Dis-moi qui tuer

propres exprériences pour inventer un nouveau type de personnage : le personnage principal, double fictif de l'auteur. Il montre, grâce à son histoire écrite à la 1ère personne, qu'il est le témoin des mutations du monde. ― Certes, ce que tu me dis est très instructif mais n'oublie pas que le roman traditionnel nous permet de nous reposer, ce qui me paraît important lorsqu’on lit. Ce type de roman nous présente des personnages vraisemblables possédant une fiche « d'identité » du héros ; c'est-a-dire

Nous sommes tous des playmobils Moi, je dis qu’il y a une justice L’homme a été quitté par Yvonne. Il travaille dans une banque quand 2 voleurs lui menacent. Il doit ouvrir le coffre de la banque. Mais la banque a une code pour ces circonstances, donc la police est en train de arriver. Au commissariat, on dit qu’il doit partir à la retraite. Elle lui approche d’être stérile La tache de sauce Un homme a une tache de sauce sur sa chemise. Sa mère a quitté son père. Il travaille dans le Carrefour

Le mal moral Comme je l'ai dis dans l'introduction, la guerre se situe dans les deux côtés du Mal, elle est autant un Mal physique, qu'un Mal moral. On y observe la stupidité des soldats, conditionnés par la guerre, qui sont devenus sans états-d'âmes et qui n'ont aucuns regrets à massacrer de pauvres innocents. L'absurdité de la guerre se ressent lorsque les soldats en sont au point de fusiller l'un des leurs, qui est ici l'amiral Bing, car « il n'a pas fait tuer assez de monde », avec comme

sa pauvreté. A cause de cela la mère est très agressive envers eux. Elle les désigne sous le nom de « chiens du cadastre de Kam », « chiens errants ». Elle désire que ceux-ci meurent ou dans le meilleur des cas pour ces derniers, souffrent : « vous tuer un jour d’inspection », « peut-être qu’avant de mourir, j’aurai envie de voir vos trois cadavres se faire dévorer », « Si l’un de vous veut me faire un dernier plaisir, avant que je meure, qu’il tue les trois agents cadastraux de Kam ». La mère semble

nous raconte l’histoire d’une famille dominée par Madame Raquin. Ce dernier préside aux destinées de son fils, Camille, et de sa nièce, Thérèse, en les mariant contre leur gré. Très vite, Thérèse aura un amant, Laurent, avec lequel elle décidera de tuer Camille dans un « accident ». Une fois leur méfait accompli, les deux amants se marieront mais, hantés par ce meurtre, le couple sombre rapidement. Les disputes sont nombreuses et ils avouent même leur méfait à une madame Raquin paralysée qui ne pourra

violent. Jamais je n'oublierai cette discussion avec eux. Comme si on voulait le tuer deux fois... Vous saviez, pourtant, que sa mort allait pouvoir sauver d'autres vies ? Non. Je ne comprenais rien de tout cela sur le moment. Je ne voyais que mon fils. Je ne voulais pas qu'on y touche. Je voulais qu'on me le rende. Et, franchement, sur le coup, les autres vies que je pouvais sauver, je m'en fichais. Je vous le dis franchement. Que d'autres vivent, alors que mon fils était mort, c'était bien le

entraîner une grande désillusion, c'est le cas de Jeanne qui le vit très mal. Jeanne découvrant les adultèrent de Julien ne supporte plus cette sensation, et pense de temps en temps au triste et triste passage de la vie, la mort. Elle pense donc à se tuer en haut de la falaise. C'est en quelque sorte symbolique, sa chute mais aussi la chute de beaucoup de ses rêves qu'elle s'était faites avec son mari Julien. Le naturalisme de Maupassant nous décrit extrêmement bien son état comme par exemple au chapitre

délicatesse. Il accepte finalement de tuer la souris . Ce lien , cette connivence , " les moustaches noires de la souris se mêlaient aux siennes ", le mélange des moustaches du chat et de la souris font penser a un baiser . L'humour de Boris Vian , a travers les paroles du chat et de la souris. On a parfois envie de rire de certaines réplique, mais cet humour est tout de même perçu comme noir . Par exemple , lorsque la souris met sa tête dans la gueule du chat " dis donc;, dit elle, tu as manger du requin

cent vingt florins, ou ça ne se fera pa, même comme ça je perds la carriole Ivette : ‘ Ils ne marcheront pas. (…) Est-ce que je ne ferais pas mieux de donner les deux cents? Mère Courage : ‘’ Je ne peux pas les donner. (…) J’ai travaillé trente ans. Dis cent-vingt ou ça ne se fera pas.’’ On resent également l’ironie lorsque le fils audacieux de Mère Courage accomplit un exploit de trop et trouve une fin honteuse; il est lui aussi fusillé. Auparavant lorsqu’il entrait par effraction chez les paysans

d’un 6 pouce ; elles soutenaient à elles toutes une vieille voûte bien cimentée, et nous nous promenions là-dessous sans crainte d’une pierre sur la tête. Mais il y a de par le monde deux architectes mal avisés qui ont gâté l’affaire, je vous le dis en confidence, c’est le pape et l’empereur Charles. L’empereur a commencé par entrer par une assez bonne brèche dans la susdite maison. Après quoi, ils ont jugé à propos de prendre une des colonnes dont je vous parle, à savoir celle de la famille Médicis