Dîme

LA DIME ET LES ALLIANCES Des amis m’ont récemment demandé ce que je pensais de la dîme. Je me suis donc mis à réfléchir à ce sujet. Le Saint-Esprit est notre enseignant, mais si on ne pose pas de questions, Il ne peut pas répondre. La religion fait de l’acceptation passive une vertu. Jésus à joué aux questions-réponses. Il a voulu des disciples créatifs, engagés, et non pas des gens qui acceptent tout passivement. Remettez tout en question ! Si tu es immobile, Il ne pourra pas te guider ! Ma méthodologie

l’Eglise a besoin de main-d’œuvre. Cela créera nottament une compétition entre l’Eglise et les seigneurs car ces derniers voyaient leur main-d’œuvre partir pour travailler pour l’Eglise. Une autre source d’enrichissement pour l’Eglise étaient la dîme. Il s’agit d’un impôt payé par les paysans qui devaient environ un dixième de leur récolte. Pour s’imaginer l’ampleur des dîmes, il faut savoir qu’elles remplissaient des granges qui étaient souvant les bâtiments les plus grands du village. En outre

prennent le nom général de tonlieu. Enfin, l’impôt en nature sous forme de corvée ou de prélèvements sur les récoltes se généralise et se systématise. L’Église obtient de nombreuses exemptions fiscales et profite de l’instauration progressive de la dîme, justifiée par les textes sacrés, définie par les conciles à l’époque mérovingienne et contrôlée par les rois francs catholiques. La multiplication des impositions et levées extraordinaires, due en particulier aux raids normands, entraîne des révoltes

l'économie et la politique. Son économie est entièrement liée à sa richesse. Tout d'abord, sa richesse provient de l'impôt que doivent payer tous les fidèles : la dîme. Cet impôt est une redevance en nature ou en argent. La dîme est par exemple un dixième des récoltes pour un paysan et un dixième des productions pour un artiste . La dîme est considérée comme un soutien à une organisation religieuse chrétienne. Les dîmes ont été adoptées avant le VIIe siècle et ont été officiellement reconnus sous

régime (doc. 3-4-5) A- Le clergé, « ceux qui prient » (1% de la population) C’est le 1er ordre privilégié. Il ne paie pas l’impôt. Il a sa propre justice, ses propres tribunaux (tribunaux ecclésiastiques). Il prélève sur la population un impôt : la dîme (dixième de la récolte en nature), qui est très impopulaire. Enfin il a de nombreuses terres. Il faut cependant distinguer haut clergé (les évêques des cathédrales), issu de la noblesse (Richelieu), et bas clergé (curés, moines), plus proche du peuple

pendant la vacance aux bénéfices de la collation de l'évêque ou la décime, taxe exceptionnel. De plus, le clergé paye tous les 5 ans le Don Gratuit depuis le XVIIème siècle en contre parti les clercs ont le droit de voté et de s’assemblé et il prélève la dîme qui est un impôt pour les entretenir mais il revient qu’au gros décimateur et redonne qu’une petite parti au clergé régulier, le clergé séculier est le plus riche. Même au sein du clergé, il y a une inégalité sociale. Dans le clergé séculier (environ

financiers, parfois en dépit de leur salaire élevé. C'est parce que la Promesse  de L'ÉTERNEL de menacer celui qui dévore ne trouve pas en eux la raison de son accomplissement. LE SEIGNEUR JÉSUS nous encourage dans Matthieu 23:23 à ne point négliger la dîme, qui est le secret de la prospérité pour quiconque suit l'exemple d'Abraham et de Jacob dans ce domaine, afin de récolter avec abondance ce qu'il sème.  Il en est de même pour la bonne santé qui découle de l'attention que l'on accorde aux Paroles

beffrois : leur hauteur est plus élevée alors que la pointe des cathédrales est plus longue. Dans le cadre de la seigneurie, il y a prélèvement d'impôts comme la taille, le cens, les corvées, droits de banalité. Un impôt prélevé par l'Eglise : la dîme, l'Eglise prélève son impôt pour assurer les services liturgiques et séculiers ( baptême, mariage, extrême onction ) de ses ouailles. Le paysan doit reverser un dixième de ses récoltes à l'église. Ces taxes perdurent dans le temps et deviennent la

pesant sur les personnes seront abolis sans indemnité d'aucune sorte. Le texte final est voté et publié le 11 août au soir. Avec lui disparaissent à jamais certains archaïsmes comme la corvée obligatoire, de même que des injustices criantes comme la dîme ecclésiastique, uniquement payée par les pauvres.Certains autres droits féodaux, ceux pesant sur les terres comme les cens et les champarts, devront toutefois être rachetés. À cette seule condition, les paysans pourront devenir propriétaires de plein

type seigneurial ou féodal est parfaitement parasitaire et ne correspond plus à un réel échange de services. Dès les premières semaines de la révolution vont être décrétés à la fois la liberté personnelle, la liberté de la terre et la fin de la dixme (dîme). A- La liberté personnelle Depuis le Moyen-âge existait en Europe une condition juridique, assez variée dans sa forme, qui était dans une position intermédiaire entre l’esclavage de l’ Antiquité et le statut libre: cette condition est celle