Dis-moi qui tuer

pleins de réponses qui me sont venues d’un coup alors en premier temps j’ai pensée à la religion mais aussi à la peur de souffrir en mourant. J’ai eu tellement d’idées d’un coup… je pense que la peur nous maintient en vie mais elle peut aussi nous tuer, je suis indécise cela dépend de quoi on veut parler, par exemple je vais vous faire part d’une de mes peurs et peut être même que cela vous fera sourire. Eh bien figurez-vous que je crains les chiens, des petits comme des gros, des plus mignons comme

personnelles, parce qu’il est vraiment important que vous compreniez que ce que je vous dis est personnel. Je vais vous dire pourquoi je suis extrêmement triste, choquée, et inquiète après ce qui s’est passé hier. Premièrement, je suis triste parce que des innocents sont morts assassinés, et je ressens un sentiment de compassion qui est lié au fait que je suis humaine et que je ne comprends pas qu’on puisse tuer. Parmi ces personnes qui sont mortes, il y en a certaines que je ne connaissais pas personnellement

père. Epoque de l’action : de notre époque. Personnages principaux : Alice : c’est le personnage principal et elle doit faire quelque chose pour des personnes qui veulent tuer le président. La mère : les personnes prendront sa mère comme otages. Le père : c’est un ministre. Les personnes : ceux qui veulent tuer le président. Viven : c’est un garçon, Alice le déteste, mais plus tard dans l’histoire il va l’aider. Résumé : Comme toujours, Alice attend sa mère devant l’école. Les

arrivèrent. Le petit Kanda, quant à lui, fut emmené devant la kazekage qui, seule à seul, l'interrogea. "Te rends-tu compte de ce que tu as fait, Yû ? Commettre un tel crime à ton âge est complètement insensé. Dis-moi ce qui s'est passé. Pourquoi a-t-il fallu que tu fasses une telle chose ?" "Je vous dis encore que j'ai pas tué Papa et Maman ! C'est pas moi ! C'est..." La kazekage donna une gifle à l'enfant qui tomba à terre, impuissant. Il se remémorait l'image de ses parents morts et leur cadavre ensanglanté

qu’ils puissent enfin vivre ensemble leur amour. « Je suis las de tuer tous tes amants ; c’est toi que je tuerai » ici l’auteur veut montrer que le personnage serais prêt à tuer les amants de Carmen mais aussi la tuer elle si il ne peut pas l’avoir, la passion du narrateur vire carrément a l’obsession ici. « Carmencita » le surnom qu’il a donné ici donne la nature de la relation entre les deux personnages. « Changeant de vie, Carmen, lui dis-je d’un ton suppliant » ici il y a l’utilisation d’un registre

Wahab ! Ecoute-moi. Ne dis rien. Non. Ne parle pas. Si tu me dis un mot, un seul, tu pourrais me tuer. Tu ne sais pas encore, tu ne sais pas le bonheur qui va être notre malheur. Wahab, j’ai l’impression qu’à partir du moment où je vais laisser échapper les mots qui vont sortir de ma bouche, tu vas mourir toi aussi. Je vais me taire, Wahab, promets-moi alors de ne rien dire, s’il te plait, je suis fatiguée, s’il te plaît, laisse le silence. Je vais me taire. Ne dis rien. Ne dis rien. Elle se tait

vous n’êtes qu’un imposteur. Si vous voulez vraiment qu’on vous croit, montrez-nous vos pouvoirs psychiques en essayant de me tuer par la pensée devant les téléspectateurs ». Mister John, humilié et furieux, répliqua: « Vous me traitez comme un idiot et vous doutez de mes pouvoirs en me traitant d’imposteur. Vous allez le regretter! Alors selon votre volonté, je vais vous tuer ». Puis subitement, Christopher commença à gémir dans tous les sens en tenant très fort son foulard comme si il l’étranglait

senegalais d adoption mon pere biologique m a  abandonne en me faisant quitter les USA  OU LA FRANCE    ET IL  M A  ABANDONNER  AU  SENEGAL EN ME  DEPOSANT  LA  BAS  SOIS DISANT POUR QUE JE SOIS  ADOPTE  ALORS  QU IL  M A TRAHI  IL VOULAIS ME FAIRE TUER MOI  QUI ETE  BEBE  POUR QUE LUI IL OBTIENNE DU PETROLE OU DU GAZ OU DE L ARGENT OU DES BIENS MATERIELS OU TOUT AUTRES INTERET ET FINALEMENT IL  N A   RIEN FAIT DE BON      ET DANS  CA IL A ETE EN PARFAITE COMPLICITE AVEC TOUS LES MUSULMANS ET AVEC

magiques où elles invoquent Marie Padilla, la maîtresse de don Pédro, qui fut, dit-on, la Bari Crallisa, ou la grande reine des Bohémiens. - Carmen, lui dis-je, voulez-vous venir avec moi ? Elle se leva, jeta sa sêbile, et mit sa mantille sur sa tête comme prête à partir. On m'amena mon cheval, elle monta en croupe et nous nous éloignâmes. - Ainsi, lui dis-je, ma Carmen, après un bout de chemin, tu veux bien me suivre, n'est-ce pas ? -Je te suis à la mort, oui, mais je ne vivrai plus avec toi. Nous étions

concernant leurs parents, Oreste comprend pourquoi Electre avait tant de haine envers sa mère et ressent à présent la même chose. Au début de notre scène, il dort paisiblement comme un enfant tandis qu’à la fin il est réveillé son épée à la main et prêt à tuer sa mère sous l’influence des paroles d’Electre. Il sort de son petit « paradis » dans son beau palais et entre dans une terrible haine. Les Euménides : Elles ont maintenant 15 ans, elles contredisent Electre dans les propos destinées à Oreste. Elles