bas et un service minime • bord de l’avion. Marketing mix Segmentation

144 Pr´sentation des variables les plus utilis´es . . . . . . . . . . . 144 e e 3.2.1 3.2.2 Variables d´pendantes : les activit´s des enfants . . . . 144 e e Variables explicatives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148 3.3 Participation aux diff´rentes activit´s . . . . . . . . . . . . . . 152 e e 3.3.1 3.3.2 3.3.3 3.3.4 3.3.5 3.3.6 Taux de participation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152 Nature des tˆches effectu´es . . . . . . . . . . . . . . . 153 a e Raisons invoqu´es pour la non-scolarisation

situant la question au niveau de l’autonomie des individus, que l’on appelle agents, et des interactions qui les lient, les syst`emes multi-agents soul`event de nombreuses questions. Quels sont en effet les concepts fondateurs de ce domaine? Comment se diff´erenciet-il des autres disciplines et en particulier de l’intelligence artificielle, des syst`emes distribu´es et de la robotique? Quels sont ses apports aux sciences cognitives et `a la r´eflexion philosophique en g´en´eral? Science int´egratrice