Dionys Mascolo

elle rencontre son futur mari, Dionys Mascolo, avec lequel elle aura un fils, Jean. En 1943, Marguerite Donnadieu publie sont premier roman « Les Imprudents » sous le nom Duras. Avec son deuxième roman, « La Vie tranquille » elle passe chez Gallimard. Son mari est arrêté car le couple participe à la Résistance. M. Duras rejoint le Parti Communiste Français la même année. Deux ans après le retour de son premier mari Robert en 1945, Duras divorce pour se marier avec Dionys. En 50, elle quitte le PCF et

démissionnera deux ans plus tard et se marie avec Robert Antelme en 1939. En 1942, elle trouve un emploi au Comité d'organisation du livre où elle fait la connaissance de Dionys Mascolo, qui devient son amant. C'est en 1943, qu'elle publiera son premier roman Les Impudents. Cette même année, elle adhère avec Robert Antelme et Dionys Mascolo au Mouvement National des Prisonniers de Guerre et entre dans la résistance. En 1944, son mari est déporté à Buchenwald : Marguerite rentre au Parti Communiste la même

(deviendra les Impudents). Avant la guerre elle n’est donc pas engagée, s’intéressant surtout à sa carrière littéraire. En 1941, elle perd un enfant mort-né. En 1942, elle perd Paul. Puis elle s’engage dans la résistance en lien étroit avec Dionys Mascolo (avec qui elle aura un enfant) dès fin 1942. Ils créent une sorte de cercle intellectuelle et politique, rue Saint Benoit, dans l’appartement de Duras et Antelme. Elle y reçoit beaucoup d’intellectuels (Bataille, Queneau, Leiris, Ponge, Morin

elle rencontre François Mitterrand qui devient son ami. Au retour de Robert Antelme tous deux fondent une maison d'édition, La Cité Universelle rue St Benoît, dans le 6ème arrondissement. Ils divorcent en 1946 car Marguerite a eu un fils avec Dionys Mascolo rencontré en 1942. Tous trois, restés amis, s'engagent au parti communiste, d'où ils seront exclus en 1949. Plusieurs écrivains et philosophes fréquentent à cette époque leur domicile, comme par exemple Edgar Morin, Claude Roy, Georges Bataille

des études de droit à Paris (1936) ou il y rencontra Marguerite Duras qu'il épousa en 1939 après son service militaire à Rouen. Lors de la deuxième guerre mondiale, il décide d'entrer dans la Résistance avec sa femme ainsi que son ami Dionys Mascolo ( qui deviendra l'amant de Marguerite). C'est donc en 1943 qu'ils entrent dans le réseau du « MNPGD » ( Mouvement National des Prisonniers de Guerre et Déportés ). En juin 1944, Antelme fut embarqué par la Gestapo. Il fut d'abord emmené

y rencontre Dionys Mascolo qui deviendra son amant. En 1944 Robert Antelme est arrêté puis déporté. Il revient du camp Buchenwald en mai 1945, plus mort que vif. Duras écrit sur cette période La douleur, roman qui retranscrit les moments les plus douloureux et ambigus. En 1944 Marguerite devient militante active. L’appartement de la rue Saint-Benoît devient un lieu d’intenses échanges, un lieu ouvert sur le monde. En 1946 elle divorce avec Robert et elle accouche d’un enfant de Dionys en 1947. En

Jeanson, qui était un groupe clandestin lié au Front de Libération National dont l'appel aux algériens en 1954 a marqué le début du combat pour l'indépendance en Algérie. Le texte du manifeste était rédigé pendant l'été 1960 par Maurice Blanchot et Dionys Mascolo. Parmi les signataires on peut noter les écrivains comme Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Françoise Sagan. Immédiatement après la publication du Manifeste, le gouvernement a lancé de nombreuses persécutions contre ceux, qui ont signé le document

pseudonyme de Marguerite Duras : "Les Impudents" L'année suivante elle passe son deuxième ouvrage, "La Vie tranquille". Marguerite s'inscrit alors au PCF, la Parti Communiste Français. En 1947 Marguerite Duras divorce et se remarie avec Dionys Mascolo dont elle aura rapidement un enfant En 1950 Marguerite Duras quitte le PCF, elle publie "Un Barrage contre le Pacifique", une oeuvre majeure commencée trois ans plus tôt, puis en 1952 "Le Marin de Gibraltar", En parallèle sa vie personnelle

originaire. Le couple Antelme et leur ami Dionys Mascolo entrent dans la Résistance aux côtés de François Mitterrand. Robert est arrêté et déporté à Dachau. Marguerite racontera dans La douleur (1985) l’attente, le retour des camps de concentration. Au lendemain de la Libération, elle entre au parti communiste mais s’en éloignera en découvrant le stalinisme. 1947 Marguerite divorce de Robert Antelme. La même année, naît son fils Jean dont Dionys Mascolo est le père. 1950 Un barrage contre le Pacifique

camps, condensant l’acte de parole et sa référenciation, autorisant l’usage du déictique pour nous mettre au cœur du monde décrit. C’est finalement cette poétique du neutre que Robert Antelme exposait à Dionys Mascolo, dans une lettre écrite quatre ou cinq ans après son retour de déportation: Dionys, je voudrais te dire que je ne pense pas l’amitié comme une chose positive, je veux dire comme une valeur, mais bien plus, je veux dire comme un état, une identification, donc une multiplication de la