Dionysiaques

tragédie grecque . Le cadre historique. Le choeur, dont l'existence remonte aux origines mêmes des représentations dramatiques, est un élément essentiel de la tragédie grecque, que celle-ci soit issue de rituels funéraires (1), de cultes dionysiaques (2) ou du dithyrambe (3), elle s'est constituée à partir du moment où a été introduit un personnage distinct (le chef de choeur ou coryphée, sans doute l'auteur lui-même), donnant la réplique au choeur par des vers non chantés. C'est à Thespis

prix du malheur et de la mort. Cette origine religieuse laisse des traces, comme le nom même du théâtre d'Athènes, dédié à Dionysos, ou encore le mot tragédie, qui semble refléter une signification religieuse. Le concours : Lors des fêtes Dionysiaques, à la cérémonie d’ouverture il y avait un concours des représentations tragiques, un jury départageait les 3 dramaturges admis au concours, et qui présentaient chacun une trilogies, c’est-à-dire en ensemble de 3 tragédies, le meilleur dramaturge

humain jusqu'à la fin de sa vie). Nietzsche est donc le fils de son temps en tant qu’il participe premièrement à l’essor du romantisme, mais il l’est encore cette fois à contre temps en cela qu’il se détermine ensuite à 2 NT, FP, « La Vision dionysiaque du monde », § 1, p. 289. 6 l’inverse de l’enthousiasme romantique, donc contre l’irrationnel et la démesure des sentiments mélangés qui fournissent l’art romantique sans unité de style et contre les brumes de la philosophie idéaliste kantienne

qui se multiplie quand on le donne, sans limites. Et si c’était ça justement le premier rôle de ce rire ? Donner un avant-goût du plaisir de repousser les limites de notre esprit, savourerce qui dépasse nos connaissances ? On parle de « plaisir dionysiaque »pour désigner un plaisir exubérant, comme le dieu antique du vin etdes excès. Le rire est une ivresse qui ouvre notre appétit deconnaissance et de savoir.C’est exactement ce qui se passe lors de la naissance de Gargantua.Tout est à la fois drôle

cette femme, mais également chasseur, cherchant à obtenir l’objet de son désir. L’allitération en "m" souligne l’accélération du rythme, image de cette course du poète. Cette "danse" du lever du jour n’'est pas sans rappeler les grandes fêtes dionysiaques et comme le signifiait Rimbaud lui-même dans sa lettre: "il s’agit d’arriver à l’inconnu par le dérèglement de tous les sens". Au sommet de son parcours, le poète étreindra fugitivement sa déesse, cachée de nouveaux derrière ses mystères. Est-ce

initié. Chez les indiens Bororo, Levi-Strauss rapporte qu'il est le héros civilisateur, l'inventeur de la technique, le malin magicien qui masque ses pouvoirs et son intelligence rusée. Il convient de ne pas rire de lui car le Singe aura le dessus. Dionysiaque et priapique cache sa science et mesure son empire sur lui-même en permanence. Pour les Egyptiens de nouveau, le singe est un grand initié qui doit être évité dans l'autre monde où il pêche les âmes dans le réseau de ses filets. Un singulier singe

comme image poétique : « Mon verre est plein d'un vin trembleur comme une flamme », écrit l'auteur dans "Nuit Rhénane". Le motif récurrent de la soif exprime le désir du poète de consommer la vie, de se griser de modernité. L'alcool et une figure dionysiaque de l'inspiration poétique. - La beauté du monde moderne : celle de la Tour Eiffel par exemple. Apollinaire célèbre aussi l'électricité, la lumière et s'émerveille de l'énergie de la ville. - L'amour malheureux : On songe à la vie personnelle d'Apollinaire

dernier vesr du recueil= annonce d’un nouveau jour donc d’un avenir poétique inspiré par ivresses à vivre encore (Apollinaire voulait sans doute écrire d’autres recueils) Possibilité de faire des recherches complémentaires sur poésie apollinienne et dionysiaque : Apollinaire par son pseudonyme se réfère à la tradition du vates inspiré des dieux et à la poésie accompagnée de la lyre, par le titre du recueil et la métaphore filée de l’ivresse il se place sous l’égide de Dionysos et des fêtes bachiques où

dramaturge, et promet un dénouement heureux. LA COMÉDIE ANTIQUE La comédie est un genre littéraire et théâtral majeur de la Grèce antique, plus récent que la tragédie. Aristote la rattache aux chants phalliques accompagnant les cortèges dionysiaques. La comédie grecque est connue principalement par Aristophane. Jean de la Fontaine C’est un écrivain latin de l’Antiquité lui-même imitateur d’Esope, un fabuliste grec. La fontaine s’inscrit donc dans la tradition classique de l’imitation

Persée Thésée Ulysse SOURCES En bas des fiches vous allez voir les diverses sources qu'on peut trouver dans la littérature ancienne des auteurs suivants: Apollodore Bibliothèque Hésiode Théogonie Homère Iliade Homère Odyssée Nonnos, Dionysiaques Ovide Fastes Ovide Métamorphoses Pausanias Périégèse Virgile Enéide Virgile Géorgique: Vous pouvez aussi accéder aux textes ou aux fiches des auteurs en cliquant sur leur nom. Bookmark and Share BIBLIOGRAPHIE Quiz et Divertissements