Diphtongue

structure syllabique Les différents constituants de la syllabe Le noyau •  Cœur de la syllabe •  Élément obligatoire (et suffisant) à la syllabe •  1 noyau = 1 syllabe (compte des syllabes) •  Plusieurs segments peuvent occuper un noyau : diphtongues en anglais par ex. –  « pie » [paɪ] –  1 noyau composé de 2 voyelles –  1 syllabe 9 Le noyau Segments pouvant occuper le noyau : •  Le plus souvent, voyelles (français) –  « a.mi » •  Mais aussi sonantes (anglais) : –  « button »

VersÉlision  : suppression d’une voyelle qui ferait une syllabe de trop, marquée par une apostrophe (interdite par la poésie classique du xviie s. ; beaucoup utilisée par la chanson). Diérèse  : dissociation d’une diphtongue pour faire deux syllabes : « li-on ». Synérèse  : compter pour une unité syllabique deux unités : « ouvrier » (2 syllabes au lieu de 3). Licence poétique  : orthographe tolérée pour éviter une syllabe :

« longtemps »l.1. Adjectif « rebelles »l.25 pourrait s'appliquer à cette maitresse qui échappe au poète. Atmosphère langoureuse : rythme de la 1ère phrase très longue ralentit par de nombreuses virgules, la répétition de l'adverbe « longtemps », la diphtongue « on », allitérations en [m] et en [l]. b) Le poète exprime ses sentiments(=lyrisme) Un dialogue qui est plutôt un monologue : seul le poète parle = de nombreuses marques de 1ère personne : « moi », « je »... Vocabulaire de

sonorités en employant une majorité de consonnes adoucies comme « l », « m » ou « n » dans la première strophe et employant ainsi des allitérations : « sanglots Longs / Des violons » ou des assonances puisque le poète favorise aussi l’emploi des diphtongues comme –an, -en, ou –on que l’on retrouve presque à chaque vers : « Les sanglots longs / Des violons ». Enfin tous les effets de sonorités sont mis pour la musicalité du poème. Pour ajouter à cette musicalité le poète emploie aussi un vocabulaire

lumière/nuit, absence/présence, passion/souffrance) ; – par un travail constant enfin sur la densité et la cohérence lexicale, sur la rythmique et l’accentuation (v.1, 3, 7 et 11), sur les effets phonétiques de la rime raréfiée ou des assonances (diphtongues nasalisées an et on notamment). Travail qui conduit à faire de la valse des mots le principe même de l’apaisement du vertige des coeurs, comme en témoigne le chiasme parfait des vers 4 et 7 : « Valse mélancolique et langoureux vertige ». Conclusion

donne la nuit lorsqu’elle s'étend doucement sur la ville. Elle semble une déesse immense et superbe, qui s'avance avec lenteur et majesté, ce que rend la comparaison «comme un long linceul traînant à l’Orient», où l’on remarque le redoublement de diphtongues longues, sourdes, presque étouffées, ainsi que l’allitération en «l», qui évoquent un bruissement de voiles, et la diérèse «Ori-ent», qui allonge le vers. Enfin, au dernier vers, qui est bien, comme le veut la tradition, la chute du sonnet, au

| | | |Tengo tienes tiene tenemos tenéis tienen | | | | |Tener ne diphtongue qu’à 236 | | |62 |Obligation personnelle = |TENER QUE + infinitif (enclise) |Tenéis que aprender

fond De hecho : de fait, dans les faits Por ejemplo : par exemple En particular : en particulier VERBES REFLEXIFS OU PRONOMINALES : lavarse : se laver ; levantarse : se lever ; apresuarse : se depecher ; acostarse (diphtongue) : se coucher, llamarse : s’appeler ; enfadarse/molestarse : être agacé, se déranger ; casarse ≠ divorciarse : se marier ≠ divorcer ; lanzarse : se lancer PRESENTE DE INDICATIVO (présent de l’indicatif) Verbos regulares : - verbos terminados

murmure, gazouille, susurre, doux, herbe, cailloux, humble... Autant de termes qui créent une impression d'intimité, de fragilité, de candeur enfantine peut-être. Les sons sont souvent estompés (harmonie imitative des allitérations en [z], les diphtongues sont douces (ou et eu), il y a une abondance de rimes féminines, assonance en u ou encore des anaphores douces (c'est, cela, cette). Il y a également l'utilisation des sons r et fr pour exprimer le frisson léger. A côté de cette impression d'intimité

la scène, il entend les bruits de l’automne qui engendrent chez lui une tristesse dont l’impact est renforcé par les rimes « cœur/langueur » et « automne/monotone ». De plus, l’emploi d’une longue assonance nasale en « o » et la répétition des diphtongues comme -an ou –on décrivent parfaitement la langueur qui anime le poète. Par ailleurs, dans la première strophe, les nombreuses allitérations en « l », « m » ou encore en « n » confèrent une apparente fluidité et une certaine douceur au texte, faisant