Discours Aristide Briand

pape intransigeant et très peu diplomate Loi adopté en juillet 1905 par une assez grande majorité, 341 voix contre 233 Est adopté le 9 juillet au Sénat Cette loi a bénéficié du concours des parlementaires, celui qui a présenté la loi est Aristide Briand (né en 62, à Saint Nazaire, fondateur des Bourses du travail, écrit ‘de la révolution pour la grève générale’, commence à l’extrême gauche mais devient vite modéré ‘monstre de souplesse’, pas croyant mais veut éviter des troubles) Premier principe

réunir les partisans de la construction européenne. La même année, il diffuse un Manifeste européen, dirigé aux parlementaires français qui eut un impact considérable auprès des grands noms de la Troisième République, notamment Édouard Herriot et Aristide Briand. 1) Les objectifs de la Pan-Europe R. Coudhenove-Kalergi part d’un constat abrupte en 1922 : « la question de l’Europe se résume en deux mots : unification ou écroulement. Son projet vise à établir l’équilibre de façon durable

d‟enseigner dans les établissements publics et enfin la loi de 1904 interdit aux congrégations religieuses le droit d'enseigner (suppression d‟écoles religieuses). Le 9 décembre 1905, la loi de la séparation de l‟Etat et de l‟Eglise est rédigée par Aristide Briand (ministre des cultes) et Emile Combes (président du conseil et franc-maçon) dans le but de nationaliser les biens de l‟Eglise et de rendre laïque tous les lieux publics. Elle est adoptée par : 341 pour/233 contre à la Chambre ; 181 pour/102 contre

1924 devant réunir les partisans de l’union européenne. La même année, il diffuse un manifeste européen qui est dirigé notamment en direction des parlementaires français. Il a eut un impact considérable auprès des grandes personnalités comme Aristide Briand et Edouard Herriot. 1- Les objectifs de la Pan Europe. En 1922, CK part d’un constat abrupt. La question de l’Europe se résume en deux mots : unification ou écroulement. Son projet vise à établir l’équilibre de façon durable sur le continent

régimes ne respectant pas les standards démocratiques et libéraux occidentaux. Ces actions ont été justifiées par un discours hautement moral et religieux, développant une vision du monde manichéenne et simpliste (« L’axe du mal », « vous serez avec nous ou contre nous ») dans lequel l’Amérique se pose comme le phare de la liberté et le défenseur de la démocratie. Cet aspect du discours des officiels américains et l’unilatéralisme dont a fait preuve l’administration Bush (elle n’a pas tenu compte de

rapport aux faits ; comment l’Europe est-elle en fait le résultat d’un processus historique qui s’est développé selon un chemin que l’on doit analyser de manière à s’apercevoir qu’il n’y a pas d’évidence quant aux frontières ? On va déconstruire les discours politiques. Dans un premier temps, on va voir la construction historique de la notion d’Europe via l’histoire de la définition d’Europe à travers les siècles. 1. La construction historique de la notion d’Europe. 1.1. Les anciens sans l’Europe

le socialisme français n’est pas un vrai socialisme, seulement le dernier avatar du radicalisme : pas de structure social-démocrate (pas d’enracinement ouvrier, pas de lien avec les syndicats). Mais une telle définition minimise l’importance du discours de la SFIO : Pourquoi le socialisme aurait-il mis autant d’acharnement à se distinguer des radicaux et à éviter le pouvoir s’il était seulement réformiste ? Pourquoi a-t-il toujours condamné toute dérive gestionnaire ? Pourquoi a-t-il cherché

pressés, mais qui ne digère pas non plus de n’être qu’un repaire d’infréquentables Apaches. De prime abord, et pour d’indiscutables raisons pédagogiques, le tissu oratoire de Jaurès - tout comme celui des grands révolutionnaires ou celui d’un Aristide Briand ou encore d’un Malraux… - se doit d’être remis sur l’établi dans une maison comme la nôtre, naturellement cernée par le susurrement, le marmonnement et la minimalisation des antagonismes. Et si nous ne négligeons pas trop les grands lyriques (Victor

Poincaré. On va appeler la chambre bleu horizon. On a une victoire majoritaire des partis de droite, on va avoir 4 gouvernements successifs : • Alexandre Millerand : janv. à sept 1920 • Georges Leygues : sept. 1920 à janv. 1921 • Aristide Briand : janv. 1921 à janv. 1922 • Raymond Poincaré : janv. 1922 à mai 1924 Cette période est marquée par une idée majeur qui est la question Allemande, la volonté commune à la fois des gouvernants et des gouvernés, c’est faire en sorte que la

un certain nombre d’hommes politiques semblent convenir de la difficulté même de ces réparations et pour certains il serait plus intéressant de trouver des atténuations au paiement allemand tout en ayant la certitude d’obtenir les réparations (Aristide Briand lors de la conférence de Cannes en janvier 22 – mais contraint à la démission, remplacer par un homme nationaliste : Raymond Poincaré qui devient président du conseil). C’est dans ce contexte de relance nationaliste que va se dérouler l’affaire