Diplomatie

Pichon, 1885; Paris: L’Harmattan, 2003; Montréal: Mémoire d’encrier, 2005. * Haïti au point de vue politique, administratif et économique: conférence faite au Grand cercle de Paris, le 8 décembre 1891.  Paris: F. Pichon, 1891. * Diplomate et diplomatie: lettre ouverte à M. Solon Ménos. Cap-Haïtien: Imprimerie du Progrès, 1899. * M. Roosevelt, président des États-Unis et la République d’Haïti. New York: Hamilton Bank Note Engraving and Printing Company / Paris, F. Pichon et Durand-Auzias, 1905

peuples ». Le président Américain, qui avait pris la décision d’entrer en guerre en Avril 1917, souhaitait par ce discours faire entendre la voix de la raison aux belligérants européens et ottomans. Pour ce faire, ils les appellent à renoncer «  à la diplomatie secrète » (référence aux accords Sykes-Picot, publiés en intégralité par les bolcheviks le 13 novembre 1917) et il encourage les peuples non turcs à se détacher de la grande porte avec « la libre disposition des peuples non turcs de l’Empire Ottomans

puissance et leur liberté individuelle au profit d’une sécurité collective. Dans la société internationale ce mode de pensée n’existe pas, de fait chaque acteur essaie d’utiliser au maximum sa liberté individuelle : C’est une société « d’égo ». Une diplomatie, c’est-à-dire la mise en œuvre d’une politique au plan international grâce à des outils institutionnels. En France, c’est le ministère des affaires étrangères avec à sa tête un représentant, aux USA le représentant c’est le secrétaire d’état. Les

objectifs : maintien de la paix et de la sécurité internationale, protection des Droits de l’Homme et l’affermissement de l’idéal de démocratie, le dvlpmt éco & social générateur de paix la promotion politique des peuples indépendants et dvlpmt d’1 diplomatie internationale (favoriser dialogue entre états). ▪les structures de l’ONU : Organes intergouvernementaux = a) l’Assemblée générale Tous les états membres de l’ONU y siègent et participent à la prise de décisions selon un principe : « 1 Etat

fin de l’innocence intervient bel et bien dans les années Reagan, non aux origines des EUA. La conclusion finale d’Artaud précise d’ailleurs ce qu’elle entend par le titre : l’heureuse « coïncidence de la force et de la loi », comme celle « d’une diplomatie efficace avec les règles démocratiques » ne sont plus d’actualité pour les EUA. Et Reagan a fait constater aux Américains qu’on ne peut être moral dans un monde qui ne l’est pas. Dès lors, les Américains font face à un nouveau défi digne de tous

Pour conclure, l’article premier de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques constitue une délimitation des sujets et objets de la Convention. Celle-ci sert de cadre de travail pour les agents appelés à exercer dans la diplomatie. Elle a été conçue pour faciliter leur tâche en tant que représentants de leur Etat dans un pays étranger mais aussi pour leur assurer une protection nécessaire à l’accomplissement de leur travail.

CONSTANTINESCO et S. PIERRE-CAPS Formes complexes ou composées anciennes Union personnelles : lois de succession -> deux Etats distincts avec même souverain = fait juridique Unions réelles : deux Etats ont décidé de se rapprocher mettent en commun diplomatie + fonction royale = acte juridique Confédérations : associations d’Etats souverains avec gestion de leurs compétences par organes communs Traité internationale révisable selon leur commune volonté Libre circulation institutions élémentaires : Congrès

groupe d'hommes d'affaires avertis, à la recherche d'une couverture, lui propose de prendre la présidence du conseil d'administration gérant une trentaine de bordels à travers la France. Il choisit les Affaires étrangères et travaillera dans la diplomatie pendant quinze ans, d'abord comme secrétaire d'ambassade en Bulgarie (Sofia), en Suisse (Bern) puis en Bolivie (La Paz) comme chargé d'affaires. En 1948, il rentre à Paris à la Direction d'Europe, dirigée par le gendre de Paul Claudel, Jacques-Camille

Pendant la Première Guerre mondiale, les principes fondateurs du système international contemporain sont posés. Le président américain Wilson expose devant le Sénat américain, le 8 janvier 1918, ses Quatorze points qui prévoient de rompre avec la diplomatie secrète et de fonder une « association générale des nations ». ( Document : « Ce que nous voulons, c'est […] un lieu sûr pour toute nation qui désire vivre sa propre vie en toute liberté, décider de ses propres institutions, et être assurée

d’éprouver un certain ressentiment vis à vis des Etats-Unis. L’approche méthodologique de l’auteur est bien sûr de considérer ici le pays comme appelé à dépasser une position qu’il qualifie d’« immature » (dixit le texte) et de poser les jalons d’une diplomatie plus mûre, moins basée sur « l’étalage » des moyens matériels à la disposition du pays mais plutôt sur une dynamique de persuasion. Fidèle à la tradition réaliste, Walt ne nie en aucun cas l’hyperpuissance américaine, mais mise sur l’influence des