Discours De Badinter

personne, reconnue coupable d’un crime passible de cette peine, à l’issue d’un procès organisé par une juridiction légale appartenant à un état dont la législation prévoit ce châtiment. Elle existe depuis les premières civilisations. Robert Badinter, né en 1928 à Paris, est un homme politique français. Il fut membre du Parti Socialiste. Avocat de profession, il s’est illustré dans de célèbres procès. Il fut Ministre de la Justice de 1981 à 1986 puis président du Conseil constitutionnel de 1986

DROIT Après avoir écouté des extraits de ce discours, vous relevez les arguments qui permettent de définir la Justice selon le ministre de la Justice à l'époque.Vous expliquez en quoi il peut exister différentes conceptions de la Justice.Ce document est un extrait du discours de Robert Badinter, Garde des Sceaux, devant l’Assemblée Nationale, le 17 septembre 1981, intitulé « Demain vous voterez l’abolition de la peine de mort ». Dans cet extrait, R. Badinter dénonce l’hostilité à la peine capitale,

Introduction : Robert Badinter est un avocat et un homme politique français. Il est principalement connu pour son combat contre la peine de mort. En 1972, il prend la défense de Roger Bontems mais ne parvient pas à éviter la peine de mort à son client, qui a été complice dans l’affaire du meurtre d’une infirmière et d’un gardien de la centrale de Clairvaux. Cet évènement marque le début de son long combat pour l’abolition de la peine de mort. Ce qui explique qu’en 1976, il accepte de défendre

Discours de M. Robert Badinter, ministre de la Justice, sur l’abolition de la peine de mort, à l’Assemblée nationale le 17 septembre 1981 M. le garde des sceaux. Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France. En cet instant, dont chacun d'entre vous mesure la portée qu'il revêt pour notre justice et pour nous, je veux d'abord remercier la commission

ministre de la justice. M. le garde des sceaux. Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France. Robert Badinter, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, 23 juin 1981 - 18 février 1986. Source : Ministère de la Justice. En cet instant, dont chacun d'entre vous mesure la portée qu'il revêt pour notre justice et pour nous, je veux d'abord remercier

Discours BadinterDiscours de Robert Badinter à l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981 Discussion du projet de loi portant abolition de la peine de mort - Texte intégral - M. le président. La parole est à M. le garde des sceaux, ministre de la justice. M. le garde des sceaux. Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France. En cet instant, dont

Centre de documentation ROBERT BADINTER (BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE) 22 juin 2009 Les documents présentés dans cette bibliographie sont classés par ordre alphabétique d’auteur, et de titre s’il n’y a pas d’auteur. L’accès aux documents primaires est réservé aux publics autorisés. 1. ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES.............p.1 2 ÉCRITS DE ROBERT BADINTER..........p.2 2.1 Ouvrages.............................................p.2 2.2 Articles.................................................p.4 3 POUR

DISCOURS AUTOUR DE LA PEINE DE MORT Question de corpus Le corpus soumis à notre étude est composé de trois extrais de discours (argumentatifs) écrits à deux siècles différents. Le premier s’intitule Discours à l’Assemblée Constituante, et a été prononcé par Victor Hugo le 15 Septembre 1848, le second s’intitule Discours à la Chambre des députés et a été prononcé par Aristide Briand, le 11 Novembre 1908 et enfin, le dernier s’intitule Discours à l’Assemblée Nationale et a été prononcé par

textes : le premier a été écrit par Victor Hugo et s’appelle « Discours à l’Assemblée Constituante », il date de 1848. Le deuxième document est de Aristide Briand, il date de 1908 et se nomme « Discours à l’Assemblée ». Le dernier document s’intitule « Discours à l’Assemblée » et a été déclaré par Robert Badinter en 1981. Ces trois auteurs s’engagent contre cette peine capitale, dans chacun de ses discours. Ces trois textes utilisent le discours argumentatif pour se manifester contre la peine de mort

textes : il s’agit de, « De l’Homme », extrait des Caractères, de La Bruyère, de l’Article « Torture », du Dictionnaire philosophique, de Voltaire, du Discours d’ouverture du congrès de la Paix à Paris, prononcé par Victor Hugo le 21 août 1849, et enfin du Discours à l’Assemblée nationale, effectué en septembre 1981 par le Garde des Sceaux Robert Badinter. Chacun de ces textes témoigne d’un engagement dans un combat pour les droits humains, et utilise différents moyens pour toucher le lecteur ou l’auditoire