Dipylon

L'amphore du Dipylon L'Amphore du Dipylon,conservée au musée national d'athéne, fait 1,55M de hauteur et est datée du géométrique réçent 1, au environ de 760 av J-C. Ce type d'objet est noramelement utilisé pour transporter de l'eau, ce qui n'est pas le cas de cette amphore, qui elle est utilisé dans le cadre de rites funéraires. Elle ne servait non pas pour receuillir les cendres du défunt mais pour signifier la présence de la tombe, c'est en quelques sorte l'encêtre des monuments funéraires

L'amphore du Dipylon L'amphore a été découverte à Athènes au XIX ème siècle par des allemands au cours de fouilles menées dans la nécropole du Céramique, quartier qui doit son nom à la présence des ateliers de potiers. Elle est située à l'extérieur de l'acropole, au voisinage du Dipylon, « porte double » d'où partait la voie sacrée d'Eleusis, de là le nom de « vase du Dipylon ». Elle a été réalisée par le Maître dit du Dipylon entre 760 et 750 avant J.-C dans la période du Géométrique récent

Les grands vases funéraires trouvés dans le cimetière du Céramique, proche du Dipylon (la Double Porte) sont datés entre 770 et 750 av. J.-C. Le nom de "Maître du Dipylon" provient du lieu de découverte de l’ensemble céramique : le cimetière antique du Dipylon, près de la porte du même nom, à l’entrée de la nécropole du Céramique à Athènes.. Ces vases, principalement des amphores et des cratères, montrent des silhouettes humaines au sein de scènes funéraires ou guerrières. L’apport essentiel

Amphore du Dipylon, vers 760 av. JC. Musée archéologique d’Athènes, 1,55 m L'amphore a été découverte à Athènes au XIX ème siècle par des allemands au cours de fouilles menées dans la nécropole du Céramique, quartier qui doit son nom à la présence des ateliers de potiers. Elle est située à l'extérieur de l'acropole, au voisinage du Dipylon, « porte double » d'où partait la voie sacrée d'Eleusis, de là le nom de « vase du Dipylon ». Elle a été réalisée par le Maître dit du Dipylon entre 760

face à la mort. Les documents proposés comme support à cette étude sont au nombre de neuf. Les sept premiers sont des photographies en couleur qui présentent deux lécythes à fond blanc datant entre 470 et 400 av. J.-C. ; le Cratère du peintre du Dipylon vers 760 av. J.-C. ; le Kouros Kroisos vers 530 av. J.-C. ; une stèle funéraire datant de près de 540 av. J.-C. ; la Stèle de Dexiléos vers 394-393 av. J.-C. et enfin le Tumulus de Marathon vers 490 av. J.-C. Les deux derniers documents sont des extraits

et a été découverte à Athènes au cimetière du Céramique. Cette amphore est attribuée au Maître du Dipylon. On appelle Maître du Dipylon, un peintre sur vase de la Grèce Antique qui travaille au milieu du VIIIème siècle avant Jésus-Christ. Il doit son nom à un groupe de vases funéraires dont la plupart ont été découverts à Athènes dans la nécropole du céramique, près de la porte du Dipylon. Le potier et le peintre formaient probablement la même personne. Les commanditaires sont certainement

isolés et sous les anses, cerf chiens ou cochons. Ces figures ne sont pas assemblées au sein d’une scène unique. En plus, ils ne sont pas placés en première position. La pyxide Fauvel a été trouvé en 1812 au cimetière de la céramique, près du Dipylon (la double porte en grec ancien) en dehors de la muraille construite au début du 5ème siècle. La ville se développant, au cours de l’époque archaïque, on a décidé de déplacer le cimetière en dehors des limites de la ville. C’est aussi une urne cinéraire

aux épaules, et on remarquera l'étonnante finesse de la taille. Leur pose est identique à celle des Kouroï de cette époque. La tête reste, néanmoins, massive, bien que les yeux soient à la bonne place, contrairement à ceux observés sur la tête du Dipylon et sont plus réalistes. La chevelure est subdivisée en mèches, elles-mêmes divisées verticalement et horizontalement, ce qui fait penser à une coiffure beaucoup plus féminine. Les détails des muscles sont représentés par des traits, la notion de volume

d'Athènes. Elle se déroulait chaque année au mois de juillet, mais tous les 4 ans revêtait un éclat particulier lors des Grandes Panathénées. On organisait alors une procession, qui regroupait tous les habitants de la cité. Elle partait de la porte du Dipylon, dans le quartier du Céramique, traversait l'Agora et, suivant la voie sacrée, montait à l'Acropole. Là, on remettait à la prêtresse d'Athéna le péplos, un voile brodé par des jeunes filles, les ergastines, dont on revêtait la statue en d'Athéna conservée

armes, des porteurs d’offrandes, des animaux de sacrifice, des jeunes filles ayant cousu le Peplos qui est la tenue dont elles revêtiront, la statue d’Athéna , conduit par les magistrats s’avance un cortège ou tout cela figurent. Depuis les portes du Dipylon le cortège se dirige à travers l’Agora vers l’Acropole et l’assemblée des Dieux. Les femmes, les citoyens participent à la procession, accompagnés de métèques et représentants des alliés d’Athènes. Le départ du cortège était situé du côté ouest du