Discobole De Myron

gens qui attende paraissent dans une conversation: il donne de l’animation. Le discobole de Myron ce discobole originale n’a jamais été retrouvé, ce sont des copies romaines, on est sans doute très loin de l’originale, elle était en bronze et devait avoir plus de légèreté car le bronze est creux et autorise moins de stabilité, ici il y a un appuie supplémentaire car elle est en marbre. L’étude de la position: Myron sculptait des athlètes en mouvement mais il ne se départi pas de la règle d’immobilité

son développement dans des nouvelles épreuves jusque là peu pratiquées pour en faire des sports célébrés lors des Jeux Olympiques. Art Les artistes vont aussi illustrer le sport notamment sur la beauté du corps, la beauté du geste. Ainsi le Discobole de Myron est réalisé vers 455 avant JC. Grace à ce mode de communication, le développement de certaines activités sportives – principalement celles qui se pratiquées durant les Jeux Olympiques a connu un essor très important. C’est grâce à cela et au

ciselure. On est proche de la perfection. C'en est donc fini des naïvetés de l'archaïsme, mais on est loin encore de la menace des poncifs du plein classique La période classique (~480 à ~323) Le sculpteur Myron est l’auteur de statues ou de groupes en bronze fort admirés: le Discobole est son œuvre la plus célèbre et l’image de cet athlète penché en avant, reposant sur la pointe des pieds, le bras droit jeté en arrière, la tête tournée, donne une impression d’instabilité, de mouvement qui paraît

rapport à des copies tardives : connaissance nécessairement imparfaite de l’art antique. 1) Pour la sculpture, étudier l’évolution. Kouroï archaïques (Polymède d’Argos) : frontalité, rigidité, sourire divin, influence égyptienne. Ensuite, « Discobole » de Myron : mouvement mais aussi équilibre ; encore torse de face. Idem, « Diadumène » de Polyclète, invention du déhanchement. - Evolution de la statuaire au IVe : « Hermès » de Praxitèle, équilibre entre abstraction et individualisation. -

sont les vertus du sport ? En "A quoi sert un ballon?» quoi participe-t-il à l'accomplissement de l’individu, qu'il soit pratiquant ou 2) Eric ALARY , article : spectateur ? "Odes antiques aux Jeux Olympiques " , illustré par le Corpus : Le discobole de Myron. TDC n° 975 . Doc1: Paul Voivenel, chronique : "La morale sociale du sport" 3) Isabelle QUEVAL , historique La Dépêche du Midi (25/04/1970) Doc 2 : Isabelle QUEVAL S'accomplir ou se dépasser ch. Perspectives critiques (2004) des activités

foule. PREMIERE EPOQUE CLASSIQUE : recherche du réalisme et du mouvement. Période de gloire et de domination d’Athènes qui impose ses vues dans le domaine artistique. Production assez homogène à travers tout le pays. Trois grands sculpteurs dominent : Myron, Polyclète et Phidias, tous travaillant à Athènes. Polyclète s’intéresse aux représentations d’athlètes nus (à Athènes : être beau et bon, importance du sport et du développement du corps). Il créé un canon de proportion, il réglemente la représentation

Aurige de Delphes). Peu de sculptures de femmes, lesquelles étaient recluses au foyer. * Les statues deviennent de plus en plus athlétiques, dégagent une impression de force et de puissance, mais sévère. Ex : Zeus du cap Artemission * Discobole de Myron : corps en triangles superposés, calculs géométriques, étude du mouvement * Il faut savoir que la plupart des statues grecques nous sont arrivées perdues ou cassées. Il y a par contre beaucoup de copies faites par les Romans, un peu moins

sacrifice de la vie, mm si la loi est injuste (cf. Socrate).   Les Grecs sont des grands scientifiques : géométrie (Pythagore, Thalès, Euclide), médecine (Hippocrate) [symptômes, diagnostic, thérapeutique], peinture, architecture, sculpture (Myron et son discobole, Phidias et son aurige vainqueur, Praxitèle et son Hermès). Cf. ouvrage d’Elie Faure en 1909 = la sculpture aurait engendré la philosophie et Socrate qui était sculpteur. Elie Faure croît que le paysage de la Grèce, la Méditerranée, auraient

renferme ce qui est, à proprement parler, humain. Ici se place particulièrement la beauté de la forme humaine, telle qu’elle se manifeste dans la force développée par l’exercice, par l’habileté dans les jeux athlétiques chez les combattants, les Discoboles, etc. Dans de telles productions, la sculpture se rapproche déjà plus du portrait, genre dans lequel les anciens, cependant, même lorsqu’ils représentaient des personnages réels, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Esthétique, tome premier (1835

renferme ce qui est, à proprement parler, humain. Ici se place particulièrement la beauté de la forme humaine, telle qu’elle se manifeste dans la force développée par l’exercice, par l’habileté dans les jeux athlétiques chez les combattants, les Discoboles, etc. Dans de telles productions, la sculpture se rapproche déjà plus du portrait, genre dans lequel les anciens, cependant, même lorsqu’ils représentaient des personnages réels, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Esthétique, tome premier (1835, posth