Difference Rousseau Voltaire

un détour par l’histoire. - Le XVIIIiéme siècle que l’on a coutume d’appeler le siècle des lumières Certains des philosophes mettent en avant la raison comme moyen de compréhension du monde et de gouvernement. On peut citer Rousseau, Voltaire, Kant, etc. Ils soutiennent que seul l’élévation du niveau d’étude du peuple permettra à celui- ci de participer aux décisions qui régentent sa vie. C’est aussi à cette époque que naît la notion de jeunesse en tant que corps spécifique

ressemblances puis leurs différences. Le commentaire comparé I. ressemblances ou analogies entre les deux textes II. différences entre les deux textes III. Eventuellement, explication/s de ces différences Montaigne « Au lecteur » Rousseau « Je forme une entreprise…. » Premier type de plan comparatif I. RESSEMBLLANCES A. Le pacte autobiographique : l’affirmation de la sincérité B. Les profits de l’écriture de soi : une meilleure connaissance de soi II. DIFFERENCES A. Les rapports entre l’auteur

encore moins de dictionnaire pour se documenter. Le défi était donc la taille : donner de l'information accessible à tous. Diderot fait appel à un mathématicien, d'Alembert pour l'aider dans cette lourde tâche. Il appel aussi Rousseau avec ces articles de musique, Voltaire avec ces articles de littérature et d'histoire et le chevalier de Jaucourt pour ses textes de toutes sortes, il écrit 17000 articles dont un connu: «l'inquisition ». De nombreux autres penseurs, philosophes et savants ont participé

contestation du XVIIe siècle 6 B. Montesquieu 6 C. Le droit au service du peuple ; les partisans d’un pouvoir fort 7 D. Rousseau : la « Volonté générale » du peuple élimine tout autre souverain 7 1) Volonté générale et souveraineté 7 2) Conception de la loi 8 3) Volonté générale et gouvernement 8 4) Les droits individuels : les droits de l’homme 8 5) Liberté de conscience chez Rousseau 8 Conclusion : La diffusion des idées nouvelles 8 Cette crise correspond à la crise de l'Etat absolu en France

Dieu., elle est la source de son propre mouvement. Cette interprétation est remise en cause par la philosophie chrétienne : la nature étant créée par Dieu, elle n'a aucune autonomie ; c'est en quelque sorte une mécanique dont Dieu est l'horloger (Voltaire). • Cette conception remonte à Descartes. et à la doctrine de la création continuée : la nature n'a pas été créée une fois pour toutes, Dieu est obligé à chaque instant d'y réintroduire du mouvement. Cette doctrine a pour conséquence de mécaniser

soi-même. Voltaire Le superflu, chose très nécessaire. Voltaire Il faut être prudent, mais non pas timide. Voltaire C'est un poids bien pesant qu'un nom trop fameux. Voltaire La géographie est le seul art dans lequel les derniers ouvrages sont toujours les meilleurs. Voltaire Les femmes ressemblent aux girouettes : elles se fixent quand elles se rouillent. Voltaire On ne peut désirer ce qu'on ne connaît pas. Voltaire Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent. Voltaire On

abstraction Langage articule Humain est : Sociabilité La raison Abstraction Analyse Conscience Temporalité Liberté Spiritualité Religion Arts Sentiments Moralité Altruisme Égoïsme Notion de bien et de mal Technologie La différence entre l’homme et l’animal est souvent une question de plus et moins We all have our monsters. JE AUTRE 1- Conception de l’être humain de René Descartes Contexte historique 1.1 Le renaissance 1.1.1 Situation, définition et évènement

Aristote connaissait le conflit potentiel entre l'homme et le citoyen. Pour le philosophe grec, l'homme vertueux ne pouvait être un bon citoyen que dans un bon Etat.                Les rédacteurs de la Déclaration des Droits ont eux aussi marqué une différence fondamentale entre l'homme et le citoyen. Ils étaient influencés par les théories du droit naturel, et par l'idée que l'on pouvait définir l'homme dans l'état de nature d'une part, et l'homme socialisé d'autre part.  D'autres ont soutenu l'idée

appartient à une famille de noblesse récente et modeste. Les liaisons est quasiment son seul roman (il écrit seulement quelques contes en vers dans la tradition de La Fontaine, deux livrets pour l’Opéra). Son modèle est Rousseau. Il choisit comme épigraphe aux Liaisons la phrase de Rousseau : « j’ai vu les mœurs de mon temps et j’ai publié ces lettres ». Militaire de carrière, il prend un congé pour l’écrire. Son objectif est d’écrire une œuvre qui lui permette de passer à la postérité. Frustré dans ses

meut selon la perspective d’où nous la regardons. Le mouvement n’est donc pas la réalité elle-même ; la réalité est la forcequi subsiste en dehors de tout mouvement et qui en est la cause : la force subsiste, le repos et le mouvement étant des différences phénoménales relatives. Leibniz définit la force comme « ce qu’il y a dans l’état présent, qui porte avec soi un changement pour l’avenir. » Cette théorie entraîne un rejet de l’atomisme ; en effet, si l’atome est une réalité absolument rigide,