Dionysiaques

Antiquité Epoque du rire diabolique -> ère chrétienne Epoque du rire humain -> Epoque moderne I Rire divin: Antiquité -> Rire et Dieux ont d'excellent rapport, ils sont à l'origine du rire. Signe de liberté de certain Dieux: Pan, Dionysos, fêtes dionysiaques. Guido Reni, Bacchus A.Dorothea Therbush, Bacchus Mythologie nordique -> trickster, lutins farceurs Rire permet consolider liens sociaux -> puissants et hommes de basse conditions rient ensemble On rit ensemble face à l'ennemi, cohésion sociale

partir de 1907 avec la rencontre de Marie Laurencin qui le conduit à quitter sa posture d’amant malheureux. Il se rapproche alors de ses amis peintres, s’installe à Montmartre, et compose des textes d’une inspiration nouvelle, plus dynamique et dionysiaque références littérales à l’alcool et à l’ivresse ("Zone", "Vendémiaire") évocation des tavernes, brasseries, auberges, caveaux (Paris, Munich, Cologne… évocation des vignes rhénanes images poétiques : « Mon verre s’est brisé comme

d’éternité cosmique. - Il introduit le concept Apollinien : Dieu de la mesure de toute chose, beauté, ordre & raison Dionysiaque : Dieu de la fête, de l’ivresse et de la démesure. - C’est 2 principes dépassent le cadre de l’esthétique : Pour Nietzche, le monde contemporain se caractérise par la victoire de l’Apollinien sur le dionysiaque (refoulé)  Il privilégie l’art qui doit nous permettre de voir le monde tel qu’il est et de

l'engouement collectif (avec ou sans pratique sportive) qu'il suscite. Le sport permet la manifestation de passions individuelles et collectives ; il provoque chez les spectateurs des réactions de ferveur qui ne sont pas sans rappeler la fonction dionysiaque des festivités rituelles dans l'Antiquité. Le besoin de se réjouir ensemble, d'éprouver ensemble espoir et déception, de se sentir associé à une aventure collective, fédère un très large public au-delà même des supporters, compensant ainsi peut-être

par la grâce de la vérité, par la grâce divine. » Cette profession de mysticisme, Salvador Dalí va l’appliquer jusqu’à la fin de sa vie aux œuvres qu’il lui reste à créer. Le gigantisme atteint ses dernières toiles, grouillantes de personnages dionysiaques, où il réunit toutes les tendances en -isme : pointillisme, surréalisme, tachisme… Salvador Dalí s’intéressa aussi à bien d’autres arts et fut en particulier fasciné par le cinéma, la photographie, la mode ou la publicité. En outre, il était passionné

suiv. ; IV, 62, 3). Euripide, Hippolyte [détail des éditions] [lire en ligne]. Homère, Odyssée [détail des éditions] [lire en ligne] (XI, 321). Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (XLIII ; CCXLIII). Nonnos de Panopolis, Dionysiaques [détail des éditions] [lire en ligne] (XLVIII, 536). Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne] (I, 22, 1). Virgile, Énéide [détail des éditions] [lire en ligne] (VI, 445). Notes[modifier | modifier le code] ↑

curiosité, d’enthousiasme, de désir intense. 6. L’alcool éveille l’idée d’un excitant, de la recherche d’un paroxysme : « il faut se griser de la réalité moderne ». 7.  C’est une figure dionysiaque de l’inspiration poétique. La soif du gosier lyrique Le motif de la soif, de longue date inhérent à la part dionysiaque de la lyrique, dramatiquement durci par Rimbaud (« Comédies de la soif ») peut apparaître comme l’une des illustrations du désir poétique : « J’ai soif villes de France et d’Europe et

rupture et agitation, gouvernée par un principe de désordre, visant même le retour au chaos. Dés lors, il faut bien reconnaître l’autre source. Qu’elle soit délirante, subversive, animée par une pulsion inconsciente ou très établie, dionysiaque ou apollinienne, civile ou religieuse, cette institution qu’est la fête a des causes psychiques et doit être analysée à l’aide de la psychanalyse et de l’anthropologie. Mais d’autres voies seront explorées telles la musique et l’iconographie

de résister aux chants des sirènes dont il parvint à surpasse le pouvoir de séduction. Il se rendit également jusqu’en Egypte et revint en Thrace. Il a inspiré, en Grèce antique, un mouvement religieux appelé Orphisme, qui était lié aux mystères dionysiaques. II. Le mythe d’Orphée Sa femme, Eurydice, une dryade (nymphe, déesse mineure liée aux chênes en particulier, et aux arbres en général), fut mordue au pied par une vipère. Elle mourut alors, et descendit au royaume des Enfers. Après avoir endormi

la littérature « palimpsestes »  Poésie contemplative et picturale « Ut pictura poesis », Horace Transfiguration du monde  Louer par l’éloge  Dénoncer par le blâme Poésie Orphique = expression de soi. Dire son monde. Poète exalté Poésie Dionysiaque = transe. Dire un autre monde. Poète inspiré Poésie Apollinienne = harmonie. Dire le monde. Poète témoin